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DIGITAL

La Cybersécurité sera mise à l’honneur par le MEDEF le lundi 14 novembre 2019 à travers une session de décryptage et de partage d’expériences autour de dirigeants et de professionnels reconnus dans ce domaine qui viendront partager leurs expertises. Dirigeants et cadres de PME et ETI, vous êtes conviés à participer à cette rencontre pour savoir comment analyser les risques, quelle stratégie mettre en place pour contrer les cybermenaces qui ont touché 8 entreprises sur 10 l’année dernière et comment réagir lors d’une attaque. Des échanges avec des offreurs de services et de solutions de cybersécurité sont prévus par la suite autour d’un cocktail offert par le partenaire de l’évènement, Syntec numérique.

AU PROGRAMME :

14h30 – Introduction par Guy-Philippe Goldstein, chercheur et consultant sur les questions de cyber-sécurité et cyber-défense

14h45 – La cybersécurité, un enjeu stratégique pour l’entreprise

  • Nicolas Arpagian, VP stratégie et affaires publiques d’Orange Cyberdefense
  • Axel Castadot, chef adjoint de la division connaissance & anticipation de la sous-direction opérations de l’Agence nationale des systèmes de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI)
  • Pascal Le Roux, vice-président de CDVI, président du Comité de liaison Sécurité numérique de la FIEEC
  • Christophe Ternat, co-fondateur et CEO de Cyrating

15h30 – Analyse et méthode : comment bien penser sa stratégie cybersécurité ?

  • Fabien Caparros, chef de la division chargé des méthodes de management de la sécurité numérique à l’ANSSI
  • Christophe Foret, co-chair du FAIR Institute Paris et président de C-Risk
  • Nathalie Malicet, vice-présidente de la commission numérique et innovation à la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC)

16h15 – Mettre en place sa stratégie cybersécurité

  • Jean-Philippe Gaulier, Cyberzen
  • Michel Juvin, expert cybersécurité et membre du Club des experts de la sécurité de l’information et du numérique (CESIN)
  • Tiphaine Leduc, chef de mission Défense et Cybersécurité chez Bretagne Développement Innovation

17h – S’assurer contre le risque cyber

  • Christophe Delcamp, directeur adjoint Assurances de dommages et responsabilité de la Fédération Française de l’Assurance
  • Nicolas Hélénon, fondateur et co-gérant de NeoTech Assurances (groupe LSN Assurances)

17h15 – Prévenir, réagir et signaler les attaques

  • Catherine Chambon, sous-directrice de la lutte contre la cybercriminalité à la Direction centrale de la police judiciaire
  • Jérôme Notin, directeur général du groupement d’intérêt public Acyma, dispositif national d’assistance aux victimes de cybermalveillance

17h50 – Conclusion par Paul Théron, expert de la cyber-résilience, responsable des offres de cyber-défense de Thales Communications et Sécurité

18h – Cocktail

Les débats seront animés par Fabienne Lissak, ex-journaliste à Bloomberg TV.

Adresse :
55, avenue Bosquet – 75007 Paris

Inscrivez-vous

La French Tech se porte bien selon Bpifrance ! Paul-François Fournier, directeur exécutif de l’innovation de la Banque Publique d’Investissement était invité sur BFM Business le 27 septembre. Il a fait part de son optimisme sur le développement des start-up françaises, appuyé par Emmanuel Macron.

Par Franck Boccara

Les licornes françaises entament réellement leur phase d’émergence à l’image de Doctolib, Deezer, BlaBlaCar, Ivalua, Meero, Veepee (ex-Vente-privee.com), OVH. Ces start-up tricolores non cotées et valorisées à un milliard d’euros font partie des priorités de l’exécutif. C’est d’ailleurs le sens de l’objectif de « 25 licornes françaises d’ici 2025 » qu’a fixé le président Macron la semaine dernière.

Emmanuel Macron, qui désire multiplier ces jeunes pousses françaises à forte valorisation souvent en mal de financements élevés, a indiqué que les grands investisseurs institutionnels français, banquiers et assureurs, vont se mobiliser et investir 5 milliards d’euros pendant trois ans dans les jeunes start-up en croissance du secteur technologique.

Sur ces 5 milliards qui devraient être débloqués par les grands investisseurs français, 2 milliards vont aller vers les fonds late stage, qui investissent des montants se chiffrant en dizaines de millions d’euros dans les start-up ayant déjà commencé à faire leurs preuves et en forte croissance. 3 milliards iront par ailleurs vers des fonds investissant dans la tech en Bourse. L’exécutif espère que les investisseurs étrangers permettront de doubler la mise.

Bpifrance a, de son côté, annoncé qu’elle investirait un milliard d’euros dans les trois ans, dans plusieurs fonds late stage et growth. Les start-up trouvent aujourd’hui en France un terreau propice pour se financer dans les premières étapes de leur existence. Grâce notamment à l’effet de catalyseur de Bpifrance, il existe aujourd’hui de nombreux fonds d’investissement capables d’investir jusqu’à plusieurs millions d’euros dans leur capital.

Pour Paul-François Fournier, directeur exécutif de l’innovation chez Bpifrance, l’objectif est « tout à fait réaliste ». C’est ce qu’il a affirme sur le plateau de Good Morning Business le vendredi 27 septembre en déclarant qu' »On en a eu 4 au premier semestre donc à ce rythme-là, on sera probablement même plus que ça! Aujourd’hui, on en a 7 ou 8 mais je vous rappelle qu’on est resté très longtemps à 3 ou 4″.

L’emergence est donc bien au rendez-vous dans la French Tech et elle est là pour durer selon le patron de l’innovation de Bpifrance. »Il faut bien voir que, ce qui est en train de se passer, c’est un système, ce n’est pas une loterie où, tout d’un coup, apparaissent des jetons de loto et des licornes » précise Paul-François Fournier.
« C’est un système de créations de start-up, parce qu’il y a une vraie logique entrepreneuriale qui se développe, un écosystème du capital-risque français qui est passé d’un à cinq milliards, et qui va passer à dix milliards ».

« Donc tout ça se construit, petit à petit et fait en sorte que notre écosystème est en train de devenir le leader européen » explique Paul-François Fournier, tout en précisant que le developpement des start-up ne fait pas d’ombre aux entreprises classiques, notamment du secteur de l’industrie, en attirant tous les capitaux. « La croissance de ces start-up fait du rapprochement entre la French Tech et la French Fab » démontre-t-il en prenant pour exemple Ynsect, nouvelle licorne de production de nourriture pour animaux à base d’insectes, qui s’apprête à ouvrir une nouvelle usine de production.


La bonne gestion du parc informatique fait partie des conditions indispensables pour assurer une bonne organisation et un management opérationnel optimal. L’entreprise, quelle que soit sa taille, pourra ainsi renforcer la sécurité de ses données, augmenter la fiabilité du matériel et garantir un confort d’utilisation accru aux équipes de travail. Alors, quelles sont les solutions pour une gestion du parc informatique réussie ? Voici quelques pistes.

Par Franck Boccara

Les outils de gestion

On peut trouver, sur le marché, plusieurs outils de gestion du parc informatique, notamment des logiciels très performants qui vous permettront de gérer toutes sortes de parcs informatiques grâce à des packs qui varient selon les thématiques et les secteurs d’activités (SSII / Génie Biomédical…). Parmi ces logiciels, on peut citer par exemple ISTM Octopus. Il faudra tout de même certaines compétences et une période d’apprentissage pour bien maitriser ces solutions qui s’avèrent efficaces pour assister le directeur technique dans le suivi du réseau intranet.

La CMDB

La CMDB (Configuration Management Data Base) est un outil clé dans la gestion du parc informatique dont le rôle est de regrouper les données, techniques, financières et administratives ayant attrait au parc, qu’il soit matériel ou logiciel. La CMDB fournit une analyse précise de la fiabilité et de la puissance de votre système informatique.

Il faudra absolument s’assurer que votre outil de gestion soit capable d’intégrer la gestion de la CMDB.

Externaliser la gestion du parc

Cette solution peut convenir à des PME faisant le choix de ne pas recruter de directeur technique ou informatique pour différentes raisons. Elles pourront faire appel à des agences qui offrent un service de gestion du parc informatique par des informaticiens expérimentés qui prendront la main sur votre système grâce à leur propre outil de gestion, performant et bien à jour.

Cette option vous permettra d’éviter des contretemps coûteux tels que les pannes et les heures d’inactivité qu’elles entrainent puisque ces agences sont en mesure de prévenir et d’anticiper les pannes avant même qu’elles ne touchent votre système. Elles peuvent également intervenir à distance et effectuer des mises à jour sur vos postes et serveurs.

Opter pour un parc informatique homogène

Un matériel informatique et des logiciels homogènes et standardisés permettront d’optimiser le fonctionnement du parc par une gestion et une maintenance plus simple tout en réduisant les coûts de gestion à moyen terme.

Pour cela, Il est avant tout primordial de bien connaitre vos besoins. Il faudra cerner les enjeux que rencontrent vos employés et les joindre à la prise de décision car certains postes nécessitent du matériel particulier.

Pour gagner du temps, éviter cette mobilisation des ressources humaines et effectuer les bons choix, il est possible de faire appel à un manager de transition spécialisé en informatique. Ce type de professionnel, sous contrat d’intérim, vous aidera à trouver des solutions efficaces pour l’organisation de votre parc.

Un plan triennal

L’ensemble des spécialistes et utilisateurs de parc informatique estiment que la longévité des matériels et des logiciels est, en moyenne, de trois ans. Il est donc fortement conseillé de prendre en compte ce délai pour le rafraichissement de votre parc informatique. D’ailleurs, la plupart des garanties offertes par les concepteurs ainsi que l’assurance d’effectuer facilement vos mises à jour ne dépassent pas cette période.


Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

Le prototypage virtuel représente pour les PME et ETI industrielles un formidable outil innovant pour optimiser les moyens de production et les process et répondre aux défis d’un marché fort concurrentiel et en constante évolution. Rendez-vous devant vos écrans le 11 juillet pour tout comprendre sur le prototypage virtuel.

Le prototypage virtuel offre la possibilité aux concepteurs et ingénieurs de concevoir des modèles virtuels et de procéder aux tests dans un environnement virtuel qui regroupe toutes les informations nécessaires pour modéliser la manière dont les matériaux du produit réagiront dans l’environnement réel. Il permet également de visualiser comment le processus de production va affecter le produit final. Le logiciel offre aussi aux concepteurs l’occasion d’effectuer des modifications et de voir les effets qu’auront ces modifications sur le produit fini. Cette innovation dans la conception de produit veut dire que l’ingénieur peut créer des produits qui vont répondre aux spécifications de conception, plus rapidement et à moindre coût que les méthodes de prototypage traditionnelles.

L’utilisation d’une application de prototypage virtuel peut impacter considérablement les performances d’une entreprise en lui permettant de réduire ses coûts de production et de réagir aux opportunités du marché en lançant de nouveaux produits innovants beaucoup plus rapidement et de rester compétitives dans un monde bouleversé par les nouvelles exigences des clients, les réglementations environnementales et l’apparition de nouveaux acteurs.

Augmenter les cadences, réduire les taux de rebuts, accélérer les cycles de développement tout en les sécurisant… tous ces défis peuvent être relevés par le prototypage virtuel !

L’expert :

Ce webinaire sera animé par Dominique Lefebvre, vice-président exécutif Opérations Produits d’ESI Group, qui démystifiera les solutions de prototypage virtuel et vous présentera des cas d’usage concrets.

Infos pratiques :

Rendez-vous sur vos écrans le 11 juillet 2019 de 11h à 12h
La participation à ce webinaire est gratuite et ouverte à tous !


Le French Fintech Tour 2019 se tiendra, pour sa troisième édition à Londres et à Dublin du 2 au 4 juillet 2019. Organisé par Business France, l’évènement vise à accélérer, à travers un roadshow de 3 jours, le développement de Fintechs françaises au Royaume-Uni et en Irlande. Les entrepreneurs français pourront interagir avec les écosystèmes financiers britanniques et irlandais par le biais de conférences, d’évènements de networking et et de rencontres B2B.

Londres reste la capitale mondiale de la Fintech malgré quelques incertitudes liées à la situation politique actuelle et au Brexit. En 2018, plus de 50% des « deals » d’investissements Européens dans ce domaine ont été signé au Royaume-Uni avec un revenu annuel total estimé à 26 milliards dollars.

Le French Fintech Tour 2019 se tiendra, pour sa troisième édition à Londres et à Dublin du 2 au 4 juillet 2019. Organisé par Business France, l’évènement vise à accélérer, à travers un roadshow de 3 jours, le développement de Fintechs françaises au Royaume-Uni et en Irlande. Les entrepreneurs français pourront interagir avec les écosystèmes financiers britanniques et irlandais par le biais de conférences, d’évènements de networking et et de rencontres B2B.

Avec un gouvernement en soutien actif, un cadre réglementaire d’avant-garde et une culture économique axeé vers l’innovation, le Royaume-Uni repésente une terre d’accueil propice au développement des jeunes pousses de la Fintech et d’attire des entrepreneurs venus du monde entier.
« Au Royaume-Uni, une startup sur deux est lancée par un étranger. Ça fait une énorme différence, et ce côté très international permet aux Fintechs d’attirer des très bons profils, les poids lourds du secteur », explique Philippe Gelis, co-fondateur et CEO de Kantox, Fintech multinationale spécialisée dans la gestion du change.
Le pays compte d’ailleurs nombre de programmes d’accélération et incubateurs de pointe dans la Fintech, comme le Startup Bootcamp FintechLevel 39 ou encore l’incubateur de Barclays, Rise.

L’objectif du French Fintech Tour 2019 sera donc clairement de connecter chaque Fintech à de potentiels clients, partenaires, mentors ou investisseurs.

⇒ Tout savoir sur le French Fintech Tour UK : https://events-export.businessfrance.fr/frenchfintech/
⇒ Votre contact connaitre les opportunités du marché anglais et l’accompagnement de Business France pour les fintech : Emmanuelle DROUINEAU – emmanuelle.drouineau@businessfrance.fr

Les PME françaises ont démarré leur tranformation digitale pour affronter un marché globalisé très concurrentiel. En effet, les 3 millions de PME françaises voient l’incroyable potentiel de développement que représentent les 38.8 millions consommateurs en ligne présents dans l’héxagone. Cependant, nos PME accusent un retard sur leur transformation digitale en comparaison de nos voisins européens.

Par Franck Boccara

En France 2 PME sur 3 France possèdent un site internet contre 3 sur 4 dans le reste de l’UE. Les ventes réalisées via le e-commerce ne représentent, en moyenne que 3% du chiffre d’affaires de nos PME.

Le retard de celles-ci dans leur tranformation digitale se manifeste principalement en terme d’adoption de solutions digitales comme la présence sur le net et sur les réseaux sociaux, la vente en ligne ou encore la mise en place d’outils digitaux permettant d’améliorer la productivité. Naturellement, ce sont parmi les PME les plus petites que le retard est le plus significatif.

De fait, il y a un décalage entre le niveau de maturité des consommateurs français et celui de leurs entreprises. Par exemple, une PME sur huit propose des ventes en ligne alors que sept français sur dix consomment sur internet. Cette différence profite donc directement aux entreprises étrangères et à l’import alors que nos PME peuvent récupérer jusqu’à 1.5 millions de consommateurs en rattrapant leur retard.

Les PME françaises qui ont déjà amorcer ou finaliser leur transformation digitale ont quatre fois plus de chance d’exporter que le reste des PME françaises dans la mesure où cette capacité numérique leur offre la possibilité d’accéder à des places de marché mondialisées. Les ventes en ligne représentent 40% de la croissance totale des ventes sur l’héxagone ces dernières années, notamment dans les domaines du tourisme et voyage, de la distribution ou encore de la restauration.

Il existe bel et bien une prise de conscience de nos PME pour la tranformation digitale et beaucoup d’efforts y sont déjà engagés, ce qui a permis la naissance et le développement d’un véritable marché de la transformation digitale pour les années qui viennent. Il reste juste quelques barrières à faire tomber telles que certaines lacunes dans les compétences techniques digitales, dans l’investissement dans cette voie ou encore dans la méconnaissance des outils digitaux existants. A bon entendeur !

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