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STRATÉGIES

Fort d’un réseau de plus de 40 spécialistes, COSMA Experts propose aux entreprises des solutions sur mesure pour rationaliser leurs coûts et ainsi booster leur performance financière.

« L’objectif de nos missions est d’accompagner nos clients, d’identifier et de mettre en place des solutions qualitatives leur permettant de dépenser mieux », précise Julien Coquet, directeur de projets.

Nous travaillons en synergie étroite avec les PME-ETI afin d’améliorer leur profitabilité et leur compétitivité. Nous nous attachons également à ce que nos missions permettent à nos clients de s’engager dans une dynamique d’amélioration de leurs processus.

Nous intervenons auprès des entreprises pour les accompagner dans la maîtrise de leurs coûts et l’optimisation de leur performance sur les 45 catégories d’achats indirects.

L’un des atouts de COSMA Experts, précise Julien Coquet « est que selon la problématique de notre client, nous sommes en mesure de mettre à disposition les meilleurs spécialistes d’un domaine d’activité, capables d’analyser les processus les plus complexes et l’ensemble des dépenses opérationnelles ».

Un autre atout de notre démarche, fortement apprécié de nos clients, s’appuie sur le fait que notre recherche d’économies se réalise sans compromis sur le niveau de qualité.

Comme chaque situation est unique, nos spécialistes (ayant plus de 20 ans d’expertise métier de pratique en entreprise) partent d’une page blanche pour construire en partenariat avec les équipes en place, un processus d’optimisation basé sur l’amélioration des coûts, des prestations et des processus. Nos clients restent maîtres des décisions et choisissent parmi nos propositions la solution la mieux adaptée à leur situation.

Comme le souligne Julien Coquet, « le dernier atout relevé par nos clients réside dans la combinaison de la recherche de solutions innovantes et sur-mesure avec la capacité des intervenants à conduire les changements permettant de générer des économies responsables et pérennes ».

Point important, les honoraires de COSMA Experts sont intégralement indexés sur les résultats.

Nous répondrons dans un prochain article à la question suivante, pour cette sortie de crise dois-je privilégier une stratégie de réduction ou d’optimisation ?

Nous contacter : www.cosma-experts.fr ou par téléphone : +33 (0)1 85 08 45 80


Le baromètre prévention santé des salariés a été réalisé récemment par l’IFOP pour Back Office Santé auprès de 605 décisionnaires RH (dont 64 DRH) travaillant dans une entreprise de plus de 20 salariés. Ce baromètre donne des indications intéressantes sur les effets de la crise sanitaire sur la santé au travail, notamment concernant la hausse des risques psychosociaux (RPS) et troubles musculosquelettiques (TMS) en entreprise. 

Par Nicolas Destang, entrepreneur de santé publique.

A première vue, aux yeux des décisionnaires RH, la prise en compte de la santé des collaborateurs représente un enjeu plutôt secondaire en matière de qualité de vie au travail. 

Interrogés sur les enjeux les plus importants pour la qualité de vie au travail dans leur entreprise, la prise en compte de la santé des collaborateurs par la proposition d’actions de prévention n’est évoquées que par 15% des décisionnaires RH travaillant dans une entreprise de plus de 20 salariés, loin derrière les autres enjeux testés. Qualité des relations humaines, valorisation des compétences de chacun et équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle sont ainsi cités par une proportion trois fois supérieure de répondant (respectivement 49%, 46% et 43%).

Les managers sont identifiés comme principaux responsables de la santé des salariés, suivis par les dirigeants.

Bien que les répondants se montrent partagés sur la question de la responsabilité en matière de santé, les deux acteurs ayant la proximité hiérarchique avec les collaborateurs la plus importante sont quand même les plus souvent cités : pour 23% ce sont les managers/encadrants qui ont la responsabilité la plus importante, et pour une proportion proche, ce sont les dirigeants eux-mêmes (22%).

Les responsables RH et la médecine du travail arrivent ensuite, cités par 14% dans les deux cas, loin devant les autres acteurs. 

Au-delà du virus, la crise sanitaire a indéniablement eu un impact sur des problèmes de santé plus larges, physiques et psychologiques.

Deux tiers (66%) des décisionnaires RH déclarent ainsi que leur entreprise a subi au moins une augmentation de RPS, de TMS ou de maladies ordinaires depuis le début de la crise sanitaire.

L’impact le plus visible concerne les risques psychosociaux  (comme le stress, les burn-out), une majorité d’interviewés (52%) ayant constaté une augmentation de ces symptômes. Et plus d’un quart des décisionnaires RH ont constaté une progression des TMS au sein de leur entreprise.

La mise en place massive du télétravail depuis un an a eu un effet négatif sur la santé des salariés.

En effet, 45% des décisionnaires RH considèrent l’impact du télétravail sur la santé des salariés comme négatif. Elle atteint notamment 54% chez les responsables RH du secteur du commerce travaillant dans une structure de 50 à moins de 100 salariés. Or ce sont précisément 2 types d’entreprises où le télétravail était peu développé avant le début de la crise sanitaire. Il a souvent été mis en place en urgence, sans les adaptations humaines et matérielles nécessaires que requiert cette organisation. 

Face à cette crise sanitaire et à ses conséquences sur la santé, les entreprises se montrent pour la plupart réactives. 

Plus des deux tiers des interviewés reconnaissent que leur entreprise met actuellement en place des actions de prévention afin d’aider les collaborateurs à rester en bonne santé durant cette période et que les enjeux de santé sont devenus plus importants. Mais la démarche employée s’inscrit plus dans une logique de réaction à un contexte de crise qu’elle ne semble destinée à se pérenniser. Ainsi, seule une moitié des décisionnaires RH affirme qu’à l’issue de cette crise, leur entreprise prévoit de mettre en place davantage d’actions de prévention.

Pourtant, sur le principe, la mise en place d’actions de prévention après la fin de la crise sanitaire fait consensus auprès des décisionnaires RH. Ce type d’action est donc fortement présent à l’esprit mais pas encore forcément décidé. 

Source : https://www.ifop.com/publication/les-decisionnaires-rh-et-les-enjeux-de-sante-au-travail/

Le recrutement et la fidélisation des ressources humaines ont été réellement chamboulés par la crise sanitaire pendant laquelle les rencontres en présentiel étaient quasi-inexistantes. En effet, Il est devenu fréquent de ne rencontrer physiquement le candidat à l’embauche qu’au moment de son entrée en fonction, bien souvent après un long processus distanciel. Quant à la fidélisation des talents internes, elle a du intégrer des paramètres liés à l’impact des nouveaux modes de travail sur les équipes. Ce sont autant de défis que les entreprises doivent relever pour s’adapter et optimiser la gestion des talents.

Par Franck Boccara

Aujourd’hui, bien recruter est le fruit d’un long parcours relationnel numérique avec le candidat qui passe par différents formats tels que des visioconférences avec des interlocuteurs clés ainsi que des tests et exercices en format digital. Ce process va permettre d’établir des critères de sélection précis qui conjuguent compétences professionnelles et  » soft skills  » (flexibilité, autonomie, organisation, capacité d’adaptation, compatibilité avec les équipes…).

Cependant en plus de ce changement de forme, le recrutement connait une évolution de fond qui oblige à repenser les processus d’embauche dans leur ensemble. En effet, les aspirations des salariés ont fortement changé depuis la crise sanitaire, les jeunes diplômés sont davantage attirés par un poste qui donne un sens à leur engagement et contribue aux mieux-être de la société. Pour le recruteur, il ne s’agit donc plus de se focaliser uniquement sur les seules compétences des candidats mais de s’attacher aussi à comprendre leurs valeurs et leurs aspirations et d’analyser ainsi comment l’entreprise peut y répondre.

Pour cela, il est nécessaire de faire connaître au candidat la stratégie de l’entreprise mais aussi et surtout de bien lui présenter ses valeurs et sa culture. Il existe pour cela une stratégie d’on-boarding numérique qui peut aider le futur collaborateur à bien s’imprégner de l’ADN de l’entreprise avant son éventuelle entrée en fonction par des vidéos, des cas pratiques et des QCM.

Enfin, il est bon également de donner un sentiment d’appartenance au nouvel arrivant et cela passe souvent par des petit gestes de bienvenue tels qu’une Welcome Box brandée aux couleurs de l’entreprise qui comprend gourde, clé USB, stylo, carnet…

Fidélisation : l’autre mamelle de la gestion des talents

Dans une période comme celle que nous traversons, le développement personnel et le bien-être au travail sont plus que jamais les signes d’une marque employeur forte.

Pour cela, la mise en place d’entretiens mensuels, trimestriels ou annuels selon les profils est indispensable pour permettre aux collaborateurs de faire connaître leurs besoins et leurs aspirations, comme par exemple les formations ou les compétences qu’ils aimeraient développer. Il est toujours préférable de faire évoluer un salarié en interne plutot que de le voir quitter l’entreprise pour trouver ce poste ailleurs.

De plus, la politique RSE de l’entreprise à travers son impact environnemental et sociétal représente un levier fort pour optimiser la gestion des talents et fidéliser des collaborateurs pour qui l’engagement dans l’entreprise se voit renforcé par les valeurs qu’elle porte.

Le dernier point auquel l’employeur doit veiller pour fidéliser ses talents est d’éviter de créer trop de jonction entre vie privée et vie professionnelle. En effet, ces deux aspects se sont trouvés fortement entremélés pendant le confinement et le besoin que les salariés expriment aujourd’hui clairement est celui de retrouver plus de temps pour eux-même ou pour leur familles… bien que les deux parties ont bien compris qu’une distanciation drastique des deux n’est plus vraiment envisageable.


La sortie de crise se profile, cela signifie réduction et/ou fin des mesures gouvernementales de soutien financier aux entreprises. Pour beaucoup d’entre elles qui ont tout fait pour rester debout au cours des 13 derniers mois, cela signifie un véritable challenge financier avec des nuages gris à l’horizon, surtout après la publication des comptes 2020. Aussi tabou puisse être le sujet, les difficultés financières des entreprises pourraient être une nouvelle forme de « variant du virus » dans les mois à venir. Pour les dirigeants de PME et ETI, il s’agit de faire le maximum pour se préparer et anticiper les choses avant d’être pris dans une mauvaise spirale.

Par Jean-Pierre Le Borgne – Partner chez Lugh & Co

Les procédures amiables, un vrai remède homéopathique

Courant des années 80’, on expliquait volontiers aux futurs créateurs d’entreprises et dirigeants que le « dépôt de bilan » était un acte de gestion comme un autre…. Sur le papier, peut-être, mais à s’interroger si ceux qui distillaient ce message avaient effectivement vécu ce que signifie de se retrouver devant un administrateur judiciaire puis un juge dans cette situation.

Au-delà de cette question philosophique, l’étiquette « maladie peu recommandable » attachée aux difficultés financières des entreprises s’est diluée avec un ensemble de remèdes beaucoup plus doux à disposition des dirigeants.

Ces traitements plus « homéopathiques », que sont les procédures amiables (Mandat ad’hoc et Conciliation) et la Procédure de Sauvegarde sont de plus en plus largement évoqués. Elles ont notamment la vertu de laisser au(x) dirigeant(s) un niveau de maîtrise de la gestion de l’entreprise, tout en étant encadré.

Cela autorise une gestion et appréciation des risques plus sereine pour le dirigeant avec, en ligne de mire, le « rétablissement » de l’entreprise. En effet, chacune des procédures à disposition, si elle est bien mise en œuvre, et au bon moment, permet de donner aux dirigeants comme le maximum de potentiel de rebond face aux difficultés financières des entreprises.

Une question de dosage et de timing, mais surtout de (qualité du) diagnostic…

Comme souvent, il s’agit d’adapter le bon remède en fonction du niveau réel de la maladie et surtout de début du traitement. C’est là que souvent les choses se compliquent, dans la pratique, notamment autour de la notion essentielle de la « date de cessation des paiements » qui conditionne beaucoup de choses en termes de champs des possibles pour traiter les difficultés financières des entreprises.

La bonne connaissance des aspects « techniques » et mécanismes des procédures amiables est bien sûr essentielle, avec leurs indications d’usage et leurs possibles effets secondaires.

La qualité du diagnostic est cruciale. La dimension « couperet » de la date de cessation des paiements limite la marge de manœuvre, mais permet de dessiner les contours de la stratégie du traitement à adopter.

Avec cet aspect timing au cœur des débats, pris dans l’urgence du quotidien couplé à la pression psychologique de la situation, le dirigeant, la tête dans le guidon et souvent esseulé, peine à trouver les bons leviers à activer pour analyser dynamiquement, objectivement et efficacement la situation.

A cela s’ajoute le syndrome « émotionnel » de la relation entre le dirigeant et son entreprise impactant la lecture objective des faits et donc la véracité et fiabilité du diagnostic qui en découle. Entre éléments structurels ou conjoncturels, signaux faibles et forts, fiabilité des informations disponibles, cela peut vite ressembler à un casse-tête avec les jours qui défilent.

Cette démarche en amont peut d’ailleurs avoir une véritable vertu d’anticipation maitrisée qui est également un souhait légitime auquel chaque dirigeant aspire mais que la réalité du quotidien rend difficile à concrétiser.

… pour préparer au mieux l’avenir

Alors qu’il y a encore quelques années, passer la porte du bureau d’un administrateur judiciaire était souvent vécu comme une fin peu glorieuse, il existe aujourd’hui de vraies possibilités, voire opportunités, pour que cela devienne finalement une étape (certes délicate) que les dirigeants franchissent dans le traitement des difficultés financières des entreprises.

Avec l’anticipation d’une forte dynamique de l’activité dans les prochains mois, cette traction générale business devrait réduire la composante exogène des difficultés. Motivation supplémentaire d’aller au bout des choses – sans concession – dans le diagnostic et l’analyse des causes « racines » des difficultés, aussi douloureux soit le constat.

Eviter la rechute en allant jusqu’au bout de la remise en cause si nécessaire et, dans une certaine mesure, profiter de cette période particulière pour redonner à l’entreprise de la force pour repartir de l’avant : autant d’enjeux majeurs pour le dirigeant.

C’est là que le casting de l’équipe soignante à ses côtés est important pour traverser (au mieux) cette période. C’est dans ce contexte que l’avocat spécialisé d’un côté et un coach business de dirigeants peuvent jouer un rôle tout particulier et précieux notamment par la neutralité de leur position dans l’écosystème de l’entreprise avec le dirigeant au centre de leur attention.

Les 13 avril, 22 avril et 4 mai, une série de 3 webinaires abordera d’un point de vue très pratique l’ensemble de ces points.

Inscription au webinaire #1 : Procédures amiables et de sauvegarde : des traitements « homéopathiques » aux véritables vertus

Inscription au webinaire #2 : Reconnaître les symptômes et aller au bout du diagnostic…

Inscription au webinaire #3 : Prévention et guérison, avec une équipe soignante bienveillante

Avec des prévisions de 6% de croissance pour 2021 confirmées par le gouvernement comme l’OCDE, la sortie de crise s’annonce à grand pas. Logiquement, si la croissance générale est là, tout devrait bien se passer… Cependant, de nombreux dirigeants de PME et ETI le savent bien, les choses se passent rarement comme prévu. C’est pour cela que le Business coaching reste la meilleure préparation pour ce « match » qui s’annonce pour eux, leurs équipes et leur entreprise.

Par Jean-Pierre Le Borgne – Partner chez Lugh & Co

Comme un sportif de haut niveau qui prépare son retour à la compétition, un sparring partner neutre et bienveillant est probablement le meilleur allié des dirigeants pour capturer les opportunités du rebond qui s’annonce.

Toutes les sociétés sont à la même enseigne face à ce challenge de « retour à la normale »

Après ces 13 derniers mois, beaucoup de sociétés ont souffert. Pour celles qui sont encore debout, la sortie de crise rime avec priorisation des actions pour un maximum d’impact avec quelques (sic !) contraintes financières à la clé (évolution du soutien gouvernemental, attitude des banques comme des actionnaires face aux comptes 2020, financement du BFR, …).

Pour celles qui ont pleinement bénéficié de cette période, l’enjeu est de capitaliser sur cette dynamique pour l’inscrire dans la durée vis-à-vis de leurs (nouveaux) clients comme au sein leur organisation.

De nombreuses inconnues à intégrer

L’inconnue du changement de terrain de jeu pour l’entreprise complexifie la préparation de ce rebond : à quel point les « nouveaux » comportements des clients vont perdurer, quelles orientations vont prendre les concurrents, faut-il adapter (ou pas) la relation avec les différents partenaires (business comme financiers) … ?

Un peu comme ce sportif qui va « découvrir en live », sur le terrain, la manière avec laquelle ses adversaires ont adapté leurs jeux…

Indéniablement, la principale inconnue pour tous les dirigeants, sans exception, concerne leurs managers et leurs collaborateurs avec le retour à cette « normalité » tant attendue. Les méthodes mises en place en « réaction » pendant la crise doivent-elles être maintenues, adaptées et que faut-il faire des anciennes ? Dans quel état d’esprit l’ensemble des équipes va se trouver ?

Des solutions classiques à évaluer dans ce contexte

Avoir les idées claires avec une vision et une stratégie associée lisibles et partagées, sont les challenges clés qui attendent les dirigeants pour ce « retour à la normale ». En effet, il va falloir embarquer les managers et l’ensemble des équipes, rassurer les parties prenantes (clients, financiers, fournisseurs…) et afficher une réelle maitrise de la situation.

Pour cela, le conseil, la veille et littérature, voire la formation sont les solutions « classiques » à disposition des dirigeants. Essentiellement ancrées dans le passé ou le présent, ces méthodes sont certainement utiles comme points de repères pour les équipes. Pour les dirigeants, la « nouvelle normalité » est probablement l’occasion de revisiter leur propre approche pour regarder devant eux afin de prendre (et garder) un temps d’avance.

La solution du management de transition, au-delà de son coût, est peut-être dans une certaine mesure une forme d’aveu de faiblesse indiquant l’absence en interne de ressources et de ressorts à même de piloter la gestion de ce rebond… le Business Coaching peut alors apparaitre comme une solution.

Pour chaque dirigeant, l’opportunité de (pleinement) s’affirmer

Avec la période qui s’annonce pour tous les dirigeants, les enjeux comme les opportunités sont multiples :

  • Dessiner un futur désirable pour lui, l’ensemble des équipes et son entreprise,
  • Prendre la hauteur indispensable pour prioriser les chantiers au plus juste en exécution de la stratégie,
  • Affirmer et/ou faire évoluer son leadership au regard des objectifs de demain,
  • Anticipation et adaptabilité doivent devenir une « seconde nature » quitte à sortir des sentiers battus du conformisme pour explorer de nouvelles approches.

Ce sont les atouts du Business Coaching de dirigeant(e)s pour capturer le potentiel de cette sortie de crise. L’échange neutre et bienveillant entre le Coach Business et le(s) dirigeant(es) favorise la prise de recul, la fin de l’isolement et surtout une nouvelle appréhension, parfois non-conformiste, des situations et des décisions à prendre.

Il s’agit d’être « au meilleur de sa forme » pour travailler toutes les dimensions de l’entreprise que le dirigeant doit piloter (commerce, RH, gouvernance, stratégie, management, finance, R&D, …).

C’est la mission première du sparring partner de dirigeants…

Alors que le ROI du Business Coaching est affirmé par les dirigeants (de plus en plus nombreux à l’avouer…) qui ont y fait appel, personne ne vient s’interroger pourquoi Roger Federer ou Usain Bolt continuent à avoir un coach malgré leur palmarès…

Les risques d’accidents cardiaques représentent un réel enjeu aussi bien pour la santé des salariés au travail qu’au niveau réglementaire. La présence d’un défibrillateur et de personnels formés au secourisme (SST) deviennent indispensables pour beaucoup de PME et ETI. Devant la complexité du choix dans ce domaine, les entreprises doivent faire appel à de vrais experts.
MATECIR DEFIBRIL, premier réseau d’accès publique français à la défibrillation cardiaque externe, offre des solutions complètes d’équipement en défibrillateur, de maintenance et de formation aux gestes de premiers secours.
Nicolas D’Agostino, DGA de DEFIBRIL et Sarah Ramas, commerciale, nous éclairent sur ces dispositifs médicaux qui révèlent leur véritable importance lorsque la vie humaine est en jeu.

Nicolas Dufourcq, Directeur Général de Bpifrance, nous reçoit dans ses bureaux pour présenter le VTE (Volontariat Territorial en Entreprise) et lancer un appel aux adhérents et visiteurs de PME-ETI.fr.
Le programme VTE, initié par le gouvernement et porté par Bpifrance, est là pour répondre à l’enjeu capital que représente le recrutement des talents pour nos PME et ETI en région. Une belle initiative que nous sommes fiers d’accompagner !

L’entrée en bourse a beaucoup d’avantages pour une entreprise, comme par exemple de renforcer sa notoriété ou encore d’attirer les talents. Cependant, beaucoup de PME et ETI restent encore frileuses par rapport à cette démarche qui ne fait encore sufisamment partie des mœurs françaises.

Par Franck Boccara

Il existe beaucoup de bonnes raisons pour initier une entrée en Bourse. Pour une PME familiale, le fait d’ouvrir son capital en bourse représente souvent un bon moyen d’améliorer sa gouvernance. Cette démarche a en général comme effet immédiat d’accroitre la notoriété de l’entreprise par l’éclairage soudain dont elle bénéficie, ce que l’ouverture du capital à des investisseurs classiques ne pourrait apporter. De plus, cette mise en lumière va permettre d’optimiser le recrutement en attirant des talents pour qui la cotation en bourse est consciemment ou pas un gage de solidité et de fiabilité.

A titre d’exemple, ou peut noter l’entrée en bourse d’ECOMIAM, une société bretonne de produits alimentaires non transformés jouissant d’une vraie image de simplicité et d’authenticité, qui a réussi à travers une O.P.O (Offre Publique à prix Ouvert) lancée en septembre 2020 à attirer environ 5000 petits porteurs et à récolter ainsi 12.6 millions d’euros. Ou encore la société NACON, spécialisée dans le domaine des accessoires de jeux-vidéos, qui a réalisé son entrée en bourse début 2020 avec une levée de fonds de 116 millions.

Ces exemples d’entrée en bourse restent malgre tout assez rare. Pour l’année 2020, on compte seulement 9 introductions sur les segments d’Euronext et Euronext growth (PME et ETI) pour un total de 435 millions d’euros, contre 10 IPO (Initial Public Offering ou introduction en bourse en français) en 2019. Par ailleurs, on ne compte aucune entrée en bourse dont le montant dépasse les 100 millions d’euros. A titre le comparaison, la FrenchTech a réalisé en 2020 des levées de fonds à hauteur de 5.4 milliards d’euros investis dans environ 600 entreprises avec des tours à plus de 200 millions d’euros. Au niveau mondial, on dénombre la même année 1363 opérations en Bourse pour un total de 268 milliards de dollars… au vu de ces chiffres, on percoit mieux le décalage qui caractérise notre pays.

Pour pallier à ce retard, c’est tout l’écosysteme qui est à revoir en dépassant les marchés nationaux des pays et en allant vers un organisme de cotation fort, plus européen et plus intégré, afin de concurrencer le marché americain. L’enjeu est de taille puisque le système boursier reste un maillon fondamental de financement des entreprises (par l’epargne populaire) et par là même de l’économie d’un pays.

Les vins français résistent bien à la crise sanitaire mais restent à l’affut de nouveaux débouchés à l’international pour marquer leur présence sur ces marchés. Business France, dans son livre blanc « où exporter en 2021 », liste les pays à prospecter en ce moment dont voici le top 3.

Par serge de Cluny

Par ces temps incertains, nous avons chacun et chacune un choix : est-ce que l’on reste inactifs, à subir, ou est-ce qu’au contraire on se met dans une position proactive en essayant de saisir les opportunités qui peuvent exister ? ». cette déclaration de Julien Denormandie lors de la journée France Export Agroalimentaire organisée par Business France fin 2020, résume parfaitement la situation.

Dans « Agro, Où Exporter en 2021 ? », le livre blanc de l’export publié par Business France en octobre dernier, on peut voir que malgré l’exposition des vins français premiums à la situation sanitaire et aux différentes contraintes géopolitiques (taxes Trump, Brexit, repli chinois…), il reste des opportunités à exploiter. « La crise a eu un effet sur la sensibilisation de consommateurs à la protection de l’environnement et la responsabilité sociale des entreprises. Il est alors important pour les producteurs français de travailler les emballages, l’offre low/no alcool et vins certifiés bio et biodynamique » explique-t-on chez Business France. Ainsi, le livre blanc de l’export liste les marchés à fort potentiel pour les vins français mais il cible plus précisement trois pays à prospecter.

Les Marchés porteurs

Il y a tout d’abord le Canada qui a augmenté ses importations de vins de plus de 19% depuis 2014. Dans ce pays où les achats se font de plus en plus en ligne, ce sont « les vins blancs, rosés et effervescents sont les secteurs les plus porteurs ». Grâce à l’accord de libre-échange CETA, les vins français renforcent leur position de premier fournisseur en valeur (23 % de parts de marché).

L’irlande fait également partie des pays listés en top 3 par Business France. En effet, malgré que « la crise Covid-19 impacte fortement le secteur (car 19 % de la consommation de vin se fait sur le Réseau Hors Docimicile) », les irlandais ont augmenté leurs importations de 11% en valeur et 27% en volume sur le premier semestre 2020. Cette tendance « peut en partie s’expliquer par des surstockages et la relocalisation de centrales d’achats de grands opérateurs britanniques » selon Business France qui précise que « si les rouges et les blancs dominent, les rosés, bios, effervescents et les appellations confidentielles progressent » sur le marché irlandais

Le troisième pays ciblé par l’agence est la Suède où « les vins français bénéficient de la grande diversité de l’offre française où cohabitent appellations historiques et une nouvelle génération de vignerons défendant des pratiques respectueuses de l’environnement ». Le marche suédois de l’alcool, qui est géré par le monopole d’Etat Systembolaget, se caracterise par une forte demande en matière de vins bio, biodynamiques et naturels (46 millions de litres vendus en 2019, soit un cinquième des ventes de vins). Business France donne plus de détails sur la demande en décrivant  « un intérêt grandissant pour les vins de Loire, du Jura et de Savoie surtout dans les bars à vins branchés ».

Le Chèque relance export

Pour inciter les PME et ETI à aller de l’avant, le ministère de l’Agriculture a lancé un Chèque Relance Export. « Toute entreprise participant à un pavillon Business France sur un salon à l’étranger bénéficiera d’un chèque d’un montant maximal de 2 500 euros. Avec pour les entreprises participant à un Tastin’France un chèque d’un montant maximum de 1 500 €. »  déclare Julien Denormandie, Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation. Cette mesure de soutien à de telles actions dans ce contexte particulier est saluée par Business France qui reste persuadée que « le maintien d’actions de promotion sera essentiel pour une bonne reprise ».

Dans ce contexte incertain, « le maintien d’actions de promotion sera essentiel pour une bonne reprise » souligne Business France. Pour inciter les opérateurs à se lancer, le ministère de l’Agriculture lance un « Chèque Relance Export ». Comme l’explique Julien Denormandie, « toute entreprise participant à un pavillon Business France sur un salon à l’étranger bénéficiera d’un chèque d’un montant maximal de 2 500 euros. Avec pour les entreprises participant à un Tastin’France un chèque d’un montant maximum de 1 500 €. » Défendant le choix de l’action, le ministre de l’Agriculture ajoutant que « l’un des freins à l’exportation, c’est de prendre pari, qui a un coût. Plus le contexte est incertain, plus le rapport bénéfice sur coût est dans les têtes. »

L’ouverture d’une procédure de sauvegarde judiciaire demeure une mesure ultime pour les dirigeants de PME et ETI qui attendent en général le dernier moment pout l’activer, et c’est souvent déjà trop tard. Voici quelques éclairages sur une procédure qui se situe en amont de la cessation des paiements.

Par Franck Boccara

la procédure collective est une démarche préventive pour une entreprise qui rencontre une situation financière insurmontable. Elle est censée éviter la cessation des paiements ainsi qu’un redressement ou une liquidation judiciaire. Il ne faut donc surtout pas confondre la sauvegarde judiciaire dont nous parlons et le redressement judiciaire qui est prononcé lorsque que l’entreprise est déjà en cessation de paiements.

A quel moment solliciter une mesure de sauvegarde judiciaire ?

Avant tout, il faut que la société soit en mesure de faire face à ses dettes exigibles de par son actif disponible et ensuite qu’elle se trouve dans une situation de difficultés jugées  » insurmontables » comme par exemple la perte de son client principal ou l’indisponibilité d’un dirigeant sans lequel l’entreprise ne peut fonctionner normalement. Ces difficultés doivent, si elles persistent, menacer l’activité de l’entreprise et aboutir à la cessation des paiements.

La procédure de sauvegarde

Tout commence par ce qu’on appelle une période d’observation d’une durée de 6 mois renouvelables une fois qui va permettre de comprendre les difficultés et les besoins de l’entreprise pour mettre en place un plan de sauvegarde. Le tribunal désignera un administrateur judiciaire pour cette procédure collective dont le but est d’élaborer un plan de règlement des dettes, après concertation avec les créanciers.

Cette procédure débute par l’ouverture d’une période d’observation et la désignation d’un administrateur judiciaire par le tribunal. La période d’observation est de 6 mois renouvelables une fois et va servir à analyser les problèmes et les besoins de l’entreprise afin d’élaborer un plan de sauvegarde.

C’est au terme de cette période d’observation que le tribunal jugera si le plan de sauvegarde est en mesure de sauver l’entreprise. Si c’est le cas, cette période d’observation sera terminée et le plan sera mis en oeuvre, sinon il faudra placer l’entreprise en redressement ou en liquidation judiciaire.

Quels sont les avantages d’une procédure de sauvegarde ?

Le principal atout de cette procédure est le traitement des difficultés de l’entreprise dès leur apparition, ce qui permet au dirigeant d’agir avant le placement en situation de redressement judiciaire. Il faut noter que dans 62% des cas, cette procédure permet d’aboutir à un plan de redressement. A titre de comparaison, 67% des procédures de redressement judiciaire se transforment en liquidation judiciaire. Autrement dit, si l’action est engagée à temps, elle a toutes les chances de sauver l’entreprise.

L’autre atout considérable dans l’ouverture de cette procédure est la suspension des poursuites individuelles à l’encontre de la société.
Si le plan de sauvegarde/redressement est validé, cela va permettre d’étaler les dettes sur 10 ans, ce qui équivaut à un crédit gratuit qui va donner à l’entreprise l’occasion d’assurer sa réorganisation et de repartir sur de bonnes bases.

La défiance des dirigeants à l’égard de la sauvegarde : pourquoi ?

En 2018, on a dénombre 834 procédures de sauvegarde contre 13 667 procédures de redressement judiciaires.

Les facteurs qui freinent les dirigeants sont la crainte des frais de procédure (honoraires de l’administrateur judiciaire, de l’avocat, frais de greffe, etc.) ainsi que le fait que leur société serait alors fichée au RCS comme étant en procédure de sauvegarde. Cette situation est souvent mal perçue par les clients et les fournisseurs alors que l’entreprise n’est absolument pas en état de cessation des paiements. De plus, les banques sont également susceptibles de revoir leur politique vis-à-vis de l’entreprise et de ne plus lui faire confiance. Ce qui pourrait avoir pour conséquence de compromettre la situation de l’entreprise en sauvegarde et donc d’arriver à un résultat inverse à celui souhaité.

La sauvegarde comme vaccin contre Covid-19 ?

La crise sanitaire et économique entrainée par le Covid-19 a multiplié le nombre de PME et ETI en difficulté qui peuvent condidérer la sauvegarde comme la solution adéquate permettant à celles qui sont encore sauvables, de gagner du temps et d’étaler leurs dettes sur de longues échéances. Les ordonnances du 27 mars et du 27 mai 2020 sont d’ailleurs venues soutenir le pouvoir d’attraction de la procédure de sauvegarde.

On espère que les PME et ETI qui en ont besoin opteront pour cette mesure préventive et que l’année 2021 ne soit pas celle des dépôts de bilan.

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