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International

Le sultanat d’Oman est une destination touristique de plus en plus prisée par les français et ce n’est pas un scoop. Ce que l’on sait moins, c’est que ce petit pays s’ouvre clairement au MICE et au tourisme d’affaire en offrant aux entreprises toutes les solutions de congrès, évènements et incentive.

Par Franck Boccara

Avec des paysages variés allant d’immenses plages à des déserts mythiques en passant par des montagnes où la faune et la flore vous surprendront, le sultanat d’Oman saura séduire les touristes les plus blasés, notamment les français dont la fréquentation est en forte hausse.

Le sultanat, qui voit dans le tourisme un moyen de diversifier une économie fortement dépendante du pétrole, a bien compris le potentiel du segment tourisme d’affaire en adoptant une stratégie d’investissement dans des infrastructures à la hauteur des ses ambitions.

Une salle de conférence du centre de convention

Parmi ces infrastructures business, Oman s’est doté d’un centre de convention à faire palir plus d’une capitale occidentale. Ouvert en 2016, ce lieu proche de l’ancien aéroport de la capitale Mascate comptait jusqu’à présent cinq halls d’exposition répartis sur 22 000 m². Mais c’était sans compter l’inauguration, en ce mois de novembre 2019, d’un superbe auditorium de 3200 places doté de 14 salles de réunions et deux ballrooms ayant une capacité d’accueil de 2360 personnes. Le centre de convention et d’exposition a déjà prévu pour 2020 l’organisation de quatre congrès allant de 1000 à 5000 participants.

Ce gigantesque projet fait partie d’un développement urbain MICE qui va s’intensifier en intégrant, dans sa stratégie, le quartier de Madinat Al-Irfan. Nouvelle porte d’entrée de la ville, ce quartier va voir fleurir très vite hôtels, bureaux et logements à l’image du JW Marriot qui ouvrira en fin d’année, venant s’ajouter au Crowne Plaza qui trône déjà aux alentours du centre de convention. C’est en tout sept hotels qui sont attendus pour atteindre une capacité d’acceuil MICE allant jusqu’à 8000 personnes.

L’aéroport international de Mascate

Du fait de sa proximité avec l’aéroport international, le centre de convention va bénéficier de l’expansion du hub de Mascate et de son nouveau terminal qui verra transiter 12 millions de voyageurs avec des solutions d’accueil dédiées au groupes avec zones et guichets spéciaux. Il existe d’ailleurs un vol direct quotidien vers Paris assuré par Oman Air qui compte bien augmenter cette fréquence compte tenu de l’intense trafic entre les deux capitales.

La plage aussi…

Cet aéroport permettra aussi aux voyageurs d’affaires de décoller vers les magnifiques sites touristiques que compte le sultanat d’Omar comme Salalah, dans le sud du pays ou encore vers les fjords de la péninsule du Musandam, autant de sites magiques qui offrent des solutions idéales pour les voyages incentive, comme des dîners dans le désert ou dans les nombreux forts parfois classés à l’Unesco. Le bureau MICE, chapeauté par le ministère, a bien l’intention de faire du sultanat d’Oman un must dans le domaine de l’incentive en s’appuyant sur les 4000 chambres d’hôtels qui ouvriront l’an prochain dans le pays pour accueillir cette manne touristique.

La CCI France Suisse organise 13ème Forum d’Affaires Franco-Suisse (FAFS) qui se tiendra le mercredi 21 septembre 2022 à l’hôtel Ramada Encore by Wyndham Geneva. Depuis 2010, l’évènement rassemble chaque année plus de 200 dirigeants français et suisses. Comme ses prédécesseurs, le FAFS 2022 s’annonce comme le rendez-vous de l’année qui vient booster les contacts et mises en relation d’entreprises françaises et suisses pour le développement de partenariats d’affaires transfrontaliers.

Vous êtes dirigeants ou cadre supérieur d’une PME ou d’une ETI ?Participez au 13ème Forum d’Affaires Franco-Suisse (FAFS) consacrée aux rencontres franco-suisses. Cette journée sera l’occasion pour ses participants de :

CONNECTER

Rencontrez de potentiels partenaires d’affaires en constituant votre programme de rendez-vous B2B en amont de l’événement et profitez des différents moments informels pour des échanges privilégiés.

SENSIBILISER

Découvrez un sujet d’actualité sous un spectre franco-suisse avec des présentations ex-cathedra, tables-rondes ou pitch de représentants académiques, élus politiques et entrepreneurs.

INFORMER

Bénéficiez d’informations concrètes sur des problématiques transfrontalières grâce aux ateliers techniques animés par des experts français et suisses du marché.

Le 13ème forum d’affaires franco-suisse sera articulé autour de 4 Temps forts :

  • Conférence-cocktail avec Raphaël Domjan, initiateur et pilote de SolarStratos, sur le thème « Partir de zéro et aller au succès »
  • Cocktail déjeunatoire : Moment privilégié pour les échanges informels entre participants.
  • Rendez-vous B2B (15 min./rdv) : Possibilité de rencontrer jusqu’à 10 entreprises qualifiées au préalable depuis une plateforme d’inscription dédiée. Une opportunité de promouvoir son entreprise et son expertise auprès des autres participants et de trouver de futurs partenaires d’affaires.
  • Ateliers thématiques et techniques : Informations sur des sujets d’actualité et Questions/Réponses sur des problématiques transfrontalières.

Quelques informations sur les relations économiques franco-suisses

La Suisse est le 9ème partenaire commercial de la France (et le 4ème hors UE). Les échanges de marchandises de la France vers la Suisse sont excédentaires (+1,5 Mds EUR en 2020). Ces échanges bilatéraux sont intenses dans trois grands secteurs (pharmacie, horlogerie, bijouterie-joaillerie), trois autres grands postes d’exportation de la France vers la Suisse étant liés à son positionnement dans le secteur des transports (aéronefs et engins spatiaux, véhicules automobiles et navires).

La Suisse est le 2ème investisseur ultime en France (stock d’IDE de 82 Mds EUR fin 2018). La France est le 5ème investisseur ultime en Suisse (stock d’IDE de 43 Mds EUR fin 2018). Les entreprises françaises détiennent en Suisse plus de 1.600 filiales et succursales employant plus de 75.000 personnes (2019), faisant de la France le troisième employeur étranger en Suisse.

Et bien sur, il ne faut pas oublier les quelques 191 000 frontaliers français qui travaillent quotidiennement en Suisse, dont près de 60% habitent en région Auvergne-Rhône-Alpes – le reste se partageant à part presques égales entre le Grand Est et la Bourgogne-Franche-Comté.

Tarifs :  CHF 100.- pour les membres CCIFS / CHF 150.- pour les non-membres CCIFS

INSCRIVEZ-VOUS !

Contact

CCIF Suisse
Laureen COLIN
+41 (0)22 849 85 50
lcolin(@)ccifs.ch

Les grandes écoles françaises intensifient leur développement en Afrique pour bénéficier de ce marché en pleine expansion. A l’image de l’ESSEC, HEC ou Centrale, ces écoles s’implantent dans les pays francophones au fort potentiel économique tels que La Côte d’ivoire, le Maroc ou le Sénégal et créent de la sorte un partenariat gagnant-gagnant puisqu’elles représentent une alternative pour les étudiants africains qui n’ont pas les moyens de faire leurs études en France.

Par Franck Boccara

Les grandes écoles françaises ont pour coutume d’accueillir les étudiants africains dans l’Hexagone mais à présent elles vont à leur rencontre en s’implantant directement sur le sol africain pour profiter de ce marché exponentiel et rayonner à l’international. en effet, Le nombre d’étudiants devrait passer de 8 à 30 millions en Afrique d’ici à 2030 alors que de nombreux pays de ce continent souffrent d’un déficit de formations supérieures.Il ne se passe pas un mois sans qu’une école publique française ou privée (l’Ecole supérieure de gestion ou l’Ecole supérieure de génie informatique) n’annonce l’ouverture d’un campus ou d’un bureau de représentation en Afrique.

Le Maroc en tête

Il faut compter une bonne dizaine de grandes écoles françaises qui ont ouvert leurs portes au Maroc en douze ans, parmis lesquelles l’Ecole des Mines, Centrale, l’Insa, l’Essec, l’université Paris-Dauphine ou encore l’école de management Toulouse Business School qui a inauguré son nouveau campus à Casablanca en mai 2017.La capacité d’accueil des universités marocaines arrivant à saturation, le pays compte sur ces prestigieuses grandes écoles françaises pour former les très nombreux ingénieurs et entrepreneurs dont il a besoin. De plus, Le Maroc joue intelligement la fonction de trait d’union entre l’Europe et l’Afrique, et attire de nombreux étudiants subsahariens dans ses universités.Avec l’arrivée de ces grands établissements français, le royaume chérifien va chercher à se positionner comme le hub de la formation universitaire en Afrique en s’appuyant sur sa proximité et son accessibilité pour les étudiants africains et représenter ainsi un parfait compromis puisque le diplôme français reste un titre prestigieux et monnayable pour ces derniers.La formation des futurs cadres africains s’inscrit dans la stratégie marocaine d’influence en Afrique. L’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) vient justement d’annoncer une augmentation du nombre de bourses destinées aux étudiants subsahariens. A l’Ecole Centrale de Casablanca, plus de 30% des étudiants viennent d’Afrique subsaharienne.

Sénégal et Côte d’Ivoire

Le Sénégal et la Côte d’Ivoire ne sont pas en reste. Ils accueillent également  les grandes écoles françaises ainsi que de nombreux d’étudiants venant des pays d’Afrique de L’Ouest.
HEC, par exemple, qui forme depuis des années des cadres africains (en formation continue) en Afrique du Sud, au Kenya à Madagascar et au Maroc, vient d’ouvrir un bureau à Abidjan.

Autre exemple: une école de cybersécurité à vocation régionale a été inaugurée le 6 novembre 2018 à Dakar avec, pour vocation, d’accompagner la montée en puissance de l’internet africain. Cet établissement a pour projet également de lutter contre le piratage informatiquequi très actif en Afrique.

Bien que La francophonie permette de créer un lien fort, les pays anglophones comme l’Afrique du Sud, le Ghana, ou le Kenya, ne sont pas oubliés. En effet, Sciences-Po a annoncé l’inauguration de son premier bureau de représentation à Nairobi, au Kenya tandis que L’ESIEE, école d’ingénieurs française, possède deux campus en Afrique du Sud, au Cap et à Pretoria.

Erasmus+

Devancée de très loin par New York, Londres ou Hong Kong, l’Afrique arrive cependant à attirer les étudiants français par le biais du programme européen Erasmus +.
De plus en plus d’étudiants européens décident d’effectuer leurs stages internationaux sur le continent africain qui émerge et où convergent tous enjeux contemporains.
Bien sur, la concurrence n’est pas en reste puisque les universités américaines ou chinoises renforcent elles aussi leur présence pour former la nouvelle jeunesse africaine, et repérer les meilleurs talents.

Pure London est beaucoup plus qu’un simple salon de la mode. C’est un rendez-vous qui réunit les esprits les plus brillants du secteur de la mode deux fois par an pour présenter les meilleur collections de la saison, renifler les dernières tendances, obtenir des informations commerciales exclusives et créer des connexions avec l’international. La participation française au Choose France @ Pure London S/S 2022 est organisé par HYVE GROUP. Pure London est le principal salon de la mode au Royaume-Uni . Organisé deux fois par an à l’emblématique Olympia London, Pure London est la plate-forme idéale pour les marques émergentes et les plus grandes marques de se connecter avec les acheteurs et les détaillants qui sont les plus importants pour eux. L’évènement bénéficiera des largesses des gouvernements de plusieurs marchés, bien décidés à utiliser ce type d’événement pour doper les exportations après la crise sanitaire. La nouvelle équipe internationale a déjà réussi à s’assurer “des subventions d’acteurs-clés, comme la France et la Pologne, pour soutenir son offre de marques internationales“. En partenariat avec Business France et Team France Export, le programme ‘Choose France‘ de Chèque Relance Export va couvrir 50% des dépenses éligibles des marques françaises décidant de participer au salon, dans la limite de 2 500 €. Pinker Moda – Últimas noticias sobre Moda » Pure London est de ce fait la destination de salon idéale pour les détaillants qui cherchent à élargir leur offre de produits, découvrir leur prochain best-seller et garder une longueur d’avance. Soyez l’une des marques que les acheteurs recherchent chez Pure London . Qui sera présent ? Vous y rencontrerez les acheteurs et les professionnels de l’industrie qui assistent à Pure London chaque saison, des grands noms de la maison aux petites boutiques indépendantes. Chaque saison, nous accueillons les principaux détaillants à travers les portes d’Olympia London, vous aidant à faire connaître votre marque aux acheteurs qui comptent le plus pour vous. Pure London fournit une plate-forme mondiale pour les marques et les designers de vêtements pour femmes, hommes et enfants pour rencontrer les acheteurs qui comptent le plus pour leur entreprise. Rejoignez la prochaine édition à notre retour à l’emblématique Olympia à Londres, du 17 au 19 juillet 2022. Contact: HYVE GROUP Nihat BERKTAS nihat.berktas@hyve.group

Pour être contacté

Le voyage d’affaires revient en force ! Le média américain Bloomberg et le baromètre mensuel du think tank français Marco Polo confirment cette tendance à la reprise. Ce sont les secteurs de la technologie, du commerce de détail, de l’administration et de la défense qui de démarquent par le volume de leurs déplacements tandis que les banques rattrapent leur retard…Petit tour d’horizon

Par Serge de Cluny

“Les pessimistes avaient tort : les voyageurs d’affaires reviennent », se rejouit Andrew Crawley, directeur commercial Monde d’Amex GBT sur Bloomberg TV puisque sa TMC connait un rebond d’activité à 61 % de son niveau pré-pandémique, contre seulement 25 % au pic de l’épidémie d’omicron. De même, CWT (Carlson Wagonlit Travel) confirme que “les réservations dépassent aujourd’hui la moitié des niveaux pré-pandémiques, alors qu’elles ne représentaient que 20 % au début de l’année.”

Le spécialiste du voyages d’affaires FCM Travel confirme lui aussi cette reprise en indiquant que les réservations sont à 80 % par rapport à 2019 et, pour certains endroits, elles ont même légèrement dépassé les chiffres de cette année de référence. « Ça revient beaucoup plus fort que ce que l’on avait prévu », selon un de ses dirigeants.

La question de la durabilité

Ces chiffres sont peut-être les effets d’un phénomène de rattrapage mais cela n’empêche pas les compagnies aériennes de déployer leurs flottes et d’établir leurs réseaux d’avant la pandémie. L’indice Bloomberg World Airlines a repris près de 50 % depuis son plus bas niveau de mai 2020. Delta Airlines affiche de son côté des réservations d’affaires intérieures atteignant 70 % du niveau de 2019, et déclare que la quasi-totalité de ses entreprises clientes prévoient de voyager davantage pendant la 2ème moitié de l’année.

Pour United Airlines, le voyage d’affaires domestique dépassent l’année 2019 à la même période.  « Je pense que ce trimestre, nous serons en mesure de balayer la question Les voyages d’affaires reviennent-ils ? » déclare Scott Kirby, DG de la compagnie, avant de rajouter : « Le fait que les voyages d’affaires se redressent si rapidement nous rend vraiment, vraiment confiants.« 

Ces perspectives positives connaissent cependant un certain bémol car le voyage d’affaires connait des disparités au niveau international. L’Asie casse un peu la tendance avec par exemple la plus grosse destination du continent qu’est la Chine où des villes entières sont encore confinées ainsi qu’à Hong Kong qui a adopté une politique extrème dans laquelle les visiteurs étrangers sont mis en quarantaine des leur arrivée.

Quid de la France ?

C’est en Amérique du Nord que cette tendance est la plus marquée mais l’Europe, et notamment le France, connaissent un phénomène similaire. Le think tank Marco Polo qui s’est occupé de mesurer l’activité du secteur dans un marché européen, confirme qu’en France les données chiffrées sont plus encore plus encourageantes puisque l’activité de mai 2022 augmente de 14% par rapport à celle du mois d’avril et atteint 90% de son niveau de mai 2019.

Cette forte hausse représente un indice d’autant plus positif qu’elle constitue « une performance d’autant plus remarquable qu’elle s’est réalisée dans un contexte où l’offre n’a pas toujours été en mesure de satisfaire la demande, pour des raisons de disponibilité des matériels et/ou du personnel, notamment dans l’aérien », analyse-t-on du côté du think tank. 

La Côte d’Ivoire reste, pour les entreprises françaises, la porte d’entrée à un marché ouest africain en expansion permanente. Le pays ouvre ses portes aux PME et ETI pour une mission d’entreprises à Abidjan dans laquelle elles pourront avoir accès à tous les outils et contacts nécessaires pour un développement commercial cohérent.

Avec 16 Milliards de dollar d’aide publique au développement brute en 2019 (selon l’OCDE), les pays de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest) bénéficient de nombreux programmes de financement de la part de leurs principaux partenaires bilatéraux et multilatéraux : Banque mondiale, institutions européennes, Banque africaine de développement (BAD), Banque ouest-africaine de développement (BOAD), Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC), etc. Dans le cadre de leurs instruments financiers tels que le financement d’études, prêts, prises de participation, lignes de crédit et garantiesces institutions participent activement au déploiement et financement de projets (infrastructures, services, développement rural) dans la région.

Cette mission d’entreprises à Abidjan, sur le thème des « Financements en Afrique de l’Ouest » comprendra notamment une participation au Forum UE-CEDEAO et sera également l’occasion de : 

  • présenter les donneurs d’ordre et projets en cours dans les pays de la CEDEAO :  Bénin, Burkina Faso, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Niger, Nigéria, Sénégal, Sierra Leone et Togo ; 
  • connaître les modalités d’intervention, priorités sectorielles (énergie, transport, développement urbain, eau et assainissement, etc.) et procédures de passation de marchés des institutions financières multilatérales et africaines ; 
  • faire valoir l’expertise et les solutions portées par les entreprises françaises en Afrique de l’Ouest ; 
  • participer à diverses conférences et tables rondes sur des thématiques transverses (villes durables en Côte d’Ivoire, chaînes de valeur agroalimentaire, etc.)
  • partager les bonnes pratiques et retours d’expérience terrain en matière de préparation, structuration et financement de projets. 

MEDEF International étant agréé pour l’«Assurance Prospection Accompagnement» de Bpifrance. Les entreprises réalisant un chiffre d’affaires export inférieur à 1 M EUR peuvent bénéficier d’une avance de trésorerie permettant de couvrir tout ou une partie des frais de déplacement et de participation. Pour plus d’informations, cliquez ICI

Par ailleurs, les entreprises intéressées (et réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 30 M EUR) peuvent également s’inscrire à l’AFRICA CEO FORUM qui se déroulera à Abidjan les 13 et 14 juin 2022.

Vous pouvez utiliser le code promo «MEDEF-22-20» pour vous inscrire à la mission d’entreprises à Abidjan en cliquant ICI  

Pour tout complément d’information, nous vous invitons à contacter

  • Mme Alice FERAY, chargée de projet IFIs de Medef International :  aferay@medef.fr / Tél : +33 01 53 59 16 09
  • M. Gauthier VASSAS, Chargé de projet (Afrique de l’Ouest et centrale) de MEDEF International :
    gvassas@medef.fr  / Tél : +33 01 53 59 16 31

INSCRIVEZ-VOUS!

(Date limite d’inscription : 3 Juin 2022)

Air France poursuit sa politique de montée en gamme en misant sur un confort optimal pour les voyageurs. La compagnie aérienne française vise toujours plus haut avec un renouvellement de sa flotte, une rénovation de ses salons, une offre de restauration plus durable signée par des chefs étoilés en cabines Business et La Première. Air France est bien décidée à incarner l’image du « French Touch » et à se faire une place parmi le top des compagnies d’aviation mondiales.

Par Lætitia Conti

Air France vient d’annoncer ces derniers jours que ses tout derniers sièges allaient être installés, à bord de douze B777-300, en classe Affaires (48 fauteuils) ainsi qu’en Premium Economy (48) et Economy (273) à partir de ce mois de septembre, le premier à destination de New York-JFK.

Son offre La Première, qui est proposée sur certains B777-300 (ses A350 sont configurés tri-classe Business-Premium-Economie), va aussi être optimisée. Créées en 2014, les suites La Première d’Air France sont disponibles cet été pour des destinations « emblématiques » en Amérique du Nord, Amérique du Sud, Afrique et au Moyen-Orient, selon la demande. Pour l’Asie, la compagnie francaise attendra que la situation sanitaire et ses restrictions soient plus claires. “Même au plus fort de la crise Covid, nous avons pu observer l’attractivité d’une telle offre pour nos clients, particulièrement sur l’axe nord-atlantique, sur lequel le taux d’occupation en cabine La Première est aujourd’hui plus élevé qu’en 2019 » explique Benjamin Smith, le directeur général d’Air France-KLM en précisant qu’il a hâte de dévoiler la nouvelle cabine équipée aux plus hauts standards mondiaux.

Air France se réjouit de travailler en ce moment à la conception d’une cabine de voyage, La Première totalement inédite. Actuellement en phase de design, ce nouveau concept sera dévoilé durant la saison hiver 2023/2024, avec de premières mises en service dans les mois suivants. Cette nouvelle cabine se veut être “la plus longue” du marché en offrant jusqu’à trois espaces de vie modulables et complètement privatifs : un siège, une méridienne et un lit entièrement plat. Air France promet que la cabine nouvelle génération sera proposée sur un plus nombre d’appareils qu’aujourd’hui.

Un cocktail networking franco-finlandais sur le thème de l’Intelligence artificielle (IA) dans l’industrie se tiendra le 17 mai 2022 de 18h à 21h30. Bpifrance vous convie à y participer afin de mesurer le potentiel du marché finlandais dans ce domaine et de vous appuyer sur les relais de l’écosystème économique français. 

Vous avez un projet et vous recherchez un partenaire ou vous êtes tout simplement intéressé par les possibilités du marché finlandais, ce cocktail networking franco-finlandais est une occasion pour vous de venir rencontrer une délégation d’entreprises innovantes et prometteuses et de connaitre les acteurs qui font rayonner l’écosystème français. 

La Finlande en ligne de mire

En plus d’avoir été élu « pays le plus heureux » par Le World Happiness Report qui la place encore pour cette année encore à la tête de son classement, la Finlande est un pionnier en matière d’adaptation de l’intelligence artificielle aux processus industriels. Le pays compte plus de 400 startups d’Intellingence Artificielle et a décidé de se placer comme l’un des leaders européens dans ce domaine.

Ce cocktail networking franco-finlandais vous permettra de vous renseigner sur l’ouverture d’un appel à projets pour financer des projets de R&D collaboratifs entre entreprises françaises et finlandaises (clôture des candidatures le 26 septembre 2022).

Cette initiative de collaboration à travers des projets d’innovation a été lancée par Bpifrance et Business Finland en s’appuyant sur le réseau Eureka. Elle a pour but de permettre aux entreprises d’établir des alliances stratégiques de long terme et d’atteindre de meilleurs résultats R&D et business.

Le Programme 

18h00 : Arrivée des participants
18h30 : Introduction 
18h50 : Lancement de l’appel à projets de R&D collaborative entre entreprises innovantes françaises et finlandaises de l’Intelligence Artificielle
19h00 : Pitching session 
19h20 : Cocktail networking

Informations Pratiques

Date et heures : le 17 mai 2022 de 18h à 21h30 

Inscription : inscription obligatoire, participation gratuite

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S’implanter en Allemagne doit faire l’objet d’une approche la plus maîtrisée et la plus directe possible pour y réussir. Les PME et ETI qui ont déjà franchi le pas vous le confirmeront : un investissement stratégique franc et massif s’impose et pour cela l’implantation physique reste la meilleure solution pour se faire une place sur le marché allemand. La CCI France International organise un masterclass le 12 mai pour vous bien expliquer les moyens de procéder.

Les entreprises qui désirent s’implanter en Allemagne ont compris qu’il s’agit d’un marché de proximité à fort potentiel mais également d’un marché fortement concurrenciel avec une offre locale souvent bien établie. L’esprit des acheteurs allemands est généralement tourné vers une recherche de fournisseurs dans l’environnement local en priorité avant d’envisager de faire appel aux solutions que peuvent offrir les acteurs étrangers.

L’approche gagnante et pérenne consiste donc à augmenter la visibilité de votre entreprise auprès de ces acheteurs allemands, à affirmer la solidité de votre présence sur le marché et à rassurer vos prospects et clients sur votre capacité de service « à l’allemande » : salariés germanophone, moyens de communication locaux, réactivité, suivi rigoureux, ….

S’implanter en Allemagne sous forme d’antenne commerciale ou de structure juridique vous permettra de capitaliser sur vos noms et marques et de répondre aux nombreuses exigences que sont les facilités de communication, l’image, le service client, l’administration, ou encore le recrutement.

Pendant cette masterclass, vous aurez l’occasion de connaitre les différents statuts pour s’implanter en Allemagne et les avantages qu’elles peuvent vous offrir :

  • L’antenne commerciale
  • Le VIE
  • Le recrutement d’une ressource locale
  • La création de filiale de type GmbH
  • La croissance externe
  • Cas pratiques et questions/réponses

il sera possible par la suite d’avoir un entretien individuel avec les conseillers de la CCI France Allemagne. Cet échange permettra d’aborder de facon particuliere votre situation et vos projets de développement en Allemagne.

Intervenants

  • Aurélie DEVILLARD, conseillère Allemagne – CCI France Allemagne
  • Denis NEUMAYER, directeur BPO – CCI France Allemagne

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Contact

CCI France Allemagne
Fatima Lahcene
f.lahcene(@)e-netmail.com
www.ccifrance-allemagne.fr

La guerre entre Ukraine et la Russie a réveillé tous les spectres de cyberattaques sur l’Europe et ses entreprises. La menace est prise très au sérieux par l’ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information) qui préconisent de mettre en place 5 mesures préventives prioritaires pour protéger les systèmes informatiques des PME et ETI.

Par Serge de Cluny

Ce n’est pas ce conflit à l’est de l’Europe qui a crée les risques de cybermalveillance et il faut comprendre que la lutte contre ce fleau s’inscrit dans une démarche de long terme. Cependant au vu de la situation, l’ANSSI conseille d’adopter à court terme 5 mesures visant à :
– renforcer l’authentification sur les systèmes d’information
– accroître la supervision de sécurité
– sauvegarder hors-ligne les données et les applications critiques
– établir une liste priorisée des services numériques critiques de l’entreprise
– s’assurer de l’existence d’un dispositif de gestion de crise adapté à une cyberattaque

1 – Sécuriser l’authentification des comptes

Cette mesure est urgente et indispensable, en particulier sur les comptes les plus sensibles, c’est à dire ceux avec lesquels les administrateurs accèdent à l’ensemble des ressources ainsi que les comptes utilisés dans les postes les plus sensibles de l’entreprise (organe de direction, cadres dirigeants…). Pour cela, Il faudra prioriser l’utilisation d’une authentification forte sur ces comptes à l’aide de deux facteurs d’authentification :
– Un mot de passe tracé de déverrouillage ou une signature
– Un support matériel tel qu’une carte à puce, un jeton USB ou carte magnétique ou au moins une demande de code sur un autre appareil (un code SMS, par exemple)

2 – Renforcer la supervision de sécurité

L’ANSSI conseille de mettre en oeuvre une supervision de sécurité journalière sur les points d’entrée dans les systèmes d’information (points d’entrée VPN, bureaux virtuels, contrôleurs de domaine…). Les services et collaborateurs en charge de cette surveillance doivent rester à l’affut de toute anomalie ou connexion anormale, même celles qui paraissent insignifiantes, ainsi que de toute alerte dans les consoles d’antivirus.

Pour les entreprises qui le peuvent, il est également souhaitable de déployer des outils de visibilité sur l’état de sécurité des systèmes d’information (Sysmon, EDR, XDR).

3 – Sauvegarder les données et applications sensibles hors-ligne

Toute les entreprises procèdent à des sauvegardes de données à une fréquence quasi quotidiennes. Pour plus de sécurité, l’ANSSI préconise de procéder à ces sauvegardes de façon déconnectée du système d’information, surtout pour les données essentielles et fondamentales à la continuité de l’activité. Ce process n’est pas compliqué puisqu’il suffit par exemple de sauvegarder sur des disques durs externes ou des bandes magnétiques.

Grâce à cette précaution, l’activité pourra continuer normalement en cas de cyberattaque. Bien sur, l’actualisation des sauvegardes doit être effectuée tres régulièrement afin qu’elle soit efficace en cas d’attaque.

4 – Bien identifier les services numériques sensibles de l’entreprise et les lister selon leur importance

Pour adopter une politique de cybersécurité cohérente, l’ANSSI précise que l’entreprise doit avoir une vision nette et claire de ses différents systèmes d’information avec leur niveau de criticité et de dangerosité.

Si ce n’était pas le cas, il sera nécessaire de procéder à l’inventaire de tous les systèmes, outils digitaux et applications, service par service, établissement par établissement. Le but de cet inventaire est d’abord d’avoir une meilleure vue d’ensemble de la structure digitale de l’entreprise mais aussi et surtout d’agir méthodiquement. Il faudra aussi identifier les dépendances vis-à-vis des prestataires afin de les solliciter efficacement en cas de problème, ce qui nous amene à la cinquième mesure.

5 – Définir un dispositif de gestion de crise

Préparer des points de contact en cas d’urgence, notamment pour les prestataires de services numériques et pouvoir disposer des numéros et codes à proximité (pour cela la bonne vieille version papier reste une solution simple et efficace).
L’idée est de mettre en place un protocole d’urgence permettant d’assurer la continuité de l’activité en cas de cyberattaque. Pour cela, n’hésitez pas à procéder régulièrement à des exercices de simulation selon votre exposabilité à ces menaces et définir ainsi un plan de réponse en réaction à une cyberattaque.

Enfin, le plan de reprise informatique n’est pas moins important et doit être concu par les équipes techniques pour pouvoir remettre en service les systèmes d’information impactés en cas de cyberattaque et restaurer ainsi les systèmes et données.

L’ANSSI met à la disposition des PME et ETI certaines recommandations
et propose également un Guide d’Hygène Informatique très complet pour vous accompagner dans la mise en place d’un système sécurisé efficace pour votre entreprise

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