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SME-ETI

Tout conjoint collaborateur (ou partenaire de Pacs) d’un dirigeant d’entreprise est tenu de choisir le statut juridique qui correspond à sa situation à partir du moment où il exerce une activité régulière dans l’entreprise en question. Ce statut a cependant évolué et s’est adapté, de même que le calcul de certaines cotisations, depuis le 1er janvier 2022 …

Par Eric Orsini

Tout d’abord, il est nécessaire de rappeler que le conjoint collaborateur d’un dirigeant d’entreprise artisanale, commerciale ou libérale qui travaille de manière régulière dans cette entreprise a le choix, afin de bénéficier d’un régime social, entre les 3 statuts ci-dessous :

Le gouvernement a décidé de rendre ce statut plus attractif et plus cohérent avec la réalité. Pour cela, Il a réalisé une adaptation de celui-ci et a par ailleurs aménager les règles de calcul des cotisations pour certains conjoints collaborateurs.

  • L’évolution du statut

La première évolution veut que les dispositions qui s’appliquent aux conjoints et partenaires pacsés avec les chefs d’entreprise exercant dans la société familiale s’appliquent désormais également aux concubins.

De plus, depuis ce début d’année, le statut de conjoint collaborateur a une validité maximale de 5 ans. Cette durée de 5 ans prend en compte l’ensemble des périodes ultérieures au 1er janvier 2022 ainsi que l’ensemble des entreprises au titre desquelles la personne en question a choisi ce statut.

Au delà de cette limite, la personne devra s’orienter vers un autre statut : celui de conjoint salarié ou celui de conjoint associé. Au cas où la personne n’émettrais pas d’option, elle sera placée sous le statut de conjoint salarié de manière automatique.

Enfin, les personnes qui atteindront l’âge de 67 ans au plus tard le 31 décembre 2031 (c’est à dire celles nées avant 1965) auront le droit de garder le statut de conjoint collaborateur jusqu’à la liquidation de leurs droits à pension.

  • Le calcul des cotisations

A compter du 1er janvier 2022, le conjoint collaborateur d’un micro-entrepreneur a la possibililté, s’il en fait la demande, de décider que le calcul de ses cotisations se fasse sur la base :

  • d’un montant forfaitaire ;
  • du chiffre d’affaires ou des recettes du chef d’entreprise.

Il est important de préciser que le taux global de cotisation sera fixé à raison des seuls risques cotisés par le conjoint (retraite de base, retraite complémentaire, indemnités journalières, etc.).

La CPME, partenaire des Trophées Femmes, accueillera le 8 mars 2022 la 8éme édition de l’évènement dédié aux femmes en Entreprise Adaptée (EA) et Etablissement ou Service d’Aide par le Travail (ESAT). Dirigeants de PME, soyez présents à cette remise des prix et mettez en lumière vos actions pour l’inclusion dans votre entreprise !

L’égalité professionnelle femme/homme fait partie des trois piliers fondamentaux de l’engagement d’une entreprise, au même titre que les achats responsables et la professionnalisation. L’intégration de toutes les différences est un élément moteur au cœur de la croissance d’une entreprise.

Les Trophées Femmes en EA & en ESAT, c’est quoi ?

Tout a commencé par une rencontre avec une femme inspirante qui a donné à Dominique du Paty, vice-présidente de la CPME chargée de l’inclusion, l’envie de relever ce défi et de lancer les Trophées Femmes en EA afin de mettre en lumière les parcours exceptionnels de ces professionnelles aux compétences discrètes qui travaillent en EA sur tout le territoire national. En 2020, les Trophées femmes se sont élargis aux ESAT afin de réunir toutes les compétences plurielles de ces professionnelles.

Le thème de cette 8ème édition est : « En 2022, les territoires réinventent fièrement Emplois, Equités et Insertions ».

Pour la deuxième année consécutive, ONU Femmes France remettra le Prix #HeForShe à un homme pour le remercier de son action et de son engagement en faveur de l’égalité professionnelle femme/homme dans son entreprise. 

#FEEA2022 c’est l’occasion pour les dirigeants de : 

  • s’engager pour l’égalité professionnelle femmes-hommes
  • mettre en lumière les compétences professionnelles des femmes en EA et en ESAT
  • soutenir la professionnalisation et le maintien dans l’emploi des femmes du secteur du travail protégé et adapté
  • promouvoir les achats responsables et solidaires
  • ouvrir les portes de votre entreprise à des compétences singulières
  • associer les collaborateurs de vos territoires à votre démarche d’inclusion
  • valoriser vos innovations managériales

INFORMATIONS & INSCRIPTIONS

Liz & Sovan Associates est cabinet de conseil en stratégie et organisation qui accompagne les PME et ETI sur le chemin de la performance opérationnelle, financière et humaine grâce à un modèle opérationnel unique reconnu par les plus grandes entreprises françaises.
Lise Thong, la fondatrice du cabinet, nous présente avec beaucoup de simplicité la vision, l’approche et la méthode qui ont fait de Liz & Sovan Associates une success story.

Bonne nouvelle ! La crise sanitaire et l’incertitude sur l’avenir du tourisme n’inquiète pas la chaine hôtelière lifestyle Mama Shelter qui prévoit d’ouvrir trois établissement en 2022 (Lisbonne, La défense et Dubaï) et quatre autres hôtels l’année prochaine (Bucarest, Rennes, Dijon et Sao Paulo).

Par Serge de Cluny

Intégrée dans le pôle d’hôtels « lifestyle » Ennismore (dont le groupe Accor est actionnaire majoritaire depuis deux ans), Mama Shelter ne compte pas freiner son rythme de développement. Cette marque très en vogue, fondée par Serge Trigano en 2008, prévoit d’inaugurer une vingtaine de nouveaux hôtels à travers le monde d’ici 2025.

Pour cette année, Les projets commencent en trombe et la première ouverture aura lieu dans la péninsule ibérique ce mercredi 12 janvier avec le Mama Lisboa (130 chambres) situé en plein centre de Lisbonne, la capitale portugaise.

Ensuite, c’est le mardi 1er mars que sera inauguré le Mama Paris La Défense, la troisième adresse parisienne de la marque (après ceux de la rue de Bagnolet et de la Porte de Versailles). L’hôtelier a choisi un immeuble de bureaux Litwin réaménagé du quartier Bellini pour y ouvrir un établissement de 211 chambres doté d’un rooftop offrant une vue magnifique sur la ville lumière ainsi que de plusieurs salles de réunions et de deux restaurants. L’esprit de cet hôtel conviendra aussi bien à une clientèle d’affaires que de loisir.

La troisième ouverture de 2022 aura lieu à la fin de l’année à Dubaï, avec un Mama comprenant 197 chambres et 192 appartements ainsi que plusieurs points de restauration, un cinéMama en plein air et une superbe terrasse équipée de quatre piscines. Un autre hôtel devrait également ouvrir dans la région, à Bahreïn, à une date encore inconnue.

L’année 2023 ne sera pas moins riche en projets puisque dès le mois de janvier est prévue l’ouverture du Mama Bucharest (123 chambres) dans le quartier français de la capitale roumaine. Ensuite on reviendra dans l’héxagone avec l’inauguration en début d’année du Mama Rennes, en plein centre-ville à la Place des Lices, d’un établissement de 119 chambres doté d’un restaurant, un rooftop et un spa avec piscine. Au printemps, c’est à Dijon qu’un Mama 124 chambres réparties sur 5 étages va ouvrir, il sera équipé d’un restaurant et d’un CinéMama. Enfin, l’année 2023 se terminera avec l’inauguration du Mama Sao Paulo (123 chambres) qui sera le deuxième hôtel de la marque au Brésil après celui de Rio de Janeiro.

Pour mémoire, le Mama Shelter a commencé son histoire avec le Paris East, son premier établissement en 2008 puis a rapidement poursuivi son développement à Marseille, Lyon, Bordeaux, Los Angeles, Rio, Prague, Belgrade, Toulouse, Lille, Londres, Paris West, et enfin Luxembourg (en 2020) et Rome (mai 2021). Une belle expansion et un belle preuve de courage et d’optimisme en pleine période de crise sanitaire !

Le logiciel ERP est devenu un outil incontournable pour gérer de manière efficace l’ensemble des activités et les différentes tâches que les PME et ETI rencontrent dans leur fonctionnement quotidien. Ses avantages sont multiples et très utiles mais pour bénéficier des fonctions de l’ERP de façon optimale, il est important de bien choisir celui qui correspond à votre entreprise. Voyons ensemble les principaux critères à prendre en compte.

Par Franck Boccara

Un ERP qui correspond à votre métier

Votre première priorité sera d’opter pour un logiciel ERP adapté à votre type d’activité et pour cela deux possibilités s’offrent à vous :

La première serait de choisir un logiciel ERP générique (adapté aux entreprises et aux industries) proposé par des éditeurs généralistes et reconnus sur le marché. La deuxième option consisterait à opter pour un logiciel ERP orienté sur un métier spécifique.

Si vous choisissez la première option, il faudra intégrer au logiciel plusieurs fonctionnalités qui vous permettront de l’adapter aux besoins de votre entreprise. Cette adaptation peut augmenter le coût et le délai de mise en place du logiciel et peut aussi créer des dysfonctionnement du logiciel au moment des futures mises à jour. Si vous optez pour un logiciel dédié à votre métier, il sera plus simple de l’intégrer à votre organisation sans avoir forcément besoin d’effectuer de grands travaux de développements.

Un ERP personnalisable

Avant de porter votre choix, il est important de vous assurer qu’il sera possible à l’avenir de le personnaliser pour l’adapter aux évolutions du marché ainsi aux particularités de votre entreprise. Cette reflexion avant achat vous permettra d’éviter de réinvestir de sitôt dans un nouvel ERP pour vous adapter aux futures exigences du marché. Un bon logiciel ERP doit être à la fois souple et obéir au respect des normes en vigueur dans votre entreprise.

Un logiciel sécurisé

Il faut veiller à sécuriser les données de votre entreprise et éviter toute possibilité de fuite ou toutes sortes d’attaques malveillantes. Le logiciel ERP doit pour cela impérativement vous garantir la sécurité des données qui y sont intégrées grâce à une fonctionnalité qui refuse aux utilisateurs non autorisés l’accès aux informations qu’il contient et vous assure une meilleure traçabilité des flux d’informations.

Le prix et la réputation

On pourrait croire qu’il n’est pas nécessaire de préciser cela mais certaines entreprises font l’erreur de choisir des logiciels qui proposent des formules trop coûteuses et pas forcément nécessaires. Il faut tout simplement analyser le rapport qualité-prix et à contrario éviter les logiciels ERP accessibles à trop bas prix.

N’hésitez pas, avant de prendre votre décision, à consulter les avis clients facilement trouvables par une simple recherche sur le net. Ces appréciations positives et négatives des clients vous aideront à évaluer si le logiciel est vraiment celui qui correspond à vos enjeux.


La Commission européenne vient d’émettre une proposition de lutte contre l’utilisation abusive d’entités écrans à des fins fiscales inappropriées au sein de l’UE. Celle-ci vient s’ajouter à la proposition de transposition rapide de l’accord international sur la taxation à 15% des multinationales. Ces mesures reflètent une volonté de lutter plus sérieusement contre l’évasion fiscale.

Par Franck Boccara

Cette proposition a pour but de s’assurer que les entités de l’Union européenne n’exerçant aucune activité économique ou ayant juste une activité économique minimale ne puissent plus jouir d’avantages fiscaux et ne puissent donc plus représenter une charge financière sur les contribuables.

La proposition se place également en garante du droit de la concurrence puisqu’elle veille à des conditions de concurrence équitables pour la grande majorité des entreprises européennes. En effet, la période est à la relance et les entreprises y jouent ont un rôle essentiel. Les états souhaitent également s’assurer que les contribuables ordinaires n’aient pas à supporter le coût fiscal causé par ceux qui tentent d’éviter de payer leur juste part d’impôt.

Les nouvelles mesures de cette proposition contiennent des normes de transparence sur l’utilisation d’entités écrans fictives afin que leur pratiques soient être plus facilement repérable par les autorités fiscales des pays. Pour cela, le recours à certain nombre d’indicateurs objectifs tels que les revenus, le personnel ou encore les locaux sera utilisé afin de permettre aux autorités fiscales de détecter les entités écrans qui n’existent que sur papier. Ce système de filtrage va donc établir des niveaux d’indicateurs qui représenteront une sorte de « passerelle » à ne pas franchir.

Les trois passerelles de la proposition

Une entreprise qui franchirait ces trois passerelles devra déclarer chaque année plus d’informations aux autorités fiscales à travers sa déclaration de revenus.

  • La première passerelle d’indicateurs s’attache aux activités des entités en fonction des revenus qu’elles perçoivent. La passerelle est franchie dans le cas ou plus de 75 % des revenus globaux d’une entité au cours des deux derniers exercices fiscaux ne proviennent pas de son activité commerciale ou si plus de 75 % des actifs qu’elle possède sont des biens immobiliers ou d’autres biens privés d’une valeur particulièrement élevée.
  • La deuxième passerelle intègre l’élément transfrontalier. Si la société perçoit l’essentiel de ses revenus pertinents via des transactions liées à une autre juridiction ou transfère ces revenus pertinents à d’autres sociétés situées à l’étranger, la société passe à la passerelle suivante.
  • La troisième passerelle va analyser les services de gestion et d’administration de l’entreprise et voir s’ils sont assurés en interne ou sous-traités.

Une entreprise franchissant les trois passerelles devra apporter dans sa déclaration fiscale des informations spécifiques concernant les locaux de l’entreprise, ses comptes en banque, la résidence fiscale de ses administrateurs ainsi que celle de ses salariés.

Ces informations sont qualifiées d’« indicateurs de substance » et chaque déclaration devra être accompagnée de preuves à l’appui. Une entreprise qui ne peut garantir la validité de ces indicateurs de substance sera considérée comme une « coquille » et donc une entité écran.

Si une entreprise est considérée de la sorte, elle n’aura donc plus droit aux allègements fiscaux et aux avantages du réseau de conventions fiscales de son État membre et ne pourra plus bénéficier du traitement prévu par les directives mère-filiale et intérêts et redevances.

Après son adoption par les États membres, la directive devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2024.


A l’heure actuelle, le protocole sanitaire en entreprise précise que « les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours au télétravail ». Cependant tout le monde a compris que le télétravail devrait rythmer notre vie professionnelle future, notamment après l’annonce de Jean Castex sur l’obligation du recours au télétravail 3 jours par semaine dans certaines entreprises. Cette mesure exceptionnelle est cependant encadrée juridiquement dans le but de respecter les droits des salariés.

Par Serge de Cluny

Le recours au télétravail devient donc obligatoire à partir de janvier « trois jours minimum par semaine et quatre jours quand cela est possible ». Voici en substance l’annonce du Premier ministre qui change la donne puisque jusqu’à présent le télétravail était simplement préconisé et non pas imposé ,algré que cette mesure soit déjà, de fait, largement adoptée par les entreprises.

Dès le mardi 4 janvier, Élisabeth Borne la ministre du Travail va mener une concertation avec les partenaires sociaux à ce sujet. Selon Jean Castex, la mesure doit prendre effet jusqu’à la fin du mois de janvier 2022 mais l’expérience vécue dans cette crise sanitaire laisse à penser que ces mesures risquent de se prolonger, voir de s’installer définitivement. C’est donc l’occasion de revenir sur les règles légales du télétravail.

1. Interdiction de supprimer les titres-restaurant

« Certaines entreprises, une minorité heureusement, font actuellement des économies en supprimant les chèques-déjeuner de leurs salariés en télétravail. C’est scandaleux et totalement injustifié », expliquait
François Hommeril, président de la CFE-CGC, au mois de février. .

La loi stipule que, même en période de confinement, un salarié en télétravail doit garder les mêmes droits que s’il exerçait au sein de son entreprise. Certaines entreprises, à l’image de SFR, se sont vu assigner en justice par des syndicats (la CFDT dans ce cas) pour avoir supprimer les titres-restaurants aux salariés de la marque de télécommunication depuis mars 2020.

2. Fournir un matériel adapté

Depuis la réforme du Code du travail du 22 septembre 2017, l’employeur n’a plus à prendre en charge les frais engendrés par l’exercice du télétravail de ses équipes. Par contre, si le télétravail est imposé à 100 %, l’entreprise ne pourra pas demander à son salarié de supporter l’investissement nécessaire à l’achat d’équipement informatique.

Le guide du ministère du Travail précise que « l’employeur n’est pas tenu de verser à son salarié une indemnité de télétravail destinée à lui rembourser les frais découlant du télétravail, sauf si l’entreprise est dotée d’un accord ou d’une charte qui le prévoit ».

3. Garantir le droit à la déconnexion

L’esprit de la loi veut qu’un collaborateur en télétravail ait les mêmes droits que lorsqu’il travaille en présentiel dans l’entreprise. « L’employeur fixe vos horaires de travail et vous devez être opérationnel et disponible pendant les horaires fixés. Les droits au temps de pause et de déjeuner restent inchangés », toujours selon le guide du ministère du Travail.

Le télétravail doit absolument conserver à l’employé ses avantages habituels, comme les primes par exemple. De plus, les horaires de télétravail doivent être clairement fixés pour que le salarié garde son droit à la déconnexion

Nous le savons tous, les conséquences de la crise sanitaire sont irréversibles : augmentation du télétravail, travail hybride, digitalisation des processus opérationnels, mais aussi besoin de maintenir les liens et le cap à distance, envie d’une meilleure qualité de vie au travail, d’un emploi qui a du sens etc… Dans ce nouvel environnement plus complexe, les PME et ETI doivent gérer le retour à une forte croissance pour 2022 en s’assurant que leurs employés restent motivés et engagés, tout en veillant à leur santé mentale.

Les PME et ETI devront aussi être capables d’attirer de nouveaux talents et la course aux meilleurs s’annonce rude puisque 39 % des cadres et 35 % des salariés déclarent vouloir changer d’emploi dans les 12 prochains mois !

Quelles stratégies mettre en œuvre pour réussir 2022 (et au-delà) ?

1. Créer un climat de sécurité psychologique pour les équipes

Selon The Aristote Project lancé par Google en 2012, la « sécurité psychologique » correspond à un environnement professionnel dans lequel chaque employé se sent libre d’exprimer ses idées et opinions, sans crainte d’être jugé ou de subir des conséquences négatives.

Avec 2 millions de salariés qui souffrent de burnout cette année, soit deux fois plus que l’année précédente, il est urgent pour les PME et ETI de :

✅ Donner la parole à leurs employés et leur permettre d’exprimer leurs idées, opinions et ressentis

✅ Mesurer régulièrement le niveau de satisfaction et d’engagement de leurs employés pour détecter rapidement les signaux faibles et les situations à risques

✅ Instaurer une culture de feedback continu pour fluidifier les échanges entre managers et équipes

« Nos collaborateurs demandaient régulièrement à être plus impliqués, mieux informés sur les stratégies, les projets à venir, les chantiers en cours ou terminés. Ils souhaitaient aussi pouvoir partager leurs idées ou réalisations avec leurs collègues. Notre outil en ligne ludique et intuitif permet désormais à chacun de s’exprimer, il favorise les échanges et valorise le travail de chacun au sein de l’entreprise. »

Gaëlle Gavalda – Chargée Ressources Humaines & Recrutement, Socotrap

2. Adapter le management en le rendant agile

Dans un monde changeant et imprévisible, les managers doivent être au plus près de leurs équipes pour pouvoir ajuster rapidement les stratégies si nécessaire. Ils doivent prendre en compte la dimension humaine des performances pour que chacun atteigne les objectifs fixés.

Quelle que soit leur taille, les entreprises ne peuvent plus se contenter d’un entretien d’évaluation ni d’une enquête RH une fois par an pour comprendre les attentes de leurs collaborateurs et bien les accompagner. Il est donc impératif pour le management de :

✅ Définir, avec les équipes, des objectifs clairs et mesurables (méthode OKR)

✅ Faire des points réguliers pour coacher les collaborateurs tout au long de l’année (et nourrir les entretiens annuels d’évaluation)

✅ Suivre les performances de chaque employé en temps réel pour lever rapidement les points bloquants

« Le rôle du manager est de faire grandir ses équipes, de les responsabiliser et de donner du sens. Mais il est tout aussi important que l’employé soit exigeant envers son manager en termes de suivi et de feedback. La suite digitale Zest nous est apparue comme un facilitateur de l’échange et du partage pour réaliser notre projet de transformation managériale. »

Thomas Lamorte – Directeur de magasin, Decathlon la Réunion

3. Accélérer la transformation digitale pour tous les collaborateurs

La pandémie a obligé les entreprises à offrir des expériences en ligne toujours plus riches à leurs clients. Mais pour réussir leur transformation digitale, les PME et ETI doivent aussi offrir une expérience en ligne riche à tous leurs collaborateurs, en particulier ceux sur le terrain (magasins, entrepôts, etc.). Traditionnellement moins bien équipées et accompagnées, ces populations sont pourtant en première ligne, en contact direct avec les clients.

Les solutions digitales de nouvelle génération sont multilingues et accessibles depuis n’importe quel appareil mobile, y compris par les personnes malvoyantes, et permettent de réduire la fracture digitale. Ces outils sont des alliés indispensables pour une transformation digitale inclusive qui crée une réelle symétrie des attentionsemployé heureux, client heureux ») et un véritable avantage concurrentiel. Grâce à eux, les PME et ETI peuvent :

✅ Offrir une expérience digitale à l’ensemble des collaborateurs

✅ Renforcer le lien d’appartenance en valorisant le rôle de chacun

✅ Créer une culture d’entreprise collaborative et stimulante

« Le côté mobilité de l’application était incontournable pour nous puisque nos équipes sont principalement sur le terrain et très peu d’entreprises sont équipées de ce type d’outil dans le monde de la restauration. Nos collaborateurs l’ont très bien accueilli car ils ont compris que cet outil de communication interne était destiné à améliorer leur qualité de vie au travail. »

Maud LE GUENNEC Responsable de l’Expérience Client et Collaborateur, Groupe Kolibri
Samuel GUERANGER
Directeur des opérations de restauration, Groupe Kolibri

Pour conclure et se préparer pour 2022

C’est grâce à la mise en œuvre de ces 3 stratégies que les entreprises auront un impact réel sur la satisfaction, l’engagement et la résilience de leurs employés, en particulier de celles et ceux qui sont « sur le terrain », généralement exclus des logiciels RH et managériaux traditionnels. La mise en place de rituels de management agiles et modernes permet une transformation RH en totale adéquation avec les attentes des employés et les objectifs de l’entreprise. Et elle renforce la proximité et la réciprocité entre RH, managers et équipes, mais aussi avec les clients. Alors, prêt pour 2022 ?

N’hésitez pas à visiter notre site web pour voir comment l’application digitale Zest et une équipe d’experts dédiée aident de nombreuses PME et ETI à se préparer pour 2022 !

Avec 145 millions d’habitants et un sous-sol extrêmement riche, la Russie est la onzième économie mondiale avec une croissance de 4% en 2021 malgré la crise du Covid. Elle représente un marché trés attractif pour les PME et ETI exportatrices françaises et les frontières du pays sont réouvertes aux ressortissants français depuis août 2021, permettant ainsi les missions d’affaires. Les rencontres Russie 2022 vous aideront à mieux comprendre les enjeux de ce marché.

Le marché russe est immense et plein d’opportunités dans presque tous les secteurs. Cependant, ce n’est pas une cible que l’on aborde sans informations et accompagnement préalable. C’est pourquoi Business France et la Team France export vous proposent ces rencontre Russie afin de mettre à jour vos connaissances sur le marché russe : logistique, douanes, certifications, outils financiers mais aussi focus sectoriels avec la participation de grands comptes russes intéressés par des produits et solutions françaises. Les partenaires de la Team France export Russie seront également là pendant ces rencontres Russie 2022 pour vous conseiller et vous accompagner dans votre approche de ce marché incontournable.

Evènement gratuit réservé aux entreprises

Adresse des rencontres Russie 2022 :

Business France Paris
77 boulevard Saint-Jacques 75014 Paris

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AU PROGRAMME

Le Programme est provisoire et susceptible de subir des modifications 

Evénement en Présentiel avec rediffusion

Vendredi 04 février 2022
09h00 –  Allocutions d’ouverture
  • Christophe LECOURTIER, Directeur Général de BUSINESS FRANCE
  • S.E.M. Pierre LEVY, Ambassadeur de France en Russie
9h30 Dynamique économique et climat des affaires en Russie
  • Laurent CHARPIN, Chef du Service Economique Régional de Moscou, Ambassade de France en Russie
  • David LASFARGUE, Président du comité Russie des Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCEF), JEANTET Moscou
  • Hugues LAURENT, Directeur d’A. Raymond Russie
10h05 Perspectives et opportunités dans le commerce courant avec la Russie
  • Edwige PRESLE-WEISS, Attachée douanière régionale, Ambassade de France en Russie
  • Dimitri BOCANCEA, Directeur de SERCONS France
  • Cyril PACARY, Directeur de CEVA Logistics Russie
10h40 L’agriculture et l’agroalimentaire en Russie: deux secteurs en profonde mutation
  • Jean-Baptiste DEMONT, Directeur Appui aux Entreprises, Chambre de Commerce Franco-russe, partenaire TFE AGROTECH
11h15 Optimisation des process et digitalisation de l’industrie russe 
  • Remy BERTHONNEAU, Directeur de Centre France Export ( groupe CIFAL)
  • Eric AUBSPIN, Président PHOSPHORIS
11h50 Les nouveaux modes de consommation en Russie
  • Katia GERDT,  décoratrice d’intérieur et Directrice du bureau de design Katia Gerdt ( Russie)
  • Guillaume DUBUIS,  Directeur de Dualest
12h25 La Russie : terre d’opportunités pour les startups et licornes françaises
  • Euryale CHATELARD, Présidente de la French tech Moscou
  • Sviatoslav BEYSENS, Directeur des Relations Institutionnelles BLABLACAR
14h30 – 18h00 – B2B –  Rendez-vous d’affaires individuels

INTERVENANTS

Christophe LECOURTIER : Directeur Général, Business France

Pierre LÉVY :Ambassadeur de France en Russie

David LASFARGUE : Président du comité Russie des Conseillers du Commerce Extérieur de la France (CCEF), 
Associé du cabinet et responsable du bureau de Moscou, JEANTET

Dimitri BOCANCEA : Directeur succursale France, SERCONS

Cyril PACARY :Directeur de CEVA Logistics Russie

Eric AUBSPIN : Président de PHOSPHORIS

Jean-Baptiste DEMONT : Directeur Appui aux Entreprises, Chambre de Commerce Franco-russe, partenaire TFE AGROTECH

Remy BERTHONNEAU : Directeur de Centre France Export, Groupe CIFAL

Sviatoslav BEYSENS : Directeur des Relations Institutionnelles

Olivier Véran, le ministre de la Santé, estime que la question du pass sanitaire en entreprise est légitime et demande aux parlementaires de s’en saisir lors du débat qui aura lieu en janvier prochain sur la mise en place de ce pass vaccinal. D’une même voix, il reconnait que c’est une forme déguisée d’obligation vaccinale.

Par Eric Orsini

Le gouvernement entend ralentir par tous les moyens la 5e vague et du variant Omicron. Pour cela, son objectif est de mettre en place dès janvier le pass vaccinal qui ne pourra plus être activé avec un simple test négatif mais uniquement avec un schéma vaccinal complet. Le ministre de la Santé appelle également les députés et sénateurs « à réfléchir à d’éventuels renforcements ».

Cependant, Olivier Véran crée la surprise en déclarant au média en ligne Brut qui l’interrogeait sur la différence entre passe vaccinal et obligation vaccinale que : « Le passe vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale, mais c’est plus efficace qu’une obligation vaccinale. ». C’est une première pour un membre du gouvernement au lendemain de l’annonce du premier ministre, Jean Castex, sur la mise en place d’un passe vaccinal

Le ministre de la santé est revenu sur la question de la mise en place du pass sanitaire en entreprise et/ou pour avoir accès au lieu de travail (quel qu’il soit) en affirmant qu’elle était à l’étude. « C’est aux députés et aux sénateurs de se prononcer sur la question. Dans ce cas-là, évidemment, on n’a pas envie d’empêcher les gens d’aller travailler. S’ils réalisent un test quotidien, ils pourraient continuer d’aller travailler. C’est une contrainte de plus que nous assumons, notre objectif est que les gens se protègent ».

« C’est une question légitime qui est d’ailleurs appliquée chez certains de nos voisins, les Allemands ont le fameux pass 2G et le pass 3G. On ne peut pas empêcher les gens d’aller travailler s’ils ne sont pas vaccinés mais on peut exiger d’eux qui passent un test s’ils ne sont pas vaccinés. Cela fait partie des questions qui doivent être posées« , rajoute Olivier Véran.

Précisons que depuis la fin août, les salariés, bénévoles et sous-traitants qui travaillent dans les établissements où le pass est demandé aux clients doivent sont aussi tenu d’en posséder un. Cela s’applique essentiellement aux bars et restaurants, cinémas, musées ou encore parcs d’attraction.

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