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Réseaux sociaux et entreprise : Pourquoi et comment ?

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Les réseaux sociaux  sont devenus incontournables dans la stratégie de communication et relation clients de presque chaque PME et ETI. Certains y voient un simple moyen d’obtenir plus de visibilité et d’accroitre leur image de marque, d’autres par contre misent sur le social selling pour développer ventes et courant d’affaires. Dans ce cas, cela demande une réelle implication humaine et financière….. petit tour d’horizon sur la question. 

Par Franck Boccara

Beaucoup se lancent sur les réseaux sociaux pour imiter un concurrent ou pour faire comme tout le monde et ce n’est évidemment pas une bonne approche car ces derniers doivent être appréhender comme un média à part entière et être donc l’intégrer comme tel dans le plan de communication de l’entreprise. Sans stratégie cohérente en amont, l’effet peut-être inexistant ou même contre-productif

Cette stratégie sera de fixer les objectifs à atteindre par les réseaux sociaux, notamment la création d’une communauté qui est un des atouts majeurs de fidélisation à une marque ou à un produit via les réseaux sociaux . Cette tendance qu’on appelle le « social CRM » doit créer une proximité entre l’entreprise et ses clients et favoriser l’interactivité avec la communauté.

Le client satisfait pourra même devenir un ambassadeur de la marque en relayant les messages sur ses réseaux sociaux, ce qui contribuera de la meilleure façon à l’e-reputation de la marque. Le danger étant que le contraire se produise avec un client mécontent et il faudra dans ce cas réagir rapidement à la critique avec une bonne dose d’empathie et de bon esprit et ne surtout pas faire la « sourde-Oreille ».

Pour bien développer l’existence de l’entreprise sur les réseaux sociaux, le dirigeant doit prendre en compte que cela nécessite un investissement humain et financier. En effet, contrairement à l’utilisation personnelle que nous pouvons faire des réseaux sociaux, l’entreprise devra mettre en oeuvre des compétences en informatique, en maitrise du métier de community manager ou alors même externaliser le poste vers une agence de communication.

En effet, l’entreprise devra choisir les réseaux sociaux qui correspondent à sa cible, définir un angle ou des techniques de communication qui lui permettront de fédérer une communauté et surtout publier de façon régulière et cohérente. Autrement dit, pour une PME il sera souvent préférable de se tourner vers la solution de l’externalisation. Toute agence de communication digne de ce nom offre aujourd’hui les services adéquats.

Il est important de maîtriser les spécificités de chaque réseau social par rapport au retour que l’entreprise attend. Par exemple LinkedIn permettra de développer un réseau business pour des activités orientées BtoB ou de recruter de nouveaux collaborateurs tandis que Facebook sera incontournable pour le BtoC (63 % des Français y sont détenteurs d’un compte) dans la mesure où ce réseaux offre la possibilité d’y diffuser des campagnes publicitaires payantes et surtout met à disposition des solutions de ciblages très poussées basées sur les données des utilisateurs, et des outils de tracking tels que le pixel Facebook. Twitter, quant à lui, correspond plus aux domaines de la communication, des relations publiques et des medias. Instagram sera davantage axé sur le visuel et donc bien adapté aux produits de consommation grand public. Youtube ne doit pas être négligé car la video pourra représenter un atout et être utilisée pour des films à vocation pédagogique présentant des produits. Enfin, Snapchat est consacré à des contenus éphémères, pris sur le vif et il sera intéressant d’y mettre en avant ses collaborateurs dans leurs activités tournées vers le client, de poster des contenus « humains », pris sur le vif.

Plus largement, les réseaux sociaux doivent s’inscrire dans une stratégie plus globale de transformation digitale, de diffusion d’une culture numérique parmi les collaborateurs. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux à être, à titre personnel, présents sur les réseaux sociaux et seront certainement ravis de voir que leur entreprise et sa communauté s’y développent également.

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Le marketing et la communication, les meilleurs alliés de vos commerciaux !
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1/ La communication, outil indispensable pour que vos clients vous connaissent
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  • De rappeler qui vous êtes, ce que vous proposez en termes de biens et services, mais également comment vous contacter, votre actualité
  • D’être présent sur le même terrain que vos clients, sur des salons, des événements, un site, les réseaux sociaux
  • D’interagir avec votre marché en proposant de l’information à valeur ajoutée, des points d’échange (en présentiel, webinaires, sur les réseaux sociaux…)
C’est le 1er point de contact entre vos clients et votre entreprise. Si la communication est la base de toute relation humaine, c’est également la base de toute relation professionnelle entre une entreprise et ses clients !
2/ Le marketing, incontournable pour connaitre vos clients
Vos clients doivent connaître votre entreprise. Vous devez également connaître vos marchés et savoir à qui vous vous adressez. Une relation se joue dans les 2 sens. Pour mieux connaître vos clients, chaque interaction, chaque échange, chaque contact direct ou indirect est précieux et vous donne des pistes pour savoir ce qui peut leur être proposé pour mieux les accompagner, leur donner des outils supplémentaires pour développer leur(s) activité(s). Toutes ces données collectées sont à réunir dans une base de données, un CRM. Base de données qui doit être alimentée et mise à jour régulièrement pour garder son intérêt professionnel et sa valeur ajoutée. Quelles données collecter et comment ?
  • Les données administratives: les bons de commande, la facturation (nombre de commandes et type de produits/services commandés, fréquence, montant etc.), mais également taille de l’entreprise, secteur(s) d’activité(s), voire concurrents…
  • Les retours clients (service client / ADV) : chaque remontée de besoin peut devenir un service ou une amélioration de votre entreprise au service de vos clients
  • Les remontées terrain des commerciaux qui ont le contact direct avec leurs clients. Ils peuvent également remonter les réorganisations, les nominations et donc les nouveaux besoins
  • Les salons et autres événements professionnels sont également un excellent moyen d’entrer en contact et d’en apprendre plus sur les besoins de vos clients et les projets de son entreprise
  • Les données collectées de façon plus ciblée grâce à des enquêtes, questionnaires de satisfaction via vos support digitaux (site, réseaux sociaux, newsletter) mais également par téléphone, pourquoi pas à la fin d’un appel au service clients.
Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut aider le commercial à comprendre son intérêt à remplir les informations qu’il collecte de façon structurée dans la base de données, et à s’en servir pour ses contacts clients comme un outil qui vient renforcer le marketing et la communication. Le CRM permet ainsi en amont de créer des parcours clients adaptés pour toucher les clients sur le bon canal, au bon moment, avec les bons produits/services. Et générer ainsi des leads pour les commerciaux.
Conclusion
Le terrain est donc déblayé grâce au travail amont des équipes qui travaillent sur le marketing et la communication : le marché connait votre entreprise, vos commerciaux connaissent vos clients. Le commercial a ainsi une autoroute – a priori sans bouchons ! – pour faire son job en toute sérénité : proposer au client ce dont il a réellement besoin et l’accompagner efficacement dans la durée, en véritable partenaire !
Recouvrement de factures impayées : comment procéder ?
Le recouvrement de factures impayées peut être un défi pour de nombreuses PME et ETI. Entre les relances incessantes, les échanges tendus avec les débiteurs et les démarches juridiques parfois nécessaires, il est crucial pour les entreprises de comprendre les tenants et aboutissants de ce processus délicat. Dans cet article, Gcollect nous livre les questions les plus fréquemment posées en matière de recouvrement de factures impayées, en fournissant des réponses claires et des conseils pratiques pour aider les entreprises à naviguer efficacement dans cette situation souvent stressante. Que vous soyez confronté à un client récalcitrant ou que vous souhaitiez simplement mieux comprendre les étapes du recouvrement, ce guide est conçu pour vous fournir les informations nécessaires pour gérer efficacement vos créances impayées.

1. Qu’est-ce que le recouvrement de factures impayées ?

Le recouvrement de factures impayées permet de récupérer une facture échue et non réglée auprès d’un client défaillant. Il se déroule en plusieurs étapes allant de la simple « relance » jusqu’au « recouvrement » judiciaire. En tant que service professionnel de recouvrement, GCollect vous accompagne en réalisant avec vous et pour vous votre procédure de recouvrement afin de simplifier vos démarches. Vous pouvez ainsi récupérer votre argent rapidement tout en préservant votre relation commerciale avec votre client. En France, le montant global des impayées s’élève à 56 milliards d’euros. Parmi ce montant 4,8 milliards d’euros ne sont jamais réclamés aux clients car les chefs d’entreprises ne savent pas comment lancer une procédure de recouvrement ou ont peur de le faire. GCollect propose un service simple, efficace et éthique afin que les entreprises puissent récupérer leurs créances rapidement sans mettre en danger le développement de leur activité.

2. Quelles sont les différences entre la relance et le recouvrement ?

La relance et le recouvrement sont deux phases distinctes dans le processus de récupération d’une facture. Elles interviennent à des moments spécifiques dans le déroulement de la procédure.

1. Quand intervient la relance ?

La relance, comme son nom l’indique, fait référence aux actions initiales mises en œuvre pour rappeler au client qu’il a un impayé. Celle-ci se fait généralement par mail ou par appel téléphonique. Le but étant simplement d’informer le client de sa dette et de lui demander de la régler. C’est la première étape du processus de règlement des impayés. Elle n’implique aucune procédure particulière mais vise à communiquer et informer. Elle peut également se faire sous forme d’une lettre de relance dans laquelle on fera apparaitre les informations suivantes :
  • Coordonnées de l’entreprise créancière ainsi que celle du client défaillant
  • Informations sur la ou les factures impayées
  • Actions de relance déjà initiées comme les mails ou appels téléphoniques
  • Délai accordé au débiteur pour le règlement
Il est préférable d’envoyer la lettre de relance par recommandé afin d’avoir un suivi.

2. Quand intervient le recouvrement de factures impayées ?

La phase de recouvrement intervient juste après la relance, lorsque celle-ci n’a pas aboutie. On considère que la relance n’est pas fructueuse après une quinzaine de jours. Le créancier peut alors lancer une procédure de recouvrement. Afin de faciliter ces démarches et d’obtenir plus rapidement ses règlements, l’entreprise gagne à faire appel à une société de recouvrement. Le but de l’entreprise spécialisée sera alors de mettre en place des actions concrètes et formelles afin d’obtenir le plus rapidement possible le paiement du client défaillant. La société créancière et le professionnel du recouvrement établissent un mandat encadrant la procédure de recouvrement. Quand lancer la procédure de recouvrement de factures impayées ,

3. Quand interviennent le recouvrement amiable puis le recouvrement judiciaire ?

La procédure de recouvrement fait intervenir dans un premier temps le recouvrement amiable avant de recourir au recouvrement judiciaire.

1. Qu’est-ce que le recouvrement amiable ?

Dans le recouvrement amiable, l’approche humaine et le dialogue sont des éléments essentiels à l’obtention de résultats positifs. Au contact d’un client défaillant, une société de recouvrement doit tout d’abord privilégier la communication qui facilite la négociation afin de trouver des solutions adaptées. À cette étape, on privilégie la compréhension et l’écoute du client défaillant. En effet, la plupart du temps un impayé résulte d’une incapacité à payer et non de mauvaise volonté. Le but du recouvrement amiable est de trouver des solutions personnalisées et adaptées à chaque typologie de client et de créances. Cette approche permet d’augmenter les chances de résoudre le litige rapidement tout en préservant la relation commerciale entre le créancier et le débiteur. Saviez-vous ? 90% des sommes recouvrées par les professionnels du recouvrement ce font dans le cadre de procédures amiables. (Source : Figec)

2. Qu’est-ce que le recouvrement judiciaire ?

On considère que les démarches amiables n’ont pas abouti 60 à 90 jours après la date d’échéance de la facture. Cependant ce délai peut varier selon les spécificités d’une solution. Dans ce cas il est alors nécessaire d’avoir recours au recouvrement judiciaire si vous souhaitez poursuivre le recouvrement. Comme son nom l’indique, ce type de recouvrement fait intervenir directement la justice. L’objectif étant d’obtenir un acte officiel qui contraint le client défaillant à régler sa créance. Ce document est appelé titre exécutoire. Il permet de faire valoir une dette aux yeux de la loi. Deux cas de figures sont possibles :
  • Si la facture impayée est d’un montant inférieur à 5 000 €, on fait appel à un commissaire de justice. Il est le seul acteur de la procédure de recouvrement à pouvoir mettre en œuvre des mesures contraignant le débiteur à payer. Il pourra ainsi faire valoir le titre exécutoire obtenu par le créancier au cours de sa procédure.
  • Si la facture impayée est supérieure à 5000 €, il faut faire appel au tribunal de justice qui mettra en place un certain nombre d’actions tels que l’injonction de payer, le référé-provision, l’assignation en paiement au fond, les saisies etc…
Le but étant de récupérer son dû avant d’en arriver au recouvrement judiciaire. C’est pourquoi GCollect mobilise une équipe d’experts en recouvrement amiable afin de récupérer vos impayés au plus vite. Il faut bien avoir en tête que le recouvrement judiciaire dégrade la relation commerciale avec vos clients.

4. Comment récupérer la TVA sur les factures impayées ?

Si la procédure amiable échoue et que vous ne souhaitez pas lancer une procédure judiciaire, vous pouvez obtenir votre ANR (Attestation de Non-Recouvrement). Ce document officiel répond à plusieurs objectifs :
  • Prouver la tentative de recouvrement des factures impayées en cas de contrôle fiscal.
  • Permet d’enregistrer la créance en perte définitive à votre bilan comptable.
  • Récupérer la TVA éligible.
Pour obtenir cette attestation, il faut s’assurer que la facture est bien irrécouvrable. En effet, il existe deux types de créances :
  • La créance douteuse est une facture qui est soumise à un risque de perte mais dont le règlement est possible dans un avenir proche. Dans ce cas, il n’est pas possible de récupérer la TVA associée.
  • La créance irrécouvrable, elle, est une facture définitivement perdue qui est éligible à l’ANR et dont la TVA peut être reversée.
Pour obtenir votre ANR, déposez vos factures impayées sur GCollect. En cas de non-recouvrement, nous vous fournirons gratuitement votre justificatif.

5. À partir de quel montant de facture puis-je lancer une procédure de recouvrement ?

Bonne nouvelle, il n’y a pas de montant minimum pour un dépôt de facture. Vous pouvez donc déposer tout type de facture (BtoC et BtoB). Cependant, lorsque nous recouvrons une facture, nous récupérons un pourcentage du montant recouvré qui est fixé au préalable lors de l’établissement du mandat. II est donc préférable de déposer une facture d’un montant significatif, permettant de rentabiliser les taux d’honoraires prélevés par GCollect. Vous pouvez également déposer vos factures par lots. Dans ce cas, un contrat cadre est établi permettant d’appliquer un taux d’honoraire unique au lot dans son intégralité.

6. Quels sont les honoraires ou tarifs associés au recouvrement de facture ?

Chez GCollect, vous ne payez qu’en cas de succès ! Lors d’un dépôt de facture, vous recevez un mandat détaillant les prestations et les coûts associées que vous validez par signature électronique. Ces honoraires sont calculés au plus juste en fonction de la facture déposée et du profil de risque du débiteur. Nos taux d’honoraires sont plafonnés à 20%.
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