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CPME

Impact PME 2021 donne rendez-vous aux dirigeants de TPE et PME le mercredi 15 décembre au Carreau du Temple à Paris pour son salon annuel. L’évènement de la CPME marque la reprise et se veut être une journée d’échanges, d’inspiration et de conseils qui sera retransmise en TV/radio/digital.

L’heure est à la relance pour les TPE et PME qui ne ménagent pas leurs efforts pour relever les défis de la reprise économique, et ceux-ci sont nombreux :
– Pénuries de main d’œuvre et enjeux de recrutement
– Augmentation des coût et difficultés d’approvisionnement de matières premières
– Accélération de la transformation digitale et énergétique ainsi que de la RSE
– Adaptation aux nouvelles tendances de consommation et aux nouveaux circuits de distribution crées par les confinements successifs
– Reprise du paiement des charges sociales et remboursement des PGE
– Choix des nouveaux modèles de travail : retour physique des équipes, télétravail ou solutions « hybrides »
– Changements des pratiques managériales pour s’adapter aux nouvelles attentes des collaborateurs

Pour la troisième édition du salon, Impact PME 2021 met les TPE et PME en rapport avec des experts qui leur présenteront les meilleurs outils et solutions du moment pour affronter les défis de la reprise.

Impact PME 2021 fera également intervenir des entrepreneurs grâce aux équipes de la rédaction de BFM Business délocalisées sur le plateau TV du salon.

Le programme

PLENIERE : quelles mutations viennent impacter les entreprises ?

Autour de François Asselin, président de la CPME, des personnalités mèneront une réflexion passionnante sur les perspectives des PME dans un contexte marqué par de multiples mutations.
Mutations du travail à l’œuvre avec le développement du télétravail et la pénurie de main d’œuvre ; nouveaux modes de consommation ; accélération de la digitalisation, poussée de la RSE et de la transition écologique dans les PME, mais également la relocalisation et les difficultés d’approvisionnement. 

CONFERENCES

Face aux défis de la reprise, 6 conférences donneront des solutions concrètes aux entrepreneurs

Happy Boulot le mag avec Laure Closier
Comment gérer la RH pour les PME qui ont besoin de conseil mais n’ont pas les moyens de consulter les cabinets spécialisés ? Comment donner l’envie, la motivation aux employés de revenir au travail ? Quelle nouvelle approche audacieuse pour demain ? 

BFM Business avec vous avec Lorraine Goumot
Pénurie de matières premières/composants, inflation, risque cyber, données personnelles RGPD, Lorraine et ses experts vous répondent !

La France a tout pour réussir avec Jérôme Tichit
Une présentation des plus belles réussites de PME pour l’année 2021, comment ont-elles vécu cette année de transition ? 

Objectif raison d’être avec Cyrielle Hariel
Climat : comment initier sa transition écologique et énergétique lorsqu’on est une entreprise industrielle ?

BFM Stratégie avec Frédéric Simottel et Xavier Fontanet
Le cours de Xavier piloté par Fred, en interaction avec le public !

Tech & Co avec François Sorel et Frédéric Simottel
Comment accélérer la mise sur le marché des innovations technologiques des PME : cyber sécurité, logiciels finance et comptabilité, e-commerce enfin le boom !

ATELIERS

Sur le stand CPME, 5 ateliers seront animés par des experts et des dirigeants de TPE-PME qui partageront leur expérience.

D’une durée de 45mn chaque, ils permettront de faire le plein de bonnes pratiques orientées PME en termes d’accès aux financement, de RH et fidélisation des salariés, d’initiation à l’export, de protection face au risque cyber ou encore d’outils de relance au service de la transition écologique des PME. 

Les entreprises ont un rôle majeur à jouer dans la réduction des impacts sur la biodiversité, mais aussi dans la restauration et la valorisation de la biodiversité et des écosystèmes. Le souci de la biodiversité dans la stratégie des entreprises est très largement insuffisant. Dans les DPEF (Déclarations de Performance Extra-Financière), les analyses de matérialité ne font que très rarement émerger la biodiversité comme un risque. L’année 2021 a cependant bien commencé avec de belles initiatives qui marquent une certaine prise de conscience…le point là-dessus.

Par Bertrand Desmier, Expert associé Tennaxia

Bonne nouvelle, les choses bougent ! Plusieurs événements majeurs seront consacrés en 2021 à la biodiversité COP15 en Chine et Congrès mondial de l’UICN à Marseille, et le 1er janvier, l’Unesco a ouvert la Décennie des océans. Ce mois de janvier aura été riche de nombreuses initiatives destinées aux entreprises, afin qu’elles s’engagent en faveur de la biodiversité.

28 janvier 2021

Dernière initiative en date, le lancement de Science Based Targets Nature ! A ce jour, près de 1200 entreprises dans le monde se sont engagées dans la transition vers le « zéro carbone » en se fixant des objectifs de réduction de leurs émissions de Gaz à effet de serre (GES) via l’initiative « Science Based Targets » (SBTi).

Désormais, Science Based Targets va adresser le 2ème sujet clé de la transition écologique, celui de la préservation de la biodiversité. Quand on sait que plus de 55 % du PIB mondial dépend de la bonne santé de la biodiversité, il y a urgence à agir ! Comme pour le climat, il s’agira d’accompagner les entreprises dans la définition d’objectifs ambitieux, basés sur la science sur quatre domaines : l’eau potable, la biodiversité, l’usage des sols et les océans.
Un programme pilote a été lancé début janvier auquel participe une dizaine d’entreprises françaises.
A noté que le Global Biodiversity Score (GBS), développé par CDC Biodiversité et lancé en mai 2020, a été ajouté à la boîte à outils publiée par SBT pour permettre aux entreprises d’avancer dès maintenant sur leurs cibles et contribuer à la préservation de la biodiversité.

26 janvier 2021

Forts de leur ambition commune de mobilisation des TPE-PME sur les enjeux de protection de l’environnement, de développement durable et de RSE, la CPME a noué un partenariat avec le Comité 21 a pour objectif de fédérer les entreprises autour des enjeux de biodiversité. A cet effet, un guide a été publié afin de sensibiliser les dirigeants et leur permettre d’agir en faveur de la biodiversité ?»

https://www.cpme.fr/publications/guides/pme-pourquoi-et-comment-agir-en-faveur-de-la-biodiversite

11 janvier 2021

À l’occasion du One Planet Summit, la Caisse des Dépôts a annoncé un vaste plan d’action portant sur ses activités et celles des entreprises dans lesquelles il investit. Elle a indiqué qu’elle s’engageait à mesurer l’empreinte sur la biodiversité de l’ensemble de ses portefeuilles d’actifs (actifs immobiliers, actions, obligations) d’ici 2024. Elle utilisera bien sûr les métriques du Global Biodiversity Score, destiné aux entreprises et institutions financières.

9 janvier 2021

L’ AFNOR a publié le vendredi 9 janvier dernier la norme NF X32-001, une norme d’application volontaire pour favoriser l’engagement des organisations dans une démarche en faveur de la biodiversité.

On se souvient que la Commission européenne avait dévoilé en mai dernier, en pleine période de crise du Covid-19, une feuille de route ambitieuse dans le cadre de sa nouvelle stratégie pour la biodiversité. https://rse-reporting.com/strategie-pour-la-biodiversite-pour-2030/ . On ne peut que se réjouir de constater que quelques mois après, des actions sont mises en œuvre pour associer les entreprises à l’indispensable préservation de la biodiversité. Les entreprises qui ont notamment adhéré à l’alliance Act4Nature initiée par Entreprises pour l’Environnement, pour transformer leur engagement en actions. Les autres entreprises pourront agir, au-delà de l’installation, certes utile et sympathique mais surtout symbolique, de ruches sur leur toit ou dans leurs espaces verts.

Le remboursement des PGE (Prêts Garantis par l’Etat), dont les premiers avaient été contractés en mars 2020, devait débuter à la fin mars 2021. Cependant, pour ne pas fragiliser davantage les entreprises en difficulté, il a été décidé par le gouvernement de reporter ces échéances d’un année supplémentaire avant que les banques puissent exiger le remboursement de ces prêts.

Par Eric Orsini

Bruno Le Maire, Ministre de l’Economie, a annoncé ce jeudi 14 janvier lors de la conférence de presse du gouvernement que Bercy et les banques étaient arrivés à un accord. En effet, au terme de cet accord, il a été décidé que les entreprises qui en font la demande pourront bénéficier d’un délai supplémentaire d’un an pour commencer le remboursement des PGE souscrits pour surmonter la crise. « Nous avons obtenu de la Fédération bancaire française, que toutes les entreprises qui le souhaitent, quelles que soit leur activité et leur taille, aient le droit d’obtenir un différé d’un an supplémentaire pour commencer à rembourser leur prêt garanti par l’Etat », a expliqué le ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance. Je tiens à remercier la fédération française bancaire pour le sens des responsabilités dont elle a fait preuve » déclarait Bruno Le Maire.

Les entreprises devaient en principe commencer le remboursement des PGE fin mars 2021 puisque le prêt initial (dont les premiers ont été accordés en mars 2020) comprenait déjà un délai d’un an, mais au vu de la durée de la crise et des mesures de restriction, les entreprises subissent encore de nombreuses difficultés financières.

Contactez votre banque !

« Certaines voient approcher avec beaucoup d’inquiétudes la première échéance de remboursement de leur capital », a expliqué le Ministre de l’Economie en indiquant avoir obtenu de la Fédération bancaire française que « toutes les entreprises, quel que soit leur secteur d’activité, et quelle que soit leur taille », puissent bénéficier, « de droit », d’un « différé de remboursement d’un an supplémentaire ». « J’invite donc toutes les entreprises à aller voir leur agence bancaire pour décider du plan de remboursement de leur PGE en tenant compte du différé d’amortissement supplémentaire », a déclaré Bruno Le Maire

En début de la même semaine, la CPME (Confédération des petites et moyennes entreprises) avait condamné la « frilosité » de certaines banques à accepter ce délai d’un an supplémentaire pour le remboursement des PGE.

Le Prêts Garantis par l’Etat a rencontré un franc succès auprès des PME et ETI avec plus 638 000 prêts accordés pour un montant total d’environ 130 milliards d’euros. Le secteur de la réparation automobile est en tête des bénéficiaires, immédiatement suivi par l’hôtellerie-restauration.

De plus, à propos des autres prêts bancaires, le ministre de l’économie a annoncé que « les banques se sont engagées à examiner favorablement toute demande de moratoire ou de report d’échéance pour les entreprises qui sont les plus touchées par la crise, sur une base personnalisée ».

Impact PME 2020, la rencontre annuelle de l’écosphere PME se tiendra cette année sous un format 100% TV/radio et digital. L’évènement, organisé par la CPME et BFM Business, fêtera sa douxième édition pendant toute une journée où les émissions de la grille de BFM Business Radio et TV seront aux couleurs des PME.

Impact PME 2020 sera une journée d’échanges et d’inspirations dédiée aux dirigeants de TPE-PME avec une programmation spéciale PME qui donnera la parole à des dirigeants de PME à succès, à des experts ou encore à François Asselin (Président de la CPME) à travers plusieurs conférences animées par Philippe Bloch.

BFM Business et la CPME mettent en lumière les TPE et PME françaises, et réunissent pour vous l’ensemble du réseau CPME pour répondre à vos questions et vous permettre de découvrir quelques clés pour faire grandir votre entreprise dans ce contexte si particulier. 

WEBINAIRE

Le 12 novembre à 11h30, la CPME animera un webinaire dont le thème sera orienté sur l’accompagnement des entrepreneurs dans la relance de leur activité avec des solutions concrètes pour faire face à la crise. Le webinaire sera diffusé sur le site d’Impact PME.

Chefs d’entreprise, optimisez votre trésorerie et vos ressources humaines face à la crise 

Bénédicte Caron, Vice-présidente chargée des Affaires économiques et Eric Chevée, Vice-président chargé des Affaires sociales de la CPME, vous présenteront les outils et leviers dont vous pouvez vous servir pour rembourser vos échéances, renforcer votre trésorerie et préserver l’emploi et les compétences dans votre entreprise.

Inscrivez-vous au webinaire

LES INTERVENANTS

Ce panel inspirant d’entrepreneurs et d’experts sera là pour enrichir Impact PME 2020 de leur expérience et vous parler des meilleurs outils et solutions pour amorcer un rebond efficace.

Impact PME, l’Hebdo

lmpact PME 2020, ce sont aussi 8 émissions hebdomadaires animées par Philippe Bloch tous les vendredis du 9 octobre au 27 novembre à 14h30 dans lesquelles des chefs d’entreprise et des experts viendront parler de leur expérience inspirante et de leurs solutions face à la crise.

Comment ont-ils reussi à se réinventer ? Quelles innovations produit, managériales, digitales ou encore RSE ont-ils su déployés ? Et demain, quels seront les leviers de la relance des PME en termes de financement, de ressources humaines, d’accélération numérique, écologique ?

Covid’Info, c’est le nom du webinaire d’information lancé par la CPME Paris Ile-de-France. Cette initiative dédiée aux TPE et PME a pour fonction de les accompagner de façon claire et précise tout au long de cette crise inédite qui frappe l’économie de notre pays.

Face à cette situation inédite, les TPE et PME s’interrogent sur les aides disponibles, ainsi que sur leurs droits et obligations. La CPME Paris Ile-de-France a mis en place cet outil pour répondre à toutes leurs questions face à cette crise exceptionnelle et aux conséquences sévères qu’elle a sur leur activité. Covid’Info, le webinaire régulier de la CPME vous permettra de :

  • Décrypter l’actualité législative et réglementaire qui vous impacte
  • Faire le point sur vos problématiques ;
  • Partager vos expériences ;
  • Répondre à toutes les questions que vous pouvez vous poser !

Ces webinaires accueillent toujours un ou deux experts, qui répondent en direct à toutes les questions que les dirigeants de TPE et PME peuvent se poser.

Retrouvez les replays Covid’Info

Vous pouvez retrouver et visionner ci-dessous les précédents webinaires gratuitement. La présentation powerpoint associée est référencée dans le chat, sur la droite du lecteur vidéo.

 Covid’Info Webinar #1 | Focus Droit du Travail & Activité Partielle

 Covid’Info Webinar #2 | Focus Financement & Droit du travail

 Covid’Info Webinar #3 | Focus Fonds de Solidarité

 Covid’Info Webinar #4 | Échange avec Bernard Cohen-Hadad, Président de la CPME Paris Ile-de-France

La plateforme vous demandera de vous inscrire ou d’entrer votre code d’accès reçu précédemment par mail ; c’est tout à fait normal.

Une question ?  Vous pouvez joindre la cellule de crise Covid-19 de la CPME Paris Ile-de-France par téléphone au 01 56 89 09 30.

Cependant, en raison d’un nombre important d’appels et des possibilités de saturation de ce numéro, il est conseillé si vous le pouvez, de privilégier un contact par email : Contact Email

Le CES las Vegas 2020 aura lieu du 6 au 10 janvier 2020 et pour la 3ème année consécutive, la CPME propose aux dirigeants de TPE, PME et ETI de se joindre à sa délégation et de venir découvrir le Consumer Electronics Show (CES) à Las Vegas. Chefs d’entreprise, ne manquez pas ce rendez-vous et cette opportunité d’acquérir un réseau exceptionnel et d’aller à la rencontre des toutes dernières innovations ! 

Le sens de ce voyage et les objectifs de la délégation CPME sont :

  • D’immerger les entreprises dans les innovations, celles qui auront un impact sur les évolutions numériques de leur secteur d’activité,
  • De les familiariser avec les évolutions qui feront, demain, le quotidien de leur entreprise,
  • De leur permettre d’identifier de nouvelles opportunités de croissance. 

Programme et inscription

PROGRAMME CES LAS VEGAS 2020 – DÉLÉGATION CPME1.44 Mo

DOSSIER D’INSCRIPTION79.53 KoREVENIR AUX ÉVÉNEMENTS

IMPACT PME sera incontestablement l’évènement de cet automne pour les dirigeants de PME. Organisée conjointement par la CPME et BFM Business le mardi 5 novembre au CESE (Conseil Economique, Social et Environnemental) à Paris, cette journée va offrir aux PME une plateforme unique par laquelle les entrepreneurs auront l’opportunité d’échanger, de se former, d’accroître leur réseau BtoB dans une ambiance conviviale.

AU PROGRAMME

Plénière

Grand débat : 10h30-12h : Performance et bien commun font-ils bon ménage ?
Transition écologique, besoin de proximité, nouvelles valeurs portées par les consommateurs… les PME intègrent ces nouvelles données de l’intérêt général qui sont aussi une condition de leurs profits.

Autour de François Asselin, des personnalités venues d’horizons différents partageront leur expertise et leur point de vue : 

  • Nicolas Chabanne, fondateur de la marque « C’est qui le patron »
  • Geneviève Férone, pionnière de la notation extra-financière et experte RSE. Co-fondatrice et associée du Cabinet de conseil Prophil
  • Yannick Jadot, député européen écologiste

Conférences et agoras

Une dizaine de conférences et agoras d’une durée de 45mn à 1h30, pensées pour les PME se tiendront sur les thèmes de : la gouvernance, la cybersécurité, le leadership et la motivation, l’accès au financement, la transformation digitale, la RSE … 

Plus d’informations sur les conférences  en cliquant ici 

Ateliers

Des sessions de formations de 45 mn pour les chefs d’entreprise de TPE-PME. Les premiers ateliers auront pour thème : 

  • La digitalisation des processus RH 
  • La transmission d’entreprise 
  • L’accompagnement à l’export des PME françaises 

Plus d’informations sur les ateliers en cliquant ici 

PME, ETI, grands groupes, start-ups, institutions, médias, inscrivez-vous au salon !

IMPACT PME L’HEBDO SUR BFM BUSINESS

IMPACT PME c’est aussi une émission diffusée à la radio BFM et à l’antenne de BFM Business pendant 3 mois, à partir du 20 septembre. Rendez-vous tous les vendredis à 14h30 avec Philippe Bloch et ses invités pour évoquer les grands enjeux des PME : financement, ressources humaines & management, l’international, transformation digitale, la RSE….

Adresse : 
CESE
9 Place d’Iéna
75016 Paris
Métro Iéna


La dernière édition du guide « Chefs d’entreprise, osez la commande publique » est désormais disponible. Cette version nous présente, entre autre, les dernières évolutions réglementaires.

Par Franck Boccara

Selon l’Observatoire économique de la commande publique, le montant total de la commande publique représente chaque année 75 milliards d’euro mais force est de constater que cette somme énorme ne profite malheureusement que trop peu aux PME.
Pierre Pelouzet, médiateur des entreprises, estime que cette manne « devrait irriguer les territoires et profiter aux petites moyennes entreprises » et précise que « la part des PME dans la commande publique a chuté en trois ans, passant de 33 % à 29,4% des montants globaux ».

La principale raison de ce constat est très simple : les PME souffrent d’une méconnaissance des marchés publics. C’est précisément sous cet angle que le guide « Chefs d’entreprise, osez la commande publique » va éclairer les dirigeants de PME à travers sa nouvelle version.
Ce livret clair et précis d’environ 30 pages a été réalisé en concertation avec la CPME et le Medef. Il répond à des problématiques concrètes que peuvent rencontrer les PME qui souhaitent s’intéresser davantage à ces marchés :
où se renseigner sur les marchés publics, comprendre les documents d’un marché public, comment candidater etc…
Pierre Pelouzet nous explique que « souvent, le dirigeant a du mal à comprendre ces marchés. Il y a donc beaucoup de termes à démystifier pour qu’il ait moins peur. De plus, plusieurs nouvelles mesures ont été récemment décidées pour aider les dirigeants de PME à aller vers la commande publique, mais elles restent méconnues » .

Le nouveau CCP (Code de la Commande Publique) qui est entré en vigueur le 1er avril 2019 apporte, parmis ses 1747 articles, quelques avantages réglementaires souvent décisifs pour les PME comme, par exemple, le fait que chaque donneur d’ordre public devra verser une avance de 20 %, au lieu des 5 % instaurés depuis longtemps. Bien sur, toutes ces incitations à l’implication des PME dans ces marchés ne seront réellement efficaces que lorsque celles-ci auront dépassé les obstacles et freins qui résident parfois dans leurs habitudes et leur culture d’entreprise.

Pour consulter et télécharger le guide « Chefs d’entreprise, osez la commande publique » CLIQUEZ ICI

Patronat et entreprises n’ont pas tardé à se mobiliser pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Quelques heures après l’incendie, les fleurons de l’économie française ont déjà relevé le défi et réuni plusieurs centaines de millions d’euros pour la reconstruction de l’édifice.

Par Franck Boccara

Le Medef et CPME ont exhorté, ce mardi 16 avril, les entreprises françaises à participer à la reconstruction de Notre-Dame de Paris, partiellement détruite la veille par ce terrible incendie, grâce à leurs dons et leurs savoir-faire. « Si l’édifice est sauvé, la réparation des dégâts demandera des années de travaux et des moyens considérables. Le Medef appelle les entrepreneurs à se mobiliser pour contribuer à la reconstruction d’un des joyaux du patrimoine mondial à travers la collecte nationale de dons lancée par la Fondation du patrimoine », écrit le syndicat dans un communiqué.

« Le formidable élan de solidarité devra se traduire d’une part par la recherche de moyens financiers et d’autre part par la mobilisation de tous les talents présents dans de très nombreux corps de métiers » déclare la CPME.

L’AFEP (Association Française des Entreprises Privées) a, de son côté, appelé toutes ses 110 entreprises adhérentes à contribuer, en plus des initiatives de chacune d’entre elles, à la reconstruction de Notre-Dame de Paris, à hauteur d’une année de cotisation à l’association.

Les entreprises au rendez-vous

La famille Pinault, via sa société d’investissement Artemis, va contribuer à la reconstruction de la cathédrale à hauteur de 100 millions d’euros. « J’ai vu ma fille de 17 ans pleurer. Cela nous a pris aux tripes. C’est un défi incroyable, et dans les temps qui courent un geste symbolique. On sera beaucoup à participer, chacun en fonction de ses capacités » a déclaré le président François-Henri Pinault sur Europe 1 mardi matin.

L’Oréal, et la famille héritière Bettencourt Meyers, se sont engagé sur un don de 200 millions d’euros pour la cathédrale, dont 100 millions d’euros par la fondation Bettencourt Schueller.

Le groupe LVMH et la famille Arnault ont aussi annoncé ce mardi qu’ils contribueraient à la reconstruction de Notre-Dame de Paris à hauteur de 200 millions d’euros en écrivant dans un communiqué « La famille Arnault et le groupe LVMH, solidaires de cette tragédie nationale, s’associent à la reconstruction de cette extraordinaire cathédrale, symbole de la France, de son patrimoine et de son unité »

Total, par la voix de son PDG Patrick Pouyanné, s’engage pour sa part à une contribution de 100 millions d’euros pour la reconstruction de la cathédrale.

Le groupe Bouygues va faire un don de 10 millions d’euros et ses dirigeants Martin et Olivier Bouygues ont annoncé que le géant du batiment va s’engager dans un mécénat de compétences en prenant part aux rénovations de l’édifice.

La famille Decaux se dit, dans un communiqué, prète à poser 20 millions d’euros via JCDecaux Holding, pour participer à la restauration du monument.

Marc Ladreit de Lacharrière, homme d’affaires milliardaire à la tête de la société d’investissement Fimalac, a également déclaré vouloir s’associer à «l’effort national de reconstruction» par un don de 10 millions d’euros «pour la restauration de la flèche, symbole de la cathédrale».

Les banques ont aussi répondu présentes à l’appel : Le Crédit Agricole Île-de-France annonce 5 millions d’euros, la Société générale et BPCE donneront chacune 10 millions et le Crédit Mutuel ainsi que BNP Paribas ont également fait des promesses de dons sans préciser le montant.

CapGemini, le géant informatique tricolore s’est dit «solidaire de l’effort national» et a annoncé une participation d’un million d’euros pour contribuer à la reconstruction de Notre-Dame.
Michelin, Vinci, et Air Liquide ont également déclaré leur volonté de participer à l’effort de financement, mais sans indiquer pour l’instant le montant tout comme le groupe immobilier Duval.

La CPME a annoncé qu’elle revenait sur sa décision de claquer la porte et qu’elle participera à nouveau aux négociations sur l’assurance chômage. Elle emboite ainsi le pas au Medef, qui lui aussi a choisi de renouer le dialogue. Voici les raisons de ce retour commun à la table des négociations.

Par Serge de Cluny

La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) annonçait le dimanche 3 février son retour à la table des négociations sur l’assurance chômage, que le Medef avait quittee quelques jours plus tôt en signe de protestation contre des déclarations d’Emmanuel Macron au sujet du « bonus-malus » sur les contrats courts. 

La CPME a rapidement expliqué les raisons ce retour dans un communiqué précisant que le Premier ministre Édouard Philippe a affirmé « sa confiance dans les partenaires sociaux pour trouver des solutions sur les règles de l’assurance chômage », et d’ajouter qu’elle était « soucieuse de parvenir à réformer » ce dispositif et ainsi « décidé de reprendre place à la table des négociations ».

La CPME a par ailleurs apprécié les déclarations du premier ministre Édouard Philippe, qui a rappelé aux députés lors des questions au gouvernement, que « la lettre de cadrage » envoyée par le gouvernement aux organisations syndicales et patronales avant la réouverture de ces négociations demeurait « valable ». « Or, celle-ci ne mentionne pas de bonus-malus », a expliqué la CPME. Pour la confédération, « au-delà des seuls enjeux d’équilibre financier, il nous appartient collectivement de rendre le dispositif d’assurance chômage plus incitatif à la reprise d’un emploi tout en accompagnant mieux les demandeurs d’emploi ».

« Parfaitement consciente d’une part des abus de certaines entreprises et d’autre part des difficultés que peuvent poser aux personnes concernées la succession multiple de contrats de courte durée », la CPME s’est engagée à faire « prochainement des propositions alternatives au bonus-malus ».

Des négociations suspendues collectivement quelques jours plus tôt. 

Les organisations patronales avaient suspendu lundi leur participation à cette négociation sur l’assurance chômage, pour montrer leur mécontentement face à la « détermination » du président de la république à mettre en place le « bonus-malus » sur les contrats courts réclamé par les syndicats pour lutter contre la précarité.

Devant la difficulté des négociations, les organisations syndicales et patronales se sont données jusqu’à fin février pour parvenir à un accord. Faute de compromis, le dossier doit alors revenir au gouvernement, qui aura la responsabilité de la réforme.

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