...

SME-ETI

La rentrée est forte en intensité chez CARMIGNAC, partenaire de référence de PME-ETI.fr et acteur incontournable de la gestion d’actifs en France. Plus qu’un simple gestionnaire de portefeuille, CARMIGNAC représente avant tout un esprit et un savoir-faire à la française. Ce replay de la conférence « La Rentrée Carmignac 2022 » vous permettra d’avoir accès aux analyses de CARMIGNAC GESTION sur les marchés à travers leur scénario macroéconomique, leur stratégie d’investissement, une table ronde avec des experts et des échanges avec Edouard & Maxime Carmignac… et le tout en format vidéo ! Bon visionnage !

ACCÉDER AU REPLAY DE LA CONFÉRENCE « LA RENTRÉE CARMIGNAC 2022 »

(se définir comme investisseur professionnel pour accéder au contenus)

La garantie légale de conformité est une garantie que tout vendeur professionnel doit offrir lors de la vente d’un biens neuf ou d’occasion au consommateur. A partir de septembre 2021, cette obligation a été adaptée pour mieux répondre aux enjeux des contenus et services numériques et depuis le 1er octobre 2022, certaines nouveautés y ont été ajoutée… voyons celles qui nous intéressent.

Par Lætitia Conti

Une information précontractuelle plus précise

Le législateur impose désormais au vendeur professionnel de fournir à son client consommateur plus d’informations essentielles au moment de la conclusion d’un contrat. Celles-ci incluent les modalités de paiement ou de livraison, la garantie légale de conformité, la garantie légale des vices cachés et, dorénavant, la garantie commerciale. Cette dernière était jusqu’alors facultative.

Depuis le 1er octobre, il est désormais prévu que le vendeur professionnel emploie les termes de « garantie légale » et « garantie commerciale » lorsque cette dernière est utilisée afin de permettre au consommateur de différencier et donc de mieux comprendre ces garanties qui peuvent paraitre floues au premier abord.

La loi oblige donc à présent le vendeur professionnel à insérer, dans les conditions générales, des encadrés types afin d’informer précisément le consommateur sur les modalités d’exercice des garanties.

Plus de transparence pour les produits digitaux

Concernant les transactions de produits et services digitaux, le producteur de biens comportant des éléments numériques est tenu d’informer le vendeur professionnel de la durée de compatibilité entre les mises à jour logicielles et les fonctionnalités de l’appareil.

Par la suite, le vendeur de ce produit digital devra transmettre au consommateur final les informations que le producteur du bien en question lui a donné et qui portent sur :

  • les logiciels faisant l’objet de mises à jour (y compris les mises à jour de sécurité)
  • la durée de fourniture de ces mises à jour ou la date à laquelle cette fourniture expire.

De plus, le producteur garde certaines obligations d’information vis-à-vis du consommateur puisqu’il est tenu de l’informer directement des caractéristiques capitales de chaque mise à jour des éléments numériques du produit, en particulier à propos de l’espace de stockage que la mise à jour requiert ou des conséquences possibles de celle-ci sur les performances de l’appareil.

Source : Décret n° 2022-946 du 29 juin 2022 relatif à la garantie légale de conformité pour les biens, les contenus numériques et les services numériques

Le gouvernement a finalement dégainé le 49.3 ce mercredi 19 octobre au soir afin de faire passer le budget 2023 sans vote, face à la déferlante des amendements. Dans ce budget, on ne voit que peu de changements pour les contribuables, cependant le gouvernement a concédé un petit avantages fiscal pour les PME.

Les montants prévus pour les coups de pouce fiscaux aux PME sont estimés à170 millions dans ce budget 2023. Le gouvernement veut ainsi relever à 47.000 euros le seuil de bénéfices sous lequel une entreprise a droit au taux réduit d’imposition de 15 % ( « IS PME »), au lieu de 25 % pour le taux normal. Actuellement, les PME doivent dégager un montant de profits inférieur à 38.120 euros pour être taxées à 15 %. Ce plafond était resté inchangé depuis 2002 alors que « l’inflation cumulée depuis 2002 s’élève à 38,1 % » avaient souligné en amont les députés Modem, mais aussi LR.

L’avantage accordé par le gouvernement va plus loin que la demande de la commission des finances, qui plaidait dans son amendement pour un rehaussement du plafond à 40.180 euros. Par contre, il est moins généreux que la demande de Jean-Paul Mattei, député Modem, qui réclamait une hausse plus significative portée à 60.000 euros, mais aussi moins généreuse que celle de 52.711 euros demandée par Les Républicains correspondant à une indexation sur l’inflation cumulée.

Le gouvernement revient aussi sur l’exclusion des sociétés à prépondérance immobilière prévue par la commission des finances en expliquant que « Cela va à l’encontre de l’objectif poursuivi de tenir compte des capacités contributives et des charges des plus petites entreprises, peu important l’activité exercée ».

Concernant le plafond de chiffre d’affaires, il reste inchangé depuis qu’il fut relevé de 7,6 millions à 10 millions d’euros dans la loi de finances de 2021.

Le gouvernement n’a pas accéder non plus à la demande des députés LR « de réévaluer le bénéfice imposable […] chaque année au 1er janvier en application de l’indice mensuel des prix à la consommation et arrondies à l’euro le plus proche ». Pas plus qu’il ne retiendra la proposition du groupe LR de « réduire, de 15 % à 10 %, le taux d’impôt sur les sociétés applicable aux PME françaises » que Les Républicains qualifient de « mesure de justice fiscale vis-à-vis de nos PME, alors que la suppression de la CVAE, qui est la principale mesure de ce PLF 2023 à destination du monde économique, va bénéficier quasi exclusivement aux grandes entreprises ».

Tous les trimestres, Edouard Carmignac prend la plume pour commenter les enjeux économiques, politiques et sociaux du moment, voici la dernière. 

Paris, le 6 octobre 2022

      Madame, Monsieur,

   Devant la volatilité extrême des marchés financiers cette année, nombre d’entre vous doivent éprouver un état de perplexité proche de celui si bien évoqué par Bob Dylan :

                                      « It’s getting dark, too dark to see,
                                      I feel like I’m knockin’ on heaven’s door »

   L’accumulation d’incertitudes est incontestablement anxiogène. Elle porte principalement sur les trois foyers suivants, dont l’issue sera peut-être moins problématique qu’attendue :

   • La lutte contre l’inflation par les banques centrales. La chute brutale d’activité provoquée par la Covid a suscité un gonflement de la liquidité globale sans précédent, accompagné par des politiques de stimulation budgétaire également sans précédent. Aussi était-il légitime d’anticiper en ce début d’année un resserrement progressif des politiques monétaires. Las ! L’invasion ukrainienne et son impact majeur sur les prix de l’énergie et des denrées agricoles a porté l’inflation des deux côtés de l’Atlantique à des niveaux proches de 10%, rendant impérative la mise en place de politiques monétaires fortement restrictives. Aussi, Jerome Powell, président de la Fed, assume aujourd’hui ouvertement le risque d’une récession. Quelle devrait en être l’ampleur pour réduire significativement les anticipations inflationnistes et apaiser notamment un marché américain de l’emploi très tendu ? Difficile à estimer, tant la Covid a réduit l’appétence au travail. Cependant, il est vraisemblable qu’au cours des prochains mois, nombre d’accros à la pantoufle reprendront une activité, une fois allégées tant leurs appréhensions sur les risques de contagion, que leur épargne constituée pendant la pandémie, ainsi que leur pouvoir d’achat face à la hausse des prix. Néanmoins, nous ne sommes plus dans les années 1980 de Mr. Volcker et la réduction de la tolérance à une chute d’activité, écarte selon nous le risque d’une récession sévère. En attendant, la Fed disposant d’un mandat clair de casser l’inflation, l’Amérique continuera à drainer la liquidité globale, pesant sur les prix de l’ensemble des actifs, et le dollar devrait poursuivre son ascension.

   • La crise européenne de l’énergie. Le choc est majeur. La hausse de la facture énergétique approche 10% du PNB européen, mais elle sera largement assumée par les Etats. Par ailleurs, les niveaux actuels de stockage de gaz, le recours à des énergies d’appoint et la mise en place d’incitations à des réductions de consommation, ont sensiblement réduit les risques de pénurie hivernale. De telles mesures ne sauraient être pérennes et la compétitivité des économies européennes est sérieusement menacée. Cependant l’effondrement de l’armée russe – qui nous semblait probable en avril dernier -, devrait écourter singulièrement le mandat de V. Poutine. Il renforce certes le risque d’escalade, mais rend plus vraisemblable une révolution de palais.

   • Le ralentissement de l’économie chinoise. Déjà en proie à l’assainissement d’une bulle immobilière, la Chine s’est infligée une double peine : le suivi d’une politique zéro covid paralysant une partie significative de l’activité, tant et si bien que près de 20% des jeunes de moins de 25 ans sont aujourd’hui sans emploi. Sera-t-elle remise en cause après la reconduction de Xi Jinping au Congrès du Parti ce mois-ci, ou faudra-t-il attendre la réunion de l’assemblée générale en mars prochain ? Son aménagement en tous les cas semble inévitable et devrait susciter le brusque réveil d’une économie chinoise devenue léthargique.

   En conclusion, le pessimisme ambiant est-il justifié ? L’analyse des principaux foyers d’incertitude révèle bien des opportunités. Cependant, en attendant que ces incertitudes soient au moins en partie levées, nous continuerons à veiller à gérer les risques de nos portefeuilles avec une diligence particulière.

   Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma considération choisie.

Le rôle du VTE vert (Volontariat Territorial en entreprise) est d’inciter les PME et ETI à recruter des étudiants et jeunes diplômés de l’enseignement supérieur sur des missions à responsabilité et participant activement à la Transition Ecologique et Energétique de l’entreprise. Le programme VTE Vert est financé par Bpifrance, l’ADEME et le ministère du travail, de l’emploi et de l’insertion.

Vu l’urgence climatique et énergétique, le VTE décline son offre en créant le VTE vert afin de permettre aux PME et ETI des régions de recruter les jeunes talents dont elles ont tant besoin pour les accompagner dans leur transition écologique et énergétique à travers des missions de :

  • Process industriels ou logistiques plus durables
  • Réduction de l’impact environnemental de produits ou services existants
  • Actions sur la biodiversité, réduction des émissions de gaz à effet de serre, etc.
  • Développement d’innovations produit ou service réduisant l’impact environnemental

Voici les critères communs d’éligibilité au VTE vert :

  • Poste à responsabilités ayant un impact concret sur la Transition Ecologique et Energétique de l’entreprise
  • PME ou ETI française
  • Formation à partir du niveau bac+3
  • Contrat d’une durée minimum d’un an (contrat en alternance, CDI ou CDD)
  • Jeunes diplômés depuis moins de 2 ans ou étudiant
  • Membre Communauté du Coq Vertnetworking, formations, mise en visibilité des actions de Transition Ecologique et Energétique par Bpifrance

Subvention 12 000 €

(sous conditions* à voir au bas de la page)

 Je télécharge le flyer

Vous pensez être éligible à l’Aide VTE Vert ?
Pour en bénéficier, labellisez le contrat avec votre Talent

GO !

*PME et ETI selon la définition européenne ; sont exclues du dispositif les entreprises en difficulté au sens de la réglementation européenne.
*Minimum un an, par exception pour les alternants une année scolaire, soit un minimum de 10 mois.
*Cumul possible, dans la limite du plafond du régime « de minimis » en vigueur, avec :
• l’Aide VTE TI,
• les aides régionales, un plafonnement ou des limitations peuvent s’appliquer selon les régions,
• l’aide individuelle mise en place par Action Logement.
*Cumul partiel avec l’aide exceptionnelle à l’alternance.
*Une Aide VTE Vert par établissement (SIRET) dans la limite de 5 par entreprise (SIREN)
*L’aide est plafonnée à 50% des dépenses engagées, soit un maximum de 24 000€.

Les modèles les plus emblématiques des marques Rolex, Patek Philippe, Audemars Piguet et Vacheron Constantin sont devenus introuvables en magasin. La pénurie, créée par une demande extrêmement forte, s’installe durablement et les prix à la revente flambent. Faisant office de valeur refuge en période de crise, les montres de luxe sont devenues aujourd’hui un investissement à forte rentabilité.

Par Franck Boccara

Inflation, crise énergétique, menace de guerre nucléaire ou que sais-je… rien n’empêche les fabricants de montres de luxe de crouler sous les commandes, si bien qu’une douzaine de modèles emblématiques très convoités ont disparus des vitrines des magasins qui les vendaient habituellement. Surnommées les « grands fauves », il s’agit de montres très convoitées fabriquées par les marques Rolex, Patek Philippe , Audemars Piguet et, dans une moindre mesure, Vacheron Constantin.

« Nous sommes navrés, nous n’avons absolument rien en stock. Nous n’avons que des modèles d’exposition », rétorque un vendeur de la boutique Rolex d’un grand magasin parisien en ajoutant : « Impossible chez nous de vous mettre sur liste d’attente, même pour une Oyster Perpetual en acier (modèle de base de la gamme Rolex).

Rolex Cosmograph Daytona 

« Pour la Daytona, le délai se compte en années, nous ne pouvons rien vous promettre », répond-on à un autre acheteur chez un spécialiste de l’occasion près de la place Vendôme. Même réponse du côté de Genève à un client VIP par son vendeur attitré : « La Nautilus (de Patek Philippe), vous la voulez ? N’y comptez pas ». Cependant, à la faveur des « bonnes relations » de ce collectionneur, il a exceptionnellement réussi à la trouver ailleurs sous réserve d’un délai d’attente de trois mois.

« Le client qui n’est pas régulier n’a absolument aucune chance d’acquérir une Daytona chez Rolex, une Nautilus chez Patek Philippe ou une Royal Oak chez Audemars Piguet. Les maisons n’en gardent pas moins quelques modèles pour leurs meilleurs clients ; la pénurie s’organise, la frustration se gère, mais personne ne vous le dira ouvertement », lache sous couvert d’anonymat un dirigeant d’un grand groupes du secteur.

Le marché des montres de luxe d’occasion explose

La demande de montres de luxe d’occasion, en forte augmentation depuis 2018, a littéralement flambé avec la pandémie puisque 2021 a été une année record. Dans ce contexte, nombre d’acteurs veulent leur part du gateau. Ainsi, les marques de luxe, longtemps restées en dehors de ce marché, commencent à aller y chasser en proposant « des montres de seconde main certifiées ».

Patek Philippe – Nautilus Moon Phase

La cote des modèles les plus recherchés s’envolent comme par exemple la Nautilus 5711 de Patek Philippe qui, après l’annonce de l’arrêt de sa fabrication en janvier 2021, est devenue hyperspéculative. Certaines déclinaisons affichent à la revente des prix dix fois supérieurs, si ce n’est plus. Il y a des envolées à 350.000 euros, et même jusqu’à près de 700.000 euros pour certains modèles – plus de 25 fois la valeur initiale. « De telles plus-values sur les montres neuves, c’est du jamais-vu », constate un revendeur. Les plus aisés n’hésitent pas à payer le prix fort, mais beaucoup affirment être déroutés par le phénomène qui touche des modèles qui ne sont pas exclusifs et qui ne sont pas vendus en série limitée.

Le groupe Rolex, qui totalise selon Morgan Stanley 8 milliards de ventes annuelles (contre 2,3 milliards pour Cartier par exemple) affirme de son côté qu’il peine à étancher la soif des amateurs puisque l’ensemble de sa production repose sur quatre sites en Suisse. « La rareté des produits Rolex ne relève pas d’une stratégie. La production actuelle ne peut répondre à la demande mondiale existante de manière exhaustive sans diminuer la qualité des montres, ce qui n’est pas envisageable. Aucun compromis sur la qualité ne sera jamais fait », déclare-t-il aux « Echos ». Il faut un an pour fabriquer une Rolex. Et les capacités de production ne peuvent pas s’élargir à l’infini.

Mais alors on se demande pourquoi ne pas démultiplier la production d’un modèle particulièrement demandé au détriment d’autres ? Pas question de « tuer la poule aux oeufs d’or » ni de dépendre d’un seul modèle phare, explique un concurrent.

Audemars Piguet – Royal Oak 155OOST

Dans un contexte mondial incertain et avec une crise économique qui pointe, les montres de luxe atteignent des records historiques et deviennent un placement sûr et une valeur refuge…tout le paradoxe de notre époque. Le récent effondrement des cryptomonnaies n’a fait que renforcer la tendance.

Depuis 2011, la Semaine de l’industrie contribue à changer le regard du grand public et des jeunes sur l’industrie et ses métiers, grâce à l’organisation d’événements sur l’ensemble du territoire national. Cette année, la semaine de l’industrie se tiendra du 21 au 27 novembre 2022 sous un nouveau prisme : « agir pour une industrie d’avenir ».

Cette semaine donne l’occasion aux collégiens, lycéens, apprentis de découvrir une autre image de l’industrie, un secteur dynamique et engagé dans les transitions écologique et numérique. C’est également l’opportunité pour les acteurs industriels de promouvoir les métiers et savoir-faire et de recruter, à l’heure où plus de 55 000 emplois sont vacants dans l’industrie !

La Semaine de l’industrie est l’occasion de mettre en évidence les résultats des dispositifs mobilisés dans le cadre notamment de France Relance et de France 2030 pour relever les nouveaux défis de l’industrie : moderniser nos entreprises industrielles, innover et développer de nouvelles chaines de valeurs, (re)localiser et soutenir les projets industriels sur le territoire, et décarboner les procédés. C’est également l’opportunité pour les acteurs industriels de promouvoir leurs métiers et savoir-faire et de recruter, à l’heure où plus de 55 000 emplois sont vacants dans l’industrie (selon la DARES) et où les entreprises industrielles font état de près de 280 000 projets de recrutement pour 2023 (selon Pôle Emploi).

Pilotée par la Direction générale des Entreprises depuis 2011, la Semaine de l’industrie contribue à changer le regard du grand public et des jeunes sur l’industrie et ses métiers au travers d’événements organisés partout en France et permettre ainsi aux collégiens, lycéens, apprentis et demandeurs d’emploi de découvrir ce qu’est réellement l’industrie : un secteur dynamique, engagé dans les transitions écologique et numérique.

Les PME et ETI du secteur industriel intéressées peuvent désormais organiser des événements ou ouvrir leurs portes pour faire découvrir leurs métiers, pendant la Semaine de l’industrie, du 21 au 27 novembre 2022.

Quels sont les critères de labellisation pour la Semaine de l’industrie?

Pour obtenir la labellisation, un événement doit remplir 4 conditions :
- se dérouler entre le 7 novembre et le 12 décembre 2022 ;
- être ouvert aux publics cibles : scolaires, jeunes, étudiants, demandeurs d’emploi, communauté éducative, professionnels des ressources humaines, grand public ;
- avoir pour objectif d’informer et de communiquer sur le thème de l’industrie ;
- être gratuit.

Comment retrouver son événement sur le site ?

Une fois labellisés, tous les événements sont référencés et géolocalisés : en saisissant le nom de l’événement, de l’organisateur ou du département, tous les événements liés s’affichent.

Comment communiquer sur les événements labellisés ?

Une fois l’événement labellisé, les organisateurs d’événement reçoivent automatiquement un lien pour télécharger le kit de communication (signature de mail, posts pour les réseaux sociaux…).
Nouveauté cette année pour les organisateurs : vous pouvez désormais retrouver l’ensemble de vos événements (ou de ceux de votre département/région) via la carte interactive et copier/coller l’url des résultats de recherche pour permettre à vos contacts de consulter la liste intégrale de vos événements. Nous vous invitons à inviter vos écosystèmes à labelliser leurs événements afin qu’ils soient bien recensés sur le site et à ne pas leur retransmettre directement le kit de communication.

Comment demander le financement d’un transport scolaire ?
La DREETS reconduit son partenariat avec le Clubster Ecole-Entreprise. Vous trouverez toutes les informations sur le site Accueil – Clusbter Ecole-Entreprise (clubster-ecole-entreprise.com)

Afin de se faire labelliser, consulter le formulaire dédié à remplir jusqu’au 17 novembre 2022 sur le site :

 www.semaine-industrie.gouv.fr

Bruno Le Maire, Agnès Pannier-Runacher, Roland Lescure et Olivia Grégoire ont reçu les fournisseurs d’énergie et leurs fédérations ce mercredi 5 octobre afin d’échanger sur leurs rôles respectifs pour soutenir les entreprises consommatrices dans cette situation inédite d’explosion des prix de l’énergie due à la guerre qui oppose la Russie à l’Ukraine. Petit tour d’horizon des résultats de cette réunion.

En plus des nouvelles mesures de soutien de l’État, les fournisseurs d’énergie ont pris des engagements au cours de la réunion qui a rassemblé Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme ainsi que les fournisseurs d’énergie et leurs fédérations.

Les mesures de soutien aux entreprises

À l’issue de cette réunion, le gouvernement a annoncé une série de mesures de soutien aux entreprises consommatrices d’énergie :

  • L’extension en 2023 et la simplification à venir des aides au paiement des factures d’électricité et de gaz pour les entreprises grandes consommatrices d’énergie,
  • La création d’une garantie de l’État pour réduire le risque de défaut de l’entreprise cliente d’un fournisseur. L’État offrira une contre-garantie aux cautions bancaires demandées par les fournisseurs d’énergie lors de la souscription de contrats et viendra réassurer les contrats de fourniture d’énergie couverts par des assureurs crédits. Cette garantie réduira ainsi les exigences des fournisseurs en matière de collatéraux et de dépôts de cautions au moment de la signature des contrats. Cette mesure facilitera l’accès à un contrat pour toutes les entreprises consommateurs. Cette garantie sera mise en œuvre dès le PLF 2023,
  • La CRE (commission de régulation de l’énergie) va publier sous peu un prix de référence de l’électricité pour plusieurs profils de consommateurs professionnels. Cet indicateur servira de base pour les entreprises et collectivités afin de comparer ce prix de référence avec l’offre reçue par un fournisseur avant de s’engager.

Pour faire face à la multitude des difficultés contractuelles entre fournisseurs et clients, de nombreux fournisseurs ont signé une charte qui comprend 25 engagements pour aider les entreprises et collectivités à affronter la crise énergétique. Cette charte, qui sera en place jusqu’au 30 avril 2024, contient plusieurs points cruciaux tels que :

  • Avertir les clients entreprises et collectivités de la fin de validité de leur contrat deux mois à l’avance.
  • Agir, sous certaines conditions, en fournisseur de dernier recours pour les entreprises et collectivités en proposant à tous les clients qui le demandent un contrat au minimum.
  • Favoriser la mise en place des facilités de paiement pour les entreprises ou collectivités locales qui le demandent et qui rencontrent des difficultés.
  • Favoriser la mise en concurrence par une entreprise ou une collectivité locale des offres commerciales.
  • Privilégier des offres prenant en compte les enjeux du système électrique et rémunèrant par exemple une capacité d’effacement lorsque le système est en tension ou incitant à une consommation d’énergie réduite.
  • Répercuter dans les meilleurs délais les aides destinées aux consommateurs finaux, comme les élargissements des boucliers tarifaires énergétiques aux copropriétés, y compris dans les offres commerciales.

Cette charte a été signée par de nombreux fournisseurs (EDF, Engie, TotalEnergies, GEG, Seolis, Soregies, Alterna Energies) ainsi que les associations de fournisseurs (AFIEG, UFE, UNELEG, ANODE, ELE). Le processus de signature continuera dans les prochains jours pour rassembler l’ensemble des fournisseurs dans cette charte, notamment ceux des associations signataires.

Les ministres présents et les participants ont convenu de poursuivre ces discussions dans les semaines qui suivent afin de veiller à la mise en place de ces mesures et d’améliorer la qualité des relations entre fournisseurs d’énergies et entreprises consommatrices.

Les cookies tiers ont pour fonction de tracker les internautes afin de récupérer des informations sur leurs habitudes de navigation. De leur côté, les navigateurs internet cherchent depuis peu à limiter ces pratiques et contraignent donc les professionnels du digital à mettre en place des dispositifs pour contourner ces mesures. Voyons quelles sont les règles en la matière qui restent en accord avec le RGPD.

Par Serge de Cluny

Avant d’apporter une réponse, il est nécessaire de bien définir ces différents concepts. Les cookies sont des fichiers déposés sur les ordinateurs des utilisateurs afin d’avoir accès à leurs données de navigation (sites visités, paniers d’achat, échanges avec des Chatbots, etc.).

Les cookies se différencient par leur utilisation et leur but. Il y a tout d’abord les cookies internes qui sont installés par un site internet pour optimiser son fonctionnement et qui n’affectent en rien l’utilisateur, et il y a les cookies tiers dont l’unique destination est de récolter des informations à des fins publicitaires.

Pour réagir à la multiplication des cookies tiers, certains navigateurs ont décidé d’en limiter l’utilisation et de réduire ainsi le tracking publicitaire. Comme toujours au jeu du gendarme et du voleur, les professionnels du digital se sont mis à la recherche d’alternatives pour contourner ces mesures et en ont trouvé plusieurs dont voici les principales :

  • Le « fingerprinting » (prise d’empreintes) dont le but est d’identifier un utilisateur de façon unique sur un site internet selon les caractéristiques de son navigateur.
  • Les « Single Sign-On » qui sont des systèmes de connexion utilisateur qui permettent une identification sur plusieurs sites grâce à une connexion à un compte unique.
  • L’utilisation des données récupérées par les cookies internes d’un site visité et leur exploitation
  • Le ciblage publicitaire « par cohorte » par lequel on arrive à cibler un groupe d’internautes avec des comportements de navigation similaires.

Devant la multiplication de ces nouveaux dispositifs, la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a juge nécessaire de clarifier les différentes règles à respecter dans l’utilisation des cookies tiers pour assurer la protection des données personnelles et être en accord avec le RGPD, et pour cela elle rappelle les obligations légales :

  • Recueillir le consentement des internautes qui doivent, comme pour les cookies, pouvoir exercer leur choix libre et être en mesure d’accepter ou de refuser de faire l’objet d’un traçage non nécessaire (par des cookies tiers) au service demandé.
  • Permettre clairement aux internautes de garder le contrôle sur leurs données personnelles.
  • Ne pas de récolter de données sensibles, c’est a dire sur la santé des utilisateurs, leur origine, leur religion, etc.


Située à Aix-en-Provence, la Financière de l’Arc a réussi le pari d’offrir aux dirigeants de PME et ETI du grand sud une réelle expertise de gestion de portefeuille de proximité, humaine et personnalisée.

Amandine Gérard, co-fondatrice, nous présente avec beaucoup de simplicité une offre dédiée spécialement à l’accompagnement des chefs d’entreprises dans leur enjeux de gestion de patrimoine privé et professionnel.

INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
AUX DERNIÈRES NOUVELLES
×

Vous êtes dirigeant ou cadre ?
Vous avez une question ou besoin d'une information ?

Le respect de votre vie privée est notre priorité

L’accès au site implique l’utilisation de cookies mais celle-ci est subordonnée à votre consentement.