...

STRATÉGIES

Le Laboratoire COTRAL, basé en Normandie et présent dans 7 pays, développe, commercialise et exporte des produits sur mesure pour les métiers exposés aux nuisances sonores. Les process de fabrication COTRAL associent les technologies numériques les plus avancées pour toujours offrir aux utilisateurs les meilleurs niveaux de confort, de communication, d’hygiène et d’économie.

Laurent Capillari, président du laboratoire COTRAL, nous parle des technologies et de l’innovation qui se cachent derrière ses bouchons antibruit.

Depuis plusieurs années, le management de transition est en constant développement et répond de plus en plus à des demandes temporaires d’expertises, pas toujours faciles à trouver pour une entreprise. Pour autant, il reste assez méconnu des PME et ETI. Nous vous proposons donc d’en faire connaissance.

Par Gustavo Rodriguez Rangel – EULEOS

Qu’est-ce que le Management de Transition ?

Originaire des Pays-Bas dans les années 1970 sous le nom d’« Interim Management » (terme qui par ailleurs reste d’usage), il s’agit d’une forme de management dédiée exclusivement à la gestion de situations de crise. L’« interim management » se répand fortement au UK, aux USA et en Allemagne, et à partir des années 2000 en France sous le nom de « management de transition ». Au fil des ans, le management de transition s’est transformé : il n’est plus une ressource pour les moments de crise mais plutôt pour accompagner la transformation et la croissance de l’entreprise.

On pourra donc dire simplement que c’est un processus permettant d’aider ponctuellement une entreprise à devenir plus performante via l’aide d’un manager expérimenté qui intervient sous forme de mission, c’est-à-dire :

  • Avec un but précis et son ou ses livrables, en fonction du type d’intervention ;
  • Pour une durée déterminée : la mission a un début et une fin bien définis ;
  • Avec une obligation de transmission, afin d’assurer la continuité.

On retrouve 3 grands types de mission :

  • Management relais : relève au pied levé, situation de crise (redressement, restructuration) ;
  • Gestion d’une phase de transition ou de transformation (revente, fusion avec une autre entreprise…) ;
  • Gestion des projets stratégiques.

Vu à l’origine comme un « urgentiste », aujourd’hui le manager de transition, très souvent entrepreneur lui-même, est un véritable partenaire de l’entreprise, bras droit du dirigeant, agissant pour soutenir sa croissance et améliorer sa performance. Il s’agit d’un(e) indépendant(e) expérimenté(e) qui met à profit de l’entreprise ses compétences opérationnelles et managériales. Ainsi, il / elle accompagne opérationnellement une entreprise dans des fonctions du COMEX / CODIR, prend des décisions et exerce des responsabilités.

Les bénéfices pour l’entreprise

  • Immédiateté opérationnelle

Le manager de transition, expert dans son domaine est opérationnel immédiatement car il déjà vécu des expériences similaires. La courbe d’apprentissage est quasi inexistante, c’est pourquoi la première action consiste typiquement à lancer un diagnostic rapide qui permet de proposer un plan d’action lequel, une fois validé par le dirigeant, est mis en œuvre sans tarder.

  • Accompagnement du dirigeant

Plusieurs études, dont notamment celle menée par Bpifrance en 2016 auprès de 30 000 dirigeants de PME et d’ETI, pointent du doigt ce phénomène que des milliers d’entrepreneurs portent stoïquement sur leurs épaules : la solitude du dirigeant. Si l’on imagine le chef d’entreprise comme étant quelqu’un qui est en train de monter tout seul une pente en portant une lourde valise, le manager de transition est là pour l’y aider. Véritable bras droit du dirigeant, Il est là pour accompagner, épauler, soulager et, in fine, mener à bien les projets stratégiques chers au dirigeant, mais pour lesquels les ressources internes de l’entreprise ne sont pas adaptées.

  • Un regard externe et neutre

En tant que ressource externe, le management de transition n’a ni passé ni avenir au sein de l’entreprise. Il a du recul par rapport à la situation générale de celle-ci, ce qui lui permet d’apporter une vision neutre. Parce qu’il est en mission, ses observations et recommandations sont objectives, il ne cherche pas à se mettre en avant ou à se positionner en vue d’une promotion : il a un objectif clairement établi, et ce dès le départ de son intervention.

  • Flexibilité

Enfin, on pourrait rajouter un quatrième avantage : la flexibilité. Car même si le management de transition et souvent associé à du temps plein, certains managers de transition commencent à travailler à temps partiel, en discontinu (quelques jours par mois), en binôme (lorsque le besoin exprimé nécessite des compétences complémentaires), le tout dans le but de s’adapter au besoin et au budget de l’entreprise.

La situation actuelle est un accélérateur de ce métier car les incertitudes bousculent les habitudes, et le fait de pouvoir compter sur un expert, sans y être attaché administrativement, est un véritable ballon d’oxygène pour une entreprise. Cette tendance, au vu de toutes les études internationales, va se poursuivre sur les prochaines années.

D’accord, mais puis-je me payer un manager de transition ?

Il existe des aides financières, tant au niveau départemental, régional que national, qui peuvent prendre en charge une partie d’une prestation d’accompagnement comme le management de transition. A titre d’exemple le « chèque Relance Export » couvre 50% des dépenses, dans la limite d’un plafond, pour aider les PME et ETI françaises dans leurs projets à l’international.

Pour commencer, voici l’effrayante réalité ; près de la moitié des PME victimes d’une cyberattaque ne s’en relèvent pas et mettent la clé sous la porte dans les dix-huit mois qui suivent. Face à ce terrible constat, Bpifrance a lancé ce lundi 20 mars le “Diag Cybersécurité”, un diagnostic qui permet aux PME de mesurer leur vulnérabilité à la cybermalveillance et de prendre des mesures nécessaires. Par Serge de Cluny “Face à une cyber menace grandissante, ce diagnostic vise à donner aux PME les armes pour se défendre et à diffuser une véritable culture de la cybersécurité dans les PME en les accompagnant dans la prévention du risque d’attaques et dans la sécurisation de leur système d’information”, déclare Guillaume Mortelier, responsable de l’accompagnement au sein de banque publique d’investissement. Ce diagnostic “Diag Cybersécurité” est accessible à toutes les PME (moins de 250 salariés) qui le souhaitent, même si elles ne sont pas clientes de Bpifrance. Les start-up et les ETI (entre 250 et 4999 salariés) peuvent également être éligibles, en fonction de certains critères. Le diagnostic est réalisé par un “expert habilité” et se déroule en quatre étapes.
  1. Un pré-cadrage téléphonique effectué avec le dirigeant de l’entreprise ou avec le responsable de la sécurité informatique.
  2. Une visite et des entretiens sur site pour évaluer le niveau de sécurité
  3. Une évaluation de la vulnérabilité de l’entreprise
  4. La remise d’un plan d’action
Le coût du diagnostic “Diag Cybersécurité” est financé à hauteur de 50% par Bpifrance et le reste, à la charge de l’entreprise, s’élève à 2200 euros HT.
Les PME sont une cible de choix pour les cyber criminels. En effet, seulement une PME sur trois a nommé en interne un responsable de la sécurité informatique, souvent par manque de moyens financiers mais aussi par manque de connaissances dans le digital. “Leurs dirigeants se demandent souvent par où commencer sur ce sujet qu’ils maîtrisent peu”, explique Bpifrance.

La reprise à la barre, procédure collective avec cession à la barre du tribunal, devraient connaitre un essor important avec les défaillances d’entreprises dues à la conjoncture économique. Ce dispositif peut constituer un véritable accélérateur de croissance duquel on peut tirer le meilleur parti si l’on en maîtrise bien le déroulé…quelques explications.

Par Franck Boccara

La situation économique, actuellement maintenue par les dispositifs d’aides gouvernementaux, risque de sérieusement se dégrader lorsque ceux-ci s’amenuiseront. Il est donc prévisible que nous soyons témoins (ou acteurs) d’une hausse des entreprises défaillantes et avec elle d’une hausse des procédures collectives dont une bonne partie se soldera par une cession à la barre du tribunal.

La reprise à la barre peut se rélever être un véritable levier de croissance car à la différence des processus d’acquisition classiques, elles peuvent porter sur des entreprise désendettées. En effet, ce sont uniquement les actifs qui sont repris à travers un plan de cession, parfois même seulement certains d’entre eux, jugés plus attractifs par les repreneurs pour leur rentabilité.

Il est donc possible de dimensionner le projet de reprise en sélectionnant les actifs (Immobilier, fonds de commerce, clientèle, contrats ou encore salariés) qui peuvent être inclus dans le plan pour tout ou partie seulement. Cette possibilité permet donc de ne pas absorber les coûts de restructuration et parmi eux les coûts de licenciement des salariés non repris.

Croissance externe et rachat de fournisseur

Le processus de reprise à la barre est particulièrement adapté aux enjeux de croissance externe, par exemple lorsque le repreneur veut étendre ses activités au niveau national ou international. L’entreprise repreneuse augmente de cette façon son chiffre d’affaires en faisant l’acquisition d’une société ayant la même activité, parfois via des complémentarités territoriales. Par ailleurs, on risque de voir se multiplier les rachats de fournisseurs par des entreprises dont les fournisseurs stratégiques sont en défaillance et qui doivent sécuriser leur approvisionnement et assurer ainsi la continuité d’exploitation.

Les limites de la reprise à la barre

La reprises à la barre n’a pas que des avantages et le processus, loin d’être parfait, reste soumis à d’importantes pressions.

Contrairement aux cessions classiques qui s’étalent sur une année environ et qui sont accompagnées par des banques d’affaires qui analysent tous les paramètres (marché, information financière, potentiel de développement), la reprise à la barre dure en moyenne seulement 4 mois pour toute la procédure, faute de trésorerie suffisante. Cette pression peut rendre compliquée l’analyse par les repreneurs.

De plus, la reprise à la barre n’est pas assez internationale puisque les investisseurs étrangers ne représentent que 8% des acquisitions. Un phénomène sûrement dû au fait que les appels d’offres ne sont publiés qu’en français.

L’aspect social est également fondamental puique même si la reprise à la barre sauve en moyenne 75% des emplois, il est pratiquement impossible de faire aboutir le processus sans l’approbation du corps social, ni de mettre en oeuvre le plan de retournement.

La reprise à la barre a beaucoup d’avantages à apporter au monde de la Fusac (fusions-acquisitions ou encore Mergers & Acquisitions en anglais) mais il est impératif d’optimiser le bon mix and match entre les repreneurs et les entreprises en difficultés. Pour cela, l’intelligence artificielle pourrait jouer un rôle clé dans un avenir proche.

L’achat de sa résidence principale peut se révéler complexe et stressant. La principale difficulté réside bien souvent dans l’obtention du crédit immobilier qui peut rapidement se transformer en véritable parcours du combattant. Surtout lorsque l’accès au crédit se resserre.

L’acquisition d’un bien immobilier fait partie des moments importants d’une vie, au même titre qu’un mariage ou qu’un changement professionnel. Entre la recherche du bien, la constitution du dossier de demande de prêt et les démarches pour l’obtention du crédit, cette période peut s’avérer particulièrement intense… et stressante. Surtout lorsque les montants investis sont importants. Pour que l’achat se déroule au mieux, il est particulièrement important d’être bien informé mais aussi bien accompagné.

Agent d’Enedis, Brice Bourgoin, s’est naturellement tourné vers sa banque pour réaliser son premier achat immobilier avec sa compagne fin 2021. Un projet né de l’envie de se créer un patrimoine afin de pouvoir léguer quelque chose à leurs enfants. Ce jeune père de famille qui pensait voir son dossier accepté rapidement malgré « un objectif ambitieux » était loin de s’attendre à de telles difficultés. Première déconvenue, sa banque ne comptabilise pas les aides au logement qui lui sont versés mensuellement par son employeur au titre de son astreinte. Pire, il fait les frais du traditionnel durcissement d’octroi en fin d’année ; les banques ayant déjà effectué leur quota, il lui est alors impossible d’obtenir le précieux sésame. « Très déçu », Brice Bourgois contacte alors un courtier, avec les mêmes effets : « Honnêtement il n’y avait aucun suivi, c’était compliqué d’avoir des réponses ».

SOFIAP et le prêt subventionné

Sur les conseils de son frère, l’agent d’Enedis s’adresse alors à SOFIAP, un établissement spécialisé dans le crédit immobilier à destination des salariés du groupe. « Je les ai contactés via l’intranet de l’entreprise et on nous a immédiatement attribué une conseillère. Pendant trois mois, on ne s’est plus lâchés ». Lorsqu’il repense à cette période, Brice reconnait avoir été submergé. « C’était intensif en termes de démarches administratives. Nous étions inquiets parce que nous avons mis du temps à constituer notre apport. Mais notre conseillère a su nous rassurer, nous nous sommes sentis vraiment écoutés et accompagnés ».

Un pari gagnant qui permet au couple d’obtenir son crédit en bénéficiant d’un avantage inédit : la prise en charge d’une partie du taux de son prêt par son employeur. Grâce à cette offre, mise en place par Enedis et SOFIAP à destination des salariés, et à la prise en compte de son aide au logement, Brice dit avoir pu acheter plus grand que ce qu’il avait prévu initialement. « Ça représente facilement deux pièces en plus. On a même une chambre d’amis qui nous permet d’accueillir nos proches » se réjouit-il. Ce succès, le couple l’attribue essentiellement au facteur humain et à l’investissement des conseillers SOFIAP. « Nous avons eu face à nous des personnes qui étaient réactives, compréhensives et vraiment impliquées dans le dossier. Ça a fait toute la différence ».

L’accompagnement, la clé de la réussite

La réussite d’un achat immobilier repose bien souvent sur l’accompagnement et un suivi du début à la fin du projet. « L’achat de sa résidence principale, c’est un moment de vie très particulier, un peu anxiogène, explique Fabien Lamétairie, responsable du pôle logement au sein du groupe EDF. Il faut absolument avoir des spécialistes qui renseignent les salariés autant que nécessaire et qui les tiennent informés ». Depuis 2015, le fournisseur d’énergie collabore avec SOFIAP pour accompagner ses salariés en mobilité géographique ou en fin de carrière dans l’acquisition de leur logement. Un millier d’entre eux bénéficie chaque année d’un prêt subventionné et les retours sont très positifs. « Ce qui distingue SOFIAP, c’est sa compréhension des attentes des salariés du groupe EDF », estime Fabien Lamétairie qui salue avec une pointe d’humour leur capacité d’acculturation : « les salariés apprécient que leurs interlocuteurs de la SOFIAP connaissent la structure du Groupe et ses particularités ».

Dans le cadre de cette collaboration, l’établissement de crédit organise régulièrement des webinaires et vient même présenter l’offre directement sur site aux salariés d’EDF, qui peuvent ensuite être accompagnés par un conseiller en agence ou à distance en fonction de leurs besoins. Une flexibilité indispensable lorsque les collaborateurs sont dispersés sur l’ensemble du territoire.

Un dispositif gagnant-gagnant

Quel bénéfice les salariés tirent-ils de ce dispositif ? Le responsable logement d’EDF estime que cet avantage leur permet d’être « mieux dans leur vie personnelle et donc dans leur vie professionnelle ». Brice Bourgoin y voit une réponse aux difficultés de recrutement : « les entreprises se plaignent du fait qu’elles ont du mal à recruter. Mais mettre en place des démarches simplifiées et un accompagnement pour ceux qui veulent devenir propriétaires, c’est un levier d’incitation ». Dix mois après son installation dans sa maison francilienne et alors que la hausse des prix ne semble pas près de s’arrêter, l’agent d’Enedis ne regrette pas son achat, bien au contraire : « Maintenant qu’on est propriétaires, on ne craint plus de voir notre loyer augmenter. C’est rassurant pour notre famille de voir que notre enveloppe logement est maîtrisée ».

La convergence de facteurs structurels et sociologiques fait entrer l’économie dans une période d’inflation persistante, à l’instar des années 1970. La décarbonisation et la modification de notre rapport au travail affaiblissent l’offre et favorisent l’inflation : un authentique challenge pour les banques centrales. La résilience de l’inflation et le retour induit du cycle économique créent des opportunités multiples pour l’investisseur actif. Ne craignons pas l’inflation ! Par Frédéric Leroux – Responsable Équipe Cross AssetGérant chez Carmignac

L’attente d’un retour durable de l’inflation autour de 2,5% est une douce utopie

La baisse de l’inflation aux États-Unis depuis juin dernier a donné des ailes aux marchés d’actions ces derniers mois. Les anticipations d’inflation telles que l’on peut les déduire du prix des obligations indexées sous-tendent un retour vers une hausse des prix proche de 2,5% dès le mois de juin puis une stabilisation près de ce niveau au cours des années suivantes. Cette perspective est celle d’un retour durable aux marchés de la décennie 2010, où les rendements nets de l’inflation étaient largement favorables aux actifs financiers et immobiliers et facilement captables par les gestions passives. Nous ne croyons pas à ce scénario de retour durable de l’inflation sur de bas niveaux. Nous pensons au contraire que l’inflation est  » partie pour rester « . Les évidences s’accumulent pour indiquer que les économies développées entrent dans une phase inflationniste du cycle économique de long terme pendant laquelle l’offre ne parvient pas toujours à suivre la demande. La succession rapide de périodes de croissance inflationniste, poussées par les forces structurelles, et de ralentissements désinflationnistes, orchestrés par les banques centrales, y recrée la cyclicité conjoncturelle, défavorable à la gestion passive et nécessitant de se réintéresser aux thématiques ayant souffert de la disparition du cycle.

Nos aspirations avant l’efficacité économique

Au-delà des facteurs structurels d’une démographie moins génératrice d’épargne et d’un commerce mondial moins dynamique, déjà abondamment traités dans nos précédentes notes, l’inflation se nourrit, maintenant et pour les années qui viennent, de deux autres facteurs prégnants et de nature à contraindre l’offre de biens et de services :

  • la décarbonisation des économies, qui conduit à une baisse drastique des investissements dans les énergies fossiles (et donc à la baisse structurelle des réserves) et mène à un renchérissement des prix énergétiques ;

  • la volonté, postpandémie, de changer de vie, matérialisée par un rapport au travail différent, marqué par l’envie de travailler de chez soi, moins longtemps, voire de changer de métier, souvent pour un poste plus éloigné des grands centres-villes où la pénurie de main-d’œuvre se fait le plus sentir.

Des énergies fossiles pour longtemps majoritaires dans le mix énergétique mondial Si les chiffres diffèrent, le consensus s’entend pour dire que, sur les dix dernières années, plusieurs milliers de milliards de dollars ont été investis en faveur de la transition énergétique mais que dans le même temps la part des énergies fossiles dans le mix de consommation énergétique mondial n’a baissé que d’un peu plus de 1 point pour s’établir à 81%. La combinaison d’une baisse drastique des investissements dans les énergies fossiles et de la stabilité de celles-ci dans le mix énergétique mondial recèle les ingrédients d’une crise énergétique du même ordre que celle qui a contribué à la dernière grande période inflationniste, de 1965 à 1980, alimentée par le choc pétrolier de 1973. L’OPEP considère – sans surprise – qu’il faudrait investir 1 500 milliards de dollars dans le développement des énergies fossiles chaque année jusqu’en 2045 contre 1 000 milliards aujourd’hui pour garantir la sécurité énergétique. La vérité est probablement quelque part entre ces deux chiffres mais ne laissons pas l’arbre de la guerre en Ukraine nous cacher la forêt du déficit énergétique structurel que nous creusons avec la foi sincère du charbonnier, alors que la production russe de pétrole n’a baissé que de 2% par rapport à son niveau avant l’invasion de l’Ukraine.

Mais où est passée la main-d’œuvre ?

Simultanément, la modification profonde du rapport au travail qui conduit à moins d’heures travaillées, à moins de travailleurs et à une mobilité très forte de la main-d’œuvre, donc à une déperdition de productivité, risque fort de conduire aussi à un défaut d’offre durable. Partout dans le monde occidental, le rapport entre offres d’emplois et main-d’œuvre disponible est proche de plus hauts historiques : les entreprises ne parviennent pas à recruter pour faire face dans de bonnes conditions à la demande qui leur est adressée. Il est donc normal que des augmentations de salaire emblématiques commencent à voir le jour. À titre d’exemple, ces dernières semaines, Inditex (propriétaire notamment de Zara) a annoncé plus de 20% de hausse salariale en Espagne pendant que son concurrent japonais Uniqlo avait procédé à des augmentations de 20% à 40% au Japon.

Le consensus ne croit pas à un long combat contre l’inflation

Le manque de main-d’œuvre et le prix de l’énergie sont aujourd’hui, avec la hausse des taux d’intérêt, les raisons qui expliquent le mieux le ralentissement économique. Le ralentissement lié à une offre défaillante est inflationniste. Le maniement de l’arme monétaire en est rendu plus compliqué. À cet égard, il est intéressant de noter que la série de hausses des taux directeurs décidée par la Réserve fédérale, d’une ampleur et d’une vitesse jamais vues auparavant (475 points de base en dix mois), est à ce jour accompagnée par un taux de chômage américain au plus bas depuis 1969. La bataille contre l’inflation actuelle sera bien sûr gagnée à court terme par quelques hausses de taux supplémentaires. Elles déclencheront probablement la récession nécessaire au reflux plus marqué des prix, en affaiblissant la consommation, sans régler le déficit d’offre. Mais les aspirations socio-économiques actuelles laissent entrevoir une succession de poussées inflationnistes qui annoncent une longue lutte contre l’inflation à laquelle le consensus ne semble pas croire. La moindre disponibilité de la main-d’œuvre et le renchérissement des prix énergétiques qui résultent de ces aspirations ne trouveront dans les politiques monétaires et budgétaires qu’une résistance sporadique, tant le seuil d’acceptation de la douleur dans les pays économiquement avancés s’est abaissé. Les récessions organisées par les politiques économiques et monétaires pour réduire l’inflation seront donc brèves et peu profondes. L’inflation tombera mais se relèvera chaque fois. La résilience est de son côté.

Ne craignons pas l’inflation ; les opportunités qu’elle crée sont si nombreuses !

L’aptitude démontrée de notre gestion obligataire à tirer parti des rendements des dettes publiques et privées dans un environnement de taux plus élevés, à détecter dans l’univers émergent les situations asymétriques ou à gérer l’exposition globale aux taux d’intérêt positivement comme négativement est un atout majeur dans le contexte économique décrit. Sur les marchés d’actions, la faiblesse attendue des taux réels devrait offrir un soutien aux marchés d’actions. Cette perspective justifie une exposition notable à l’or. Quant à la Chine, l’absence d’inflation à ce stade lui confère un statut très diversifiant.

Introduire un biais inflationniste dans notre gestion permet de tirer le meilleur parti des opportunités nombreuses qu’offrira la cyclicité économique tout en apportant de la diversification dans la gestion des patrimoines. Nous nous y employons avec force et conviction. N’ayons pas peur de l’inflation, faisons d’elle notre alliée !

Contactez nos experts

« C’est du marketing !» …La pire insulte qu’on puisse trouver pour signifier le vide, le vent, le superficiel, bref, le RIEN…Il est temps de revenir aux fondamentaux ! Marketing vient de « market », le marché. Le marketing, c’est comprendre à qui on s’adresse, les besoins du secteur, ses attentes et donc ce qu’on peut lui proposer pour l’accompagner, faire progresser son activité. Et non « comment rendre plus joli pour le client ce dont il n’a pas besoin ». Par Isabelle de Goüyon Matignon – fondatrice de Gemma360 D’autant plus que l’opération serait totalement contre-productive : un client déçu ou berné ne sera ni fidèle, ni prescripteur, donc adieu le chiffre d’affaires… Le marketing permet de répondre efficacement à la question : « Comment puis-je vous aider ? »
  • Comprendre son marché et ses évolutions
  • Comprendre ses clients et leurs besoins
  • Comprendre comment instaurer un dialogue utile avec son client pour l’aider
Aujourd’hui, le marketing est d’autant plus indispensable qu’avec la récente pandémie, les rdv clients en présentiel se sont faits plus rares, courts et factuels. On a donc moins d’échanges informels pour prendre le temps d’écouter et de comprendre les besoins de ses clients. Et donc, en amont, avoir déjà une petite idée de qui il est.

Marketing & Relations Clients

Le marketing c’est mieux connaître ses clients, ses offres, ses marchés, en dehors de la variable “consommation” : leur comportement d’achat, comment les contacter, à quel(s) moment(s), sur quel(s) sujet(s) ? Et proposer une expérience client optimale. Le marketing c’est de l’analyse pour comprendre un marché, de l’écoute pour comprendre un client, et de l’adaptation pour proposer un produit ou un service utile, en adéquation avec les besoins d’une entreprise.  Faire du marketing, c’est placer le client au cœur de la relation. Juste un intermédiaire entre le produit/service et son client. En gros, un Meetic professionnel pour faire matcher un besoin client avec les produits/services adaptés ! ;-)

Marketing & Data

Le marketing s’appuie avant tout sur de la data, des données chiffrées, du comportemental qui permet :
  • De construire un CRM/Base de données afin de savoir qui sont ses clients, et ne pas repartir de zéro à chaque contact avec eux : Écoute, fidélisation, engagement client
  • De segmenter ses clients selon des profils similaires pour analyser et avoir meilleure compréhension de leur comportement : Comprendre les codes du client et lui parler son langage
  • De communiquer avec le client en construisant des plans relationnels adaptés et des parcours clients efficaces : Gain de temps, génération de leads, expérience client
  • D’accompagner les commerciaux dans la compréhension des produits/services en répondant à des besoins identifiés, en proposant des solutions adaptées : Confiance, partenariat
  • Cela permet également de se remettre en question en repartant des attentes clients remontées, analysées, factuelles pour proposer les bonnes solutions : Innovation, création de valeur
Bien entendu, cela ne remplace en rien les échanges bien réels et le dialogue avec ses clients.

Marketing & Authenticité

Être honnête, avoir les bonnes infos et communiquer sur les bonnes données permet également d’éviter toute incompréhension entre l’entreprise et son client. Et surtout, de ne jamais penser à la place de son client : il faut sans cesse tester, itérer, confronter avec ses clients pour toujours proposer des solutions utiles et fonctionnelles grâce à :
  • Des enquêtes et études quali ou quanti
  • Des opérations de marketing direct (ou growth hacking) : par phoning, email ou mailing, voire en présentiel ou sur les réseaux sociaux
  • Des metrics digitaux type trafic site/appli, visiteurs uniques, taux d’engagement
  • Des rencontres lors de salons et autres événements professionnels

Marketing et Performances Commerciales

Enfin, développer une segmentation des comportements clients permet de mieux adresser et capter le maximum de valeur :
  • Détecter les meilleurs clients, les segments prioritaires, les actifs non exploités
  • Cibler en fonction des typologies pour mieux adresser (contenus plus impactants donc meilleurs leads et rentabilité)
Finalement, vous faites certainement déjà du marketing sans le savoir… J’ai raison ? ;-)  

Depuis l’avènement du PFU en 2017, la fiscalité ne fait plus clairement la différence entre le compte-titres (délaissé dans les années 2010) et l’assurance-vie (placement préféré des français). Comment alors se déterminer pour investir au mieux ? Quels critères retenir ?

Par Géraldine Métifeux, associée fondatrice d’ALTER EGALE

C’est en entrant dans le détail de vos attentes et de la construction de chaque enveloppe que nous pourront répondre à ces questions.

Les différences entre ces enveloppes :

Tout d’abord, le 1er critère à prendre en considération est votre situation familiale et patrimoniale: Avez-vous des enfants et souhaitez-vous réduire la facture des droits de mutation à titre gratuit lors de votre décès ?

Si la réponse est oui, alors le contrat d’assurance-vie sera sans doute l’enveloppe la plus adaptée à votre situation.

Deuxième question ou critère : Souhaitez-vous déléguer la gestion à un professionnel ou gérer vos investissements directement ?


Géraldine Métifeux, associée fondatrice d’ALTER EGALE

Généralement, le contrat d’assurance-vie permet d’accéder à une gamme très large de produits d’investissement dits collectifs tels que les OPC actions, OPC obligations, OPC diversifiés, les SCPI, le Private Equity, les produits structurés et parfois même des titres vifs. Un professionnel (conseil en gestion de patrimoine) pourra alors vous proposer une allocation qui corresponde le mieux à votre profil et la faire évoluer avec le temps quand cela s’avère nécessaire.

De notre point de vue, l’atout majeur du compte-titres est de pouvoir accéder aux titres vifs, aux actions en direct. Vous pouvez le faire pour des montants modestes et ainsi diversifier vos allocations. Vous pouvez également participer aux introductions en bourse (IPO). Si vous souhaitez dénicher par vous-même des pépites, le compte-titres s’impose alors. Mais attention au risque que cela comporte. Vous devrez assumer seul les conséquences de vos investissements.

Troisième question : Avez-vous besoin de souplesse ?

Dans ce cas l’avantage va alors au contrat d’assurance par le biais des systèmes d’avance qui vous permettent de bénéficier de prêt in fine d’une partie de votre argent placé. Ainsi, vous avez investi 100K€ qui sont devenus 120K€. Vous avez un besoin de trésorerie pour une période de 12 mois par exemple, vous pouvez ponctionner jusqu’à 60% des sommes valorisées qui vous seront prêtées et à charge pour vous de les rembourser à terme avec les intérêts. Pendant ce temps, vous avez toujours la totalité des fonds qui sont investis et qui donc continuent de générer des plus-values (quand tout se passe bien).

Quatrième critère, et pas des moindre, à prendre en compte : les frais. L’assurance-vie, surtout haut de gamme, a la réputation d’être chère ; là où le compte-titres serait plus abordable.

La question est toujours « cher par rapport à quoi ? ». En réalité, un contrat d’assurance-vie en unités de compte et réelle architecture ouverte emportera des frais de gestion de l’ordre de 0.90% à 1.10% par an. Ensuite, les OPC et autres fonds que vous aurez choisis emportent également des frais variables mais généralement compris entre 1.50% et 2.50% par an. Les frais globaux de votre contrat seraient de 3% en moyenne. Notons que les performances de vos contrats sont toujours indiquées nettes de frais.

Sur un compte-titres, si vous deviez le gérer seul, vous auriez des frais de dépositaire, des frais de garde et des frais de transactions. Tous ces frais sont assez variables mais peuvent atteindre (selon le nombre de transactions notamment) 0.50% voire plus. Et naturellement, si vous logez sur votre compte-titres des OPC, vous devrez acquitter les frais de ce dernier. Sur le compte-titres, les frais sont prélevés sur le compte de liquidités, de sorte qu’une partie de la valorisation du compte-titres est brute en réalité.

Sans mandat de gestion, l’avantage est au compte-titres et encore plus en titres vifs naturellement. Nota : le mandat de gestion en titres vifs est souvent accessible à partir de 250K€ et facturé généralement 1.20% HT.

Le compte-titres redevient l’outil idéal, grâce au PFU, pour mieux répartir vos investissements entre non côté et côté, notamment. Mais pour une gestion patrimoniale plus globale, le contrat d’assurance-vie conserve toute sa pertinence.

La location meublée avait et a toujours le vent en poupe. Son principal atout ? Une faible fiscalité des revenus. Mais à l’heure du Covid19, la donne pourrait avoir changé et la location meublée pourrait devenir un peu trop abondante et donc perdre de son attrait. Alors quelle serait la parade afin de bénéficier d’une fiscalité allégée sur les revenus sans passer par la location meublée ? Il existe une solution qui, sans être une martingale, pourrait séduire nombre d’investisseurs dans les mois voire les années à venir. Il s’agit d’acheter le bien (ou les biens) via une SCI qui serait soumise à l’IS et non à l’IR.

Par Géraldine Métifeux, associée fondatrice d’ALTER EGALE

Quelles sont les conséquences de l’adoption d’un tel régime fiscal ? Tout d’abord, la SCI à l’IS peut soit louer en nu soit louer en meublé. Si demain, la location meublée redevient la reine des investissements immobiliers, la SCI soumise à l’IS peut parfaitement consentir des baux en meublé, contrairement à la SCI soumise à l’IR (qui ne peut avoir qu’une activité civile et non commerciale, or la location meublée est une activité commerciale).

Ensuite, tout comme dans le régime de la location meublée en SARL de Famille ou en propre, vous pouvez amortir l’immobilier (pas le foncier) et le mobilier. C’est ce qui permet de créer des charges comptables et fiscales qui limitent sensiblement l’imposition des revenus, lorsque le bien est acquis via un prêt et même une fois le prêt échu.

Et contrairement à la situation de la SARL de Famille, les déficits ainsi créés sont indéfiniment reportables et non seulement pendant 10 ans. Là encore, si vous avez acquis un bien au moyen d’un crédit sur 20 ans, les déficits créés pourront se reporter sur les bénéfices générés une fois le prêt échu et au fond donc une fois que vous aurez besoin de ces revenus complémentaires pour maintenir votre train de vie.

Enfin, et ce n’est pas neutre, contrairement à la SARL de Famille, vous pouvez la constituer entre amis, membres d’une famille sans appartenir au même foyer fiscal. C’est une liberté de plus.



En revanche, une SCI à l’IS emporte quelques inconvénients. D’une part, il semble pertinent, nécessaire voire parfois impératif, de se doter des services d’un comptable afin d’établir les différentes déclarations sociales et fiscales (remarque que je considère comme valable également pour les SARL de Famille ou location meublée en propre). Cela alourdit le coût de la structure et en même temps, cela crée une charge qui, rappelons-le, sera indéfiniment reportable.

D’autre part, la SCI à l’IS, en toute logique, vous prive du régime des plus-values immobilières pour les particuliers en cas de revente du bien, c’est-à-dire de l’exonération de l’impôts sur la plus-value au terme de 22 ans de détention et de l’exonération des prélèvements sociaux au terme de 30 ans de détention. La fiscalité sera celle des plus-values à long terme soit 19% (pas de prélèvements sociaux), puis de l’IS et enfin des dividendes pour jouir des fonds sur son compte personnel.

Néanmoins, vraisemblablement, vous pourriez éviter l’IS, en compensant ce bénéfice avec les déficits reportables par exemple et/ou par des comptes courants matérialisés dans les premières années d’exploitation.

Le seul véritable point noir à notre sens tient plus au risque de décès de l’associé et gérant pendant la durée du prêt accordé pour acquérir le ou les biens au sein de la SCI. En effet, la survenance du décès déclencherait automatiquement le remboursement du prêt par le mécanisme de l’assurance-emprunteur. Ce remboursement serait considéré comme un produit exceptionnel et imposé comme tel.

Il faut donc bien réfléchir au montage avant de se lancer dans la constitution d’une SCI à l’IS, mais cela demeure pour nous, une corde de plus pour vos investissements immobiliers.

Le régime d’imposition et de fiscalité des SCI se décide au moment de leur création. Logiquement, une SCI est dite “transparente”, ce qui signifie que chaque associé est imposé en fonction de sa qualité et de sa part dans le capital de la société. Cependant, il est possible d’opter pour un mode d’imposition lié à l’IS, de manière irrévocable.

Par Serge de Cluny

Une SCI transparente est fiscalement régie par l’IR (impôt sur le revenu) et n’est donc pas imposable en tant que personne morale. Chaque associé de la SCI se voit alors imposé en fonction de sa qualité :

  • Dans le cas où l’associé est un particulier, une entreprise relevant des BNC (Bénéfices non commerciaux) ou une auto-entreprise, il sera soumis aux règles des impôts fonciers.

L’un des avantages de ce modèle est que les déficits de la SCI pourront être déduits des revenus des associés personnes physiques jusqu’à un seuil de 10.700 € par an.

  • Dans le cas où l’associé est une autre personne morale (société), il sera imposable selon les règles de son imposition (IS, BIC, etc).

Afin de s’acquitter de son impôt chaque associé devra donc déclarer sa propre part ; s’il s’agit d’un particulier il le fera dans sa déclaration de revenus tandis qu’une société effectuera cette démarche dans sa déclaration de résultat.

La fiscalité des SCI peut aussi être basée sur l’IS au moment de la création ou pendant sa vie sociale, de manière irrévocable. La société est alors directement redevable de l’impôt sur les sociétés (IS) et les associés ne paient d’impôt qu’au moment de la distribution de dividendes.

IS et l’IR : que choisir pour la fiscalité des SCI ?

C’est un choix qu’il convient de faire avec un spécialiste en fiscalité car il y a de nombreux aspects à prendre en compte avant d’opter pour l’IS ou l’IR mais voici quelques règles basiques en fonction des différentes situations :

  • En début d’activité, la SCI a en général beaucoup de charges en raison des emprunts effectués. Si elle ne fait pas de bénéfices mais subit des pertes au début, il serait judicieux de choisir l’IR dans la mesure où ces pertes viendront réduire l’assiette de chaque associé.
  • Si le taux personnel de chaque associé est supérieur à 26,5 %, il serait alors logique d’opter pour l’IS puisque les bénéfices de la SCI viendraient alors augmenter l’assiette des associés.
  • Dans le cas où la SCI veut amortir son immeuble, ce qui consiste à déduire du bénéfice imposable le montant correspondant à son usure ou à sa perte de valeur. Cette procédure n’est possible qu’avec l’IS.

Pour bien comprendre la fiscalité des SCI, il faut également prendre en considération le régime de TVA, l’imposition de ses plus-values ainsi que de nombreux autres aspects. La fiscalité des SCI est en fait tres complexes à appréhender et nous n’avons aborder que les grandes lignes dans cet article, l’idéal est donc de se faire accompagner par un spécialiste de la gestion de patrimoine ou même par un avocat fiscaliste.

INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.