...

STRATÉGIES

Epuisement professionnel, solitude, isolement du dirigeant…ces termes ne sont plus des sujets tabous et font aujourd’hui l’objet d’une réelle prise de conscience. En effet, on a compris que ces souffrances ne sont pas une fatalité et qu’il existe des solutions qui permettent d’analyser ces signaux et de prendre du recul pour mieux gérer sa boite. C’est précisément l’expertise de Polyrisk qui, à travers le principe du mentorat d’entreprise, accompagne les dirigeants dans la définition d’une cohérence entre leur développement personnel et celui de leur entreprise. Christophe Fleury, Président de Polyrisk, nous parle de la méthode et des outils qu’il a créé pour aider les chefs d’entreprises à relever la tête et à concilier leurs stratégies personnelles et professionnelles. Xavier Petitpez, dirigeant d’entreprise, nous livre un témoignage sincère sur les raisons qui l’ont poussé à faire appel à Polyrisk et sur le succès de la méthode.
L'IFAG enseigne le succès managérial à ses étudiants
La transformation managériale s’impose aujourd’hui comme un enjeu majeur, posant de nouveaux défis de recrutement aux entreprises. Afin de bien former les candidats, l’accompagnement personnalisé d’une équipe pédagogique et l’implication des étudiants dans un parcours réellement professionnalisant est la clé du succès managérial. Quentin Loyer, étudiant en Mastère 1 Manager de Business Unit à IFAG Lille et directeur d’un magasin Auchan, apporte son témoignage en nous parlant de son expérience à l’IFAG et de l’impact significatif des méthodes que l’école a mis à sa disposition pour développer ses compétences managériales et l’amener ainsi vers le succès managérial dans le poste qu’il occupe actuellement… et le tout dans la bonne humeur !
Laisser ses émotions dans le hall d’entrée de son entreprise était une pratique courante dans les années 80. Si on a longtemps considéré que ne rien laisser transparaitre nous rendait plus fort, travailler sans considération pour les émotions serait aujourd’hui un frein au développement d’une organisation. Collaborer avec des profils dotés d’un haut niveau d’empathie, d’une bonne capacité à communiquer, à influencer et à s’adapter devient donc la nouvelle norme et prend une place capitale dans les entreprises. Ces compétences, appelées « soft skills », sont de plus en plus recherchées car bénéfiques tant d’un point de vue performance que de cohésion d’équipe. Elles s’apparentent à une nouvelle intelligence nommée : intelligence émotionnelle. Découvrez dans cet article en quoi l’intelligence émotionnelle est une qualité essentielle pour la performance des équipes. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay L’intelligence émotionnelle, mais c’est quoi au juste ? L’intelligence émotionnelle est la capacité à identifier et à gérer ses émotions et celles des autres. Elle influence notre façon de travailler, elle aide à créer des liens solides, à prendre du recul, à prendre des décisions justes et à s’adapter au changement. Elle a un impact positif sur la réussite, la performance, ou encore le bien-être des collaborateurs, il s’agit donc d’une compétence comportementale clé. Comme toute forme d’intelligence, ce n’est pas forcément un talent inné, chacun peut, à tout âge, apprendre à la cultiver. Considérée comme une simple mode dans les années 90, la gestion des émotions s’invite au cœur du processus de recrutement depuis une dizaine d’années. Confiance en soi, empathie, capacité à résoudre des conflits : ces critères de personnalité sont examinés en détail par les recruteurs sous forme de tests lors des entretiens d’embauche.
Céline Cherqui –Fondatrice de OneWay
Placer l’intelligence émotionnelle au cœur du recrutement permet de sélectionner des profils proches de la culture de l’entreprise. Ces collaborateurs, plus conscients de leurs émotions, auront plus de facilité à s’auto-évaluer et à s’adapter si besoin, ils seront par conséquent plus performants. Ils pourront par ailleurs, être capables de percevoir les sentiments de leurs collègues et seront plus doués pour transmettre leurs compétences et pour manager. Ils seront naturellement ouverts aux travaux en groupe et développeront autour d’eux un environnement d’intelligence collective.  La gestion de ses émotions est donc facteur d’excellence individuelle qui favorise aussi la performance collective. Pour résumer, l’intelligence émotionnelle vous permet de :
  • Mieux collaborer avec votre équipe et de créer une synergie
  • Prendre du recul avant d’agir pour réduire les réactions impulsives
  • Gérer les conflits de manière constructive
  • Communiquer de façon efficace et sans ambiguïté
  • Développer votre empathie
  • Faire des choix et à passer à l’action, en mettant en place des solutions objectives
  • Gérer le stress et s’adapter au changement
Les managers sont les premiers à devoir incarner le concept de l’intelligence émotionnelle, faisant d’elle une compétence managériale indispensable.

Ok, et comment la développer ?

#1 Pratiquez l’écoute active Ecoutez dans le but de comprendre vous permettra de créer du lien avec les autres, d’instaurer la confiance et de développer votre empathie. #2 Faites preuve d’adaptabilité Être flexible vous permettra de réagir de manière appropriée à chaque situation. #3 Adoptez le style de management adéquat Accompagnez vos collaborateurs pour favorisez l’intelligence collective de votre équipe. #4 Encouragez le feedback Il vous permettra de vous autoévaluer et d’être dans l’amélioration continue permanente. #5 Apprenez à résoudre les conflits Encouragez la transparence, elle vous permettra de soutenir vos collaborateurs. En d’autres termes, utilisez vos émotions de manière intelligente, et apprenez à vous en servir au quotidien pour être plus performants. Vous l’aurez compris :  Aider vos collaborateurs à développer leur intelligence émotionnelle, c’est leur donner des ressources pour améliorer leur performance et leur engagement. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour améliorer votre processus recrutement mais que tout reste encore un peu flou, …Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay  
Avec des besoins managériaux en constante évolution, les entreprises cherchent en permanence à recruter des talents formés et adaptés à leurs enjeux spécifiques. C’est dans cette quête perpétuelle que la relation des entreprises avec l’IFAG, une école fortement implantée dans les territoires, prend tout son sens. Flore Lefévère, Responsable Développement à IFAG Lille, partage avec nous ce modèle d’alternance de proximité qui a su faire de cette école un catalyseur essentiel dans la création d’un écosystème où la collaboration entre l’éducation et le monde professionnel est synonyme de succès partagé et d’épanouissement en entreprise.
Le dépôt de brevets s’inscrit dans une stratégie de propriété intellectuelle qui dépasse largement la seule protection de l’entreprise. Cette prise de conscience doit commencer par les dirigeants et être relayée rapidement vers tous les échelons à travers une procédure bien définie qui permettra au dépôt de brevets de s’avérer créateur de multiples richesses indirectes.  Par Franck Boccara Lors de la création d’une entreprise innovante, la protection de la propriété intellectuelle ne parait pas essentielle à ce stade et ne fait donc pas partie, en général, des priorités. C’est une erreur que trop d’entrepreneurs commettent, surtout à leur début, car la protection de la propriété intellectuelle est fondamentale dès la constitution d’une PME innovante, surtout dans les secteurs d’activité techniques et technologiques ou elle revet un caractère totalement stratégique. Constituer un portefeuille de brevets deviendra alors une démarche systématique et affirmée de la direction qui devra définir une politique à long terme puisque un seul brevet ne pourra pas contenir le concept fondateur de l’entreprise et protéger sa propriété industrielle à jamais. Cest à chaque étape du développement de la PME innovante et de son processus opérationnel que la question doit être traitée. Il sera souvent nécessaire, au fur et à mesure du développement, de créer un poste de direction consacré à la mise en place et à la coordonnation du dispositif de dépôts des brevets mais aussi en charge de diffuser cette stratégie en profondeur à tous les niveaux de l’entreprise et d’organiser des formations permettant de décomplexer le rapport à l’innovation en donnant aux ingénieurs le sentiment que le dépôt de brevets les concerne directement notamment lors de résolution de problème technique pouvant différencier l’entreprise face à la concurrence. Cette politique de protection de la propriété intellectuelle demande à être budgétée et considérée comme un investissement et non comme une dépense. Le coût moyen d’un dépôt de brevets étant d’environ 20 000 euros, celui-ci doit s’inscrire dans le cadre de la constitution d’un portefeuille de propriété intellectuelle qui va représenter un moyen de protection face à la concurrence, notamment des grandes entreprises. Le niveaux de qualité de la propriété   intellectuelle devient une valeur et   un  véritable patrimoine pour les   PME et ETI qui s’avère indispensable lors de levées de fonds auprès de nouveaux investisseurs ou lors d’une future cession ou acquisition. La constitution d’une politique cohérente va demander également l’intervention d’appuis externes fiables car la propriété intellectuelle est un domaine qui demande une réelle expertise. C’est précisément la fonction des cabinets de Conseils en Propriété Intellectuelle (CPI) qui offrent aux entreprises des solutions d’accompagnement dans les aspects les plus complexes comme la rédaction des brevets et leurs procédures mais aussi dans la mise en place d’une stratégie gagnante. Il est donc judicieux de s’appuyer sur des personnes qualifiées, de créer une forme de double commande via des chefs de projet et experts internes ou externes qui s’avérera efficace à l’élaboration et à la diffusion de la stratégie.
Pour se prémunir de la volatilité des marchés, l’investisseur doit diversifier ses actifs et les choisir avec attention. Il doit pour ce faire apprécier la corrélation entre deux instruments financiers et veiller au risque d’évolution de l’interdépendance entre le prix desdits actifs.

Qu’est-ce que la corrélation ?

A la manière d’un effet Papillon, une hausse ou une baisse de valeur d’un actif peut avoir des conséquences directes et sensibles sur d’autres actifs a priori très différents. Corrélation négative Prenons un exemple simple. Quand le prix du pétrole augmente, le cours des actions des compagnies aériennes peut baisser. Pourquoi ? Tout simplement parce que la hausse du carburant des avions fait grimper les coûts opérationnels des compagnies aériennes. Cette situation peut avoir un impact défavorable sur leur rentabilité et faire baisser leurs cours. On parle alors d’une corrélation négative. Ou positive Autre exemple : l’impact des devises sur le cours des entreprises exportatrices. Un euro se dépréciant par rapport au dollar américain aura un impact positif sur les entreprises européennes exportant vers les États-Unis. En revanche, cela renchérira le coût des exportations pour les entreprises américaines vendant en Europe. Le même mouvement peut donc avoir une corrélation positive ou négative.

L’utilisation de la corrélation dans une stratégie de diversification

En diversifiant leur portefeuille via l’association d’actifs décorrélés, les investisseurs peuvent réduire leur exposition aux risques spécifiques à certains actifs et lisser les fluctuations de leur portefeuille dans son ensemble. Cette stratégie permet à l’investisseur de réduire les aléas et donc de dégager une performance plus régulière et plus stable. Par exemple, on peut mixer des actions d’entreprises et des obligations souveraines (emprunts d’État) car ces deux classes d’actifs sont considérées comme faiblement corrélées entre elles, voire corrélées négativement, comme cela a été largement le cas ces vingt dernières années.

Une stratégie à analyser dans le temps

Cependant, une corrélation peut évoluer dans le temps. Il est donc important de l’analyser fréquemment. Entre 2000 et 2020, les obligations et les actions ont eu tendance à évoluer en sens inverse, l’un compensant l’autre et jouant le rôle d’amortisseur de l’autre classe d’actifs. Dans les périodes de baisse des indices boursiers, les obligations permettaient ainsi de protéger le patrimoine des investisseurs. Toutefois, en 2022, les actions et les obligations ont subi des chocs réguliers et simultanément. Les deux grandes classes d’actifs qui structurent la vie des marchés – actions et obligations – ont évolué dans le même sens dans le sillage de la vague inflationniste. Aussi il est clef de savoir apprécier ce qui pourrait faire évoluer cette corrélation dans le temps. De la même façon, un investisseur voulant investir sur l’action la plus décorrélé de l’indice Cac-40, pourrait être tenté d’acheter les actions d’Hermès ou de Véolia qui ont été les moins corrélées à l’indice phare de la Bourse en 2021. Pourtant en 2022, ce sont plutôt Thales et TotalEnergies* qui ont montré les meilleurs taux de décorrélation avec l’indice Cac 40. *Ce sont les des deux actions qui ont le plus évolué de façon opposée au Cac 40 en 2022 (Thales + 59,49% – TotalEnergies + 33,69%) vs un Cac 40 à -12 % »

Cela montre que l’utilisation de la corrélation dans la diversification d’un portefeuille, sans être une protection totale, peut aider à limiter les risques en répartissant les investissements sur différents actifs et classes d’actifs tels que les actions, les obligations, les matières premières, les devises, l’immobilier…

Carmignac
Avec un désengagement de plus en plus grand et une perte de confiance vis-à-vis des employeurs, il devient indispensable de trouver de véritables leviers pour fidéliser, motiver et développer les compétences de vos collaborateurs. Face à différents types d’épuisement professionnel comme le burn-out, le bore-out ou encore  le brown-out, il est temps d’agir et de développer le leadership de vos managers. Découvrez dans cet article quelques bonnes pratiques pour transformer vos managers en leaders et éviter de conduire vos collaborateurs vers cette spirale dangereuse du désengagement. Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay Petit rappel sur ces anglicismes :
  • Burn-out : surcharge de travail et surinvestissement d’un collaborateur
  • Bore-out : sous-charge de travail et ennui chronique qui en résulte
  • Brown-out : baisse d’énergie d’un collaborateur liée à la perte de sens dans son travail
Les managers ont un rôle opérationnel au sein d’une entreprise. Ils sont chargés de gérer une équipe et de mener à bien un projet. Ils fixent des objectifs, donnent des directives claires et précises, et s’assurent que leurs équipes sont efficaces et performantes. Leur rôle est de planifier, coordonner, organiser et suivre. Il s’agit d’une posture professionnelle.
Céline Cherqui –Fondatrice de OneWay
Les leaders agissent, quant à eux, en fonction d’une vision et essaient d’être une source d’inspiration pour leurs équipes en les influençant de manière positive pour servir les stratégies de l’entreprise. Ils sont à la fois coach et mentor, ils poussent les collaborateurs à se dépasser et les encouragent à développer leurs compétences. Ils favorisent le processus d’apprentissage et de réflexion, ce qui revient à accepter les échecs. Il s’agit d’un état d’esprit plutôt que d’un rôle. Ils valorisent et reconnaissent le travail des autres, ils aiment les challenges, n’ont pas peur de prendre des risques et de faire changer les choses. Face à une modification du rapport à l’autorité chez les nouvelles générations, à des collaborateurs qui ont besoin de redonner du sens à leur travail et à un fonctionnement transversal des organisations, le risque est la perte de contrôle. En effet, en donnant plus de pouvoir aux équipes, les managers cessent d’être impliqués dans les moindres détails des processus décisionnels et peuvent se sentir désorientés. Il faut donc être capable de créer un équilibre entre liberté totale et micro-management. Alors comment passer d’une posture de manager à celle d’un leader ? Rassemblez votre équipe autour d’une vision commune, quittez votre zone de confort, testez et apprenez. Encouragez le retour d’information et les itérations, gérez vos émotions pour ne pas polluer vos collaborateurs avec des ondes négatives, soyez à l’écoute, oubliez votre ego et faites passer votre équipe avant vous. Cette gestion agile est parfaitement adaptée à la nouvelle normalité du travail. Ok, mais comment faire ?  Pour y parvenir, vous devez être capable de : – partager votre vision, prendre des initiatives, être déterminé, confiant et oser faire avancer les choses, – défendre vos idées sans les imposer en favorisant l’intelligence collective et la co-création par exemple, – communiquer efficacement pour recueillir l’adhésion de tous, – rester à l’écoute de vos collaborateurs pour identifier leurs besoins, faire émerger les talents et mener tout le monde à la réussite, – bousculer les habitudes de chacun grâce à l’amélioration continue et vous remettre constamment en question en faisant votre auto-évaluation managériale, – motiver, valoriser le travail de votre équipe et donner du sens à leur quotidien, – responsabiliser chacun en clarifiant son périmètre d’intervention et son degré d’autonomie. Vous devez donc être inspirant, honnête et sincère, assumer vos responsabilités, tenir vos promesses et vos engagements. Vos collaborateurs trouveront alors en vous un véritable levier de motivation et leur performance se verra démultipliée. Vous l’aurez compris : Devenir leader est un choix, une attitude, une façon de penser et d’agir. 📞 Si cet article vous a donné des idées pour former vos managers mais que tout reste encore un peu flou… Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay
L’IFAG, avec ses 27 campus en France et à l’étranger, se démarque en tant qu’école de management qui parvient à allier avec succès une pertinence globale et un solide ancrage dans les territoires où elle est implantée. Forte d’un savoir-faire reconnu dans la formation au management à destination des entreprises de retail, l’IFAG a établi des partenariats stratégiques avec les entreprises de la région nord, à l’instar de Norauto, un acteur économique qui rayonne fortement dans la région. Emmanuelle Godfrin, Responsable des formations Alternance & Relations Ecoles pour Norauto France et Secrétaire Générale de l’AFMD, répond à nos questions et nous livre sa vision de ce partenariat en décrivant de façon précise les avantages uniques qu’offre l’IFAG en matière d’apprentissage et d’alternance.
Au coeur de l’évolution contemporaine des PME et ETI, la RSE émerge de plus en plus comme un impératif éthique et même économique. Dans ce contexte, les cabinets d’expertise comptable jouent un rôle crucial dans la stratégie RSE des entreprises en les aidant à intégrer des initiatives durables et responsables dans leur stratégie globale, à l’image de cabinet ACE4RSE qui sort sa charte de valeurs RSE. ACE4RSE membre du Groupe EXCEL se distinge en ayant non seulement embrassé cette évolution vers plus de responsabilité, mais également en l’incarnant dans une charte de valeurs RSE co-écrite et signée avec ses équipes, qui guide ses actions au quotidien. Le Cabinet ACE4RSE n’a pas attendu les récents développements réglementaires puisqu’il est labellisé ISO 26000 AFNOR « Engagé RSE » depuis mars 2022. Son label HOSMONY est le fruit d’une collaboration fructueuse entre chercheurs, professionnels, institutionnels et hautes instances ordinales. Gills Robert, fondateur du cabinet et créateur de ce label, a très vite compris que les experts-comptables jouent un rôle crucial dans la promotion d’une culture d’entreprise plus durable et responsable. Cette approche holistique bénéficie non seulement aux entreprises clientes en renforçant leur image de marque et en assurant leur conformité réglementaire, mais elle contribue également à la construction d’un avenir où les considérations éthiques et environnementales sont au cœur des décisions commerciales. Le leadership visionnaire de Gills Robert inspire non seulement son équipe et ses clients, mais également d’autres acteurs du secteur, démontrant ainsi qu’une bonne approche RSE peut être non seulement bénéfique sur le plan financier, mais aussi essentielle pour le bien-être des entreprises et de la société dans son ensemble. Ses initiatives et ses idées promettent d’inspirer et de guider de nombreuses entreprises vers un avenir plus durable avec la réelle volonté de créer un impact positif sur la société et l’environnement, pour les générations présentes et futures … A suivre !
L’année 2024 a commencé dans un contexte géopolitique pour le moins anxiogène mais les perspectives macroéconomiques suivent une logique qui leur appartient. Résilience de l’économie américaine, taux d’intérêt obligataires, marchés actions, désaflation…autant de paramètres à prendre en compte pour tenter d’anticiper les marchés financiers cette année. Frédéric Leroux, Responsable Equipe Cross Asset et Gérant chez Carmignac, partage avec nous une analyse perspicace de la situation actuelle et nous livre son scénario pour l’année 2024 tout en nous conseillant sur les actifs Carmignac à privilégier pour naviguer avec confiance dans les eaux tumultueuses des marchés financiers cette année… A voir impérativement !
INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.