...

Business coaching – Votre (meilleur) allié pour le rebond qui s’annonce

PARTAGER

Facebook
Email
WhatsApp

Avec des prévisions de 6% de croissance pour 2021 confirmées par le gouvernement comme l’OCDE, la sortie de crise s’annonce à grand pas. Logiquement, si la croissance générale est là, tout devrait bien se passer… Cependant, de nombreux dirigeants de PME et ETI le savent bien, les choses se passent rarement comme prévu. C’est pour cela que le Business coaching reste la meilleure préparation pour ce « match » qui s’annonce pour eux, leurs équipes et leur entreprise.

Par Jean-Pierre Le Borgne – Partner chez Lugh & Co

Comme un sportif de haut niveau qui prépare son retour à la compétition, un sparring partner neutre et bienveillant est probablement le meilleur allié des dirigeants pour capturer les opportunités du rebond qui s’annonce.

Toutes les sociétés sont à la même enseigne face à ce challenge de « retour à la normale »

Après ces 13 derniers mois, beaucoup de sociétés ont souffert. Pour celles qui sont encore debout, la sortie de crise rime avec priorisation des actions pour un maximum d’impact avec quelques (sic !) contraintes financières à la clé (évolution du soutien gouvernemental, attitude des banques comme des actionnaires face aux comptes 2020, financement du BFR, …).

Pour celles qui ont pleinement bénéficié de cette période, l’enjeu est de capitaliser sur cette dynamique pour l’inscrire dans la durée vis-à-vis de leurs (nouveaux) clients comme au sein leur organisation.

De nombreuses inconnues à intégrer

L’inconnue du changement de terrain de jeu pour l’entreprise complexifie la préparation de ce rebond : à quel point les « nouveaux » comportements des clients vont perdurer, quelles orientations vont prendre les concurrents, faut-il adapter (ou pas) la relation avec les différents partenaires (business comme financiers) … ?

Un peu comme ce sportif qui va « découvrir en live », sur le terrain, la manière avec laquelle ses adversaires ont adapté leurs jeux…

Indéniablement, la principale inconnue pour tous les dirigeants, sans exception, concerne leurs managers et leurs collaborateurs avec le retour à cette « normalité » tant attendue. Les méthodes mises en place en « réaction » pendant la crise doivent-elles être maintenues, adaptées et que faut-il faire des anciennes ? Dans quel état d’esprit l’ensemble des équipes va se trouver ?

Des solutions classiques à évaluer dans ce contexte

Avoir les idées claires avec une vision et une stratégie associée lisibles et partagées, sont les challenges clés qui attendent les dirigeants pour ce « retour à la normale ». En effet, il va falloir embarquer les managers et l’ensemble des équipes, rassurer les parties prenantes (clients, financiers, fournisseurs…) et afficher une réelle maitrise de la situation.

Pour cela, le conseil, la veille et littérature, voire la formation sont les solutions « classiques » à disposition des dirigeants. Essentiellement ancrées dans le passé ou le présent, ces méthodes sont certainement utiles comme points de repères pour les équipes. Pour les dirigeants, la « nouvelle normalité » est probablement l’occasion de revisiter leur propre approche pour regarder devant eux afin de prendre (et garder) un temps d’avance.

La solution du management de transition, au-delà de son coût, est peut-être dans une certaine mesure une forme d’aveu de faiblesse indiquant l’absence en interne de ressources et de ressorts à même de piloter la gestion de ce rebond… le Business Coaching peut alors apparaitre comme une solution.

Pour chaque dirigeant, l’opportunité de (pleinement) s’affirmer

Avec la période qui s’annonce pour tous les dirigeants, les enjeux comme les opportunités sont multiples :

  • Dessiner un futur désirable pour lui, l’ensemble des équipes et son entreprise,
  • Prendre la hauteur indispensable pour prioriser les chantiers au plus juste en exécution de la stratégie,
  • Affirmer et/ou faire évoluer son leadership au regard des objectifs de demain,
  • Anticipation et adaptabilité doivent devenir une « seconde nature » quitte à sortir des sentiers battus du conformisme pour explorer de nouvelles approches.

Ce sont les atouts du Business Coaching de dirigeant(e)s pour capturer le potentiel de cette sortie de crise. L’échange neutre et bienveillant entre le Coach Business et le(s) dirigeant(es) favorise la prise de recul, la fin de l’isolement et surtout une nouvelle appréhension, parfois non-conformiste, des situations et des décisions à prendre.

Il s’agit d’être « au meilleur de sa forme » pour travailler toutes les dimensions de l’entreprise que le dirigeant doit piloter (commerce, RH, gouvernance, stratégie, management, finance, R&D, …).

C’est la mission première du sparring partner de dirigeants…

Alors que le ROI du Business Coaching est affirmé par les dirigeants (de plus en plus nombreux à l’avouer…) qui ont y fait appel, personne ne vient s’interroger pourquoi Roger Federer ou Usain Bolt continuent à avoir un coach malgré leur palmarès…

PARTAGER

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
LinkedIn
WhatsApp
PLUS D'ARTICLES
La veille en intelligence économique
La veille, pilier de l’intelligence économique, offre aux décideurs une longueur d’avance en identifiant les signaux faibles. Elle leur permet ainsi d’anticiper leurs défis et leurs opportunités, et ce, quel que soit le secteur d’activité ou la taille de l’entreprise. Par David Malicorne et Alexandre Kahn Diriger une entreprise c’est, à divers degrés, maîtriser son environnement. Le contrôle de l’information, qu’elle soit d’origine interne ou externe est primordial, ce qui fait de l’intelligence économique un guide dans sa capacité à décider. La veille comme outil d’aide à la décision Qu’elle soit économique ou concurrentielle, la veille consiste à surveiller, identifier et collecter des informations utiles pour son activité. Elle implique d’être en éveil sur un ou plusieurs sujets d’intérêt et d’être averti automatiquement lorsqu’une information utile surgit. À l’inverse des études marketing analysant les actions passées, la veille se pose comme un outil offrant une information en continu. Capable de s’intégrer dans une multitude de contextes et d’enjeux, elle est avant tout un support d’aide à la décision pour les dirigeants d’entreprise. Elle s’adresse aux entreprises de toutes les tailles – selon les mots de l’ancien directeur du renseignement au sein de la DGSE Alain Juillet, l’intelligence économique est adaptée à toute structure, « de la grande multinationale à la boulangerie du coin ». La veille est donc un des maillons indispensables aux défis primordiaux des entreprises : innover, gérer le risque et optimiser ses ressources. Innover, d’abord, via l’identification des nouvelles pratiques concurrentielles, des nouveaux modes de consommation ou des évolutions réglementaires. Gérer le risque, ensuite, en demeurant informé de son environnement. Nouvel entrant sur le marché, percée technologique d’un concurrent existant, partenaire commercial accusé de pratiques illégales, changements soudains des besoins clients… La possibilité d’être informé en amont de l’évolution d’un risque, qu’il faudra avoir identifié au préalable, est une première étape pour adopter les changements stratégiques et demeurer compétitif. Enfin, optimiser les ressources. Les PME et ETI en recherche d’économie peuvent identifier des avantages concurrentiels et ainsi conforter leur assise en investissant sur leurs points forts. Elles peuvent aussi orienter leur capital sur les domaines où elles sont en retard afin de rattraper celui-ci et se maintenir dans la course. Si chacun peut être convaincu de l’utilité d’intégrer la veille à ses dispositifs, aujourd’hui retenons que 90 % des actions hostiles d’intelligence économique sont remportées, selon Nicolas Moinet, praticien-chercheur en intelligence économique… Veiller, c’est maîtriser son environnement En effet, prendre rapidement conscience d’une menace peut changer la donne. Ce fut par exemple le cas d’une entreprise canadienne, qui en 2021 a été confrontée à la concurrence déloyale d’un nouvel entrant. Ce fabricant de châssis porte-conteneurs voyait ses parts de marché fondre rapidement. Pour cause : un concurrent chinois pratiquant des prix cassés, à la faveur de subventions (illégales) de son gouvernement. En veillant les actualités de son marché, l’entreprise canadienne aurait pu identifier le développement de ce concurrent, y apporter une vigilance particulière en adaptant son dispositif de surveillance. De plus, une veille sur les tarifs pratiqués lui aurait permis de conclure rapidement à un dumping. Outre la détection des menaces sur son marché intérieur, la connaissance des risques internationaux peut aussi s’avérer capitale. L’instabilité géopolitique a un impact direct sur bon nombre d’entreprises et la guerre en Ukraine en est l’exemple le plus significatif. Du jour au lendemain, l’approvisionnement nécessaire à la production de produits de tout type a été lourdement ralenti voire interrompu. Selon une étude du Conseil national des achats, 26% des entreprises françaises ont élaboré un plan d’achats spécifique en cas d’invasion de Taïwan par la Chine. Face à ces aléas pouvant paraître lointains, l’usage de la veille permet aux entreprises d’être informées des actualités géopolitiques sur des zones distinctes. Ainsi elles peuvent identifier et se prévaloir des risques liés à leurs fournisseurs. La veille naît de la stratégie Avant d’évoquer les outils de veille, il est important de définir sa stratégie. Que l’on soit une PME, une ETI ou un grand groupe, la mise en place d’une veille nécessite en amont de se poser trois questions. Tout d’abord, quels types d’informations je recherche ? Pour me développer, ai-je besoin d’informations spécifiques sur un sujet distinct ou ai-je principalement besoin de me tenir informé des actualités d’un domaine, d’un secteur ? Ensuite, quelle est la temporalité de ma veille ? Ai-je besoin de veiller mon environnement sur un temps long, ou faut-il que je me focalise sur un sujet à forts enjeux pendant une période donnée ? Enfin, quelles ressources humaines et financières puis-je y allouer ? En tant que chef d’entreprise, ai-je les moyens de mobiliser des forces vives à temps plein ou est-ce que ma veille doit être simple et capable d’alimenter mes équipes en informations ? Une fois le cadre de la veille défini, vient la question des outils. Qu’elles soient payantes, partiellement ou entièrement gratuites, les solutions ne manquent pas. Du côté des leaders du marché, on trouve des outils de veille automatisée capables de suivre une multitude de sources et de générer des newsletters concises et sur mesure. Ces solutions sont, néanmoins complexes à mettre en place et coûteuses. Mais il existe aujourd’hui un large éventail d’outils peu onéreux, facile à programmer et à utiliser, soi-même. À condition d’être un minimum initié aux méthodes et fonctionnalités de la veille. S’entourer d’experts en veille est-il obligatoire ? La veille, ce sont des méthodes, des pratiques, des outils. C’est aussi un état d’esprit : être curieux, rester attentif à ce qui se passe dans son environnement. L’exercice de la veille peut être directement pratiquée par le chef d’entreprise, qui dispose de ses propres sources d’informations, notamment par le réseau ou son expertise sectorielle. Toutefois, les acteurs spécialisés offrent des modèles de veille qui s’adaptent à chaque secteur, modèle et budget. Ils possèdent des méthodologies et des savoir-faire permettant de concevoir des veilles exhaustives, à même d’identifier des signaux faibles dans des environnements complexes. Recourir à des experts en veille offre ainsi la garantie de capter toute information clé. Dans la grande famille de l’intelligence économique, la veille constitue la première brique. Elle permet de mettre en exergue les zones de risque et d’opportunité devant être identifiées en amont de toute action plus spécifique. Elle s’articule par exemple avec les exercices d’influence, de lobbying ou de due diligence qui s’en nourrissent

Les voyageurs d’affaires se déplacent généralement avec des données sensibles concernant leur entreprise et ils représentent souvent, à ce titre, une cible de choix pour la cybercriminalité, notamment lors de situation de concurrence ou de guerre économique. Voyons quels sont les principaux dangers existant et les précautions à prendre.

Par Franck Boccara

Même si les PME et ETI intègrent de plus en plus la protection contre la cybercriminalité à leur politique de voyage, seulement le tiers de ces entreprises déclarent avoir adopté de réelles mesures de sécurité dans ce domaine. Ces chiffres demeurent assez inquiétants lorsqu’on sait que la cybercriminalité augmente en volume et en sophistication dans un contexte ou la concurrence se transforme facilement en guerre économique.

Le voyageur d’affaire, et à travers lui son entreprise, se trouve donc souvent en état de vulnérabilité face à une cybercriminalité qui visent principalement deux objectifs : la perturbation du système informatique et communicationnel de l’entreprise et le vol de données. Pour arriver à leurs fins, les cybercriminels disposent aujourd’hui d’opportunités grâce à des développement technologiques tels que le cloud, l’Internet des Objets, l’intelligence artificielle ou le développement de la 5G qui impliquent une explosion du nombre de données et du nombre d’appareils et de capteurs connectés.

En dehors de cas particuliers ou les attaques peuvent émaner d’institutions ou d’états disposant de moyens particulièrement sophistiqués, la cybercriminalité est généralement rendue possible par la négligence des voyageurs d’affaires et par un manque d’information. Elle peut donc être évitée par la mise en place de bonnes pratiques et d’habitudes comportementales simples comme par exemple :

  • Ne pas laisser un ordinateur allumé lors de votre absence (dans un train, dans une chambre d’hôtel…)
  • Connaître les endroits de connexion à risques (les aéroports, notamment) et se comporter en conséquence.
  • Eviter de se servir de clés USB qu’on se serait fait remettre (lors d’un salon professionnel ou d’une rencontre par exemple).
  • Utiliser des accessoires de protection simples tels que la webcam cover ou le filtre de confidentialité pour écran d’ordinateur
  • Mettre en place et se servir de systèmes de sécurité d’entreprise, tels que les corridors de communication VPN

Evidemment, l’idéal est de voyager uniquement avec les informations nécessaires afin de limiter les risques. Pour cela, certaines entreprises ont déjà adopté cette règle catégorique et réservent pour leurs voyageurs d’affaires des ordinateurs et des smartphones quasiment vierges car elles ont bien compris qu’au delà de la nuisance directe de la cyberattaque, celle-ci entraine des conséquences graves pour la réputation de l’entreprise dont la crédibilité et la fiabilité seront sérieusement mises à mal, ce qui aura inévitablement un impact négatif sur les clients et partenaires et donc sur le chiffre d’affaire.

 

GIREVE - La marketplace qui connecte l'écosystème des nouvelles mobilités
GIREVE est le leader européen de l’intermédiation sur le secteur des nouvelles mobilités. Cette marketplace, qui compte à son actif plusieurs millions de transactions, permet de connecter et de faciliter les échanges entre tous les acteurs de l’éléctromobilité (pouvoir publics, gouvernement et entreprises). Les entreprises de cet écosystème font appel à GIREVE afin d’obtenir un état des lieux de la recharge sur un territoire, définir une stratégie de développement sur un nouveau marché, mettre en œuvre la transition énergétique de leur entreprise, étendre leurs activités ou encore anticiper les problématiques à venir. Eric Plaquet, Président de GIREVE et Amandine De Oliveira, Directrice Conseil, nous parlent du rôle de cette plateforme de marché qui a su devenir un pivot central de ce marché à la croissance spectaculaire.
INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.